Reportages TV

[Philippe]

De telles voix ont-elles pu s'exprimer cette semaine à Budapest ? Souhaitons-le...

[Philippe]

Voici le lien vers un reportage de 27' consacré à la Réserve zoologique de Calviac :
http://www.youtube.com/watch?v=FmhFYEHg ... e=youtu.be

[didier]

Très intéressant reportage sur la VDS dans 30 millions d'amis aujourd'hui, le parc compte 20 soigneurs et se fait livrer 800kgs de nourriture (fruits et légumes frais) 3 fois par semaine.

[Philippe]

Episode n°13 d'Un oeil en coulisse consacré au ZooParc de Beauval :
https://www.youtube.com/watch?v=3cdwGfJ7Wvg#t=13

[Philippe]

France 4 propulse Une saison au zoo à 20 heures

Forte des belles audiences réalisées en access prime-time, notamment auprès des 4/14 ans, France 4 a annoncé un nouvel horaire pour les inédits de sa série-réalité Une saison au zoo avec un créneau encore plus compétitif : celui du 20 heures. La série Un gars, une fille est ainsi remplacée après plusieurs semaines de contre-performances.

A compter du lundi 5 octobre prochaine, la chaîne publique proposera quatre épisodes dès 18h30, dont un seul « frais », programmé à 20h05. Une saison au zoo conservera par ailleurs sa triple exposition sur la grille de France 4 avec un créneau l’après-midi et un créneau le samedi.

A la manière des série-réalités de ses concurrentes de la TNT, Une saison au zoo disposera d’une saison 2 légèrement allongée par rapport à sa première salve avec plus de cinquante épisodes.

Source : http://www.toutelatele.com

[Philippe]

Alexia Laroche-Joubert (Une saison au zoo) : « Je suis tombée de mon siège quand j’ai vu les audiences »

Avant Une saison au zoo, Alexia Laroche-Joubert produisait, via Banijay Productions France, Véto Junior. Pour la première fois, des producteurs se lançaient dans une nouvelle écriture. De cette expérience, la productrice a poursuivi en appliquant le même modèle en filmant le quotidien d’un parc zoologique. Un rythme très dense qu’elle espère voir fleurir dans le monde entier à la suite du prochain MIP. Tandis que le tournage de la saison 2 est terminé depuis le 2 octobre, Alexia Laroche-Joubert dresse un bilan, naturellement positif, de son émission qu’elle considère comme une « énorme satisfaction ».

Tony Cotte : Quelle est la particularité de travailler sur une chaîne du service public, qui plus est en pleine mutation ?

Alexia Laroche-Joubert : Pour bien connaître les cibles, je sais que c’est compliqué de marier l’univers des enfants et celui des jeunes adultes. L’environnement d’un parc zoologique a l’avantage de garder les petits et séduire les adolescents. Notre émission fait ainsi la transition entre une audience plutôt jeune et une plus âgée. Le parti pris de France 4 est assez osé, mais je pense que c’est avec des programmes comme Alcootest que la chaîne teste sa nouvelle ligne éditoriale. Nous, on est pile-poil la courroie de transmission, voire un vecteur de réunion.

L’émission étant particulièrement appréciée des enfants, prend-on des gants pour aborder certains sujets, comme la mort d’un animal ?

En réalité, ça a été plus compliqué quand on a produit Véto junior. À l’origine, tout vient de ce programme. On a rencontré une vraie difficulté dans le traitement avec des animaux mal en point et des problèmes comme celui de l’euthanasie. Sur Une saison au zoo, mis à part le perroquet, nous n’avons pas rencontré de telles situations.

La saison 2 a eu le droit à un coup d’envoi en première partie de soirée : comment l’avez-vous abordé ?

[Elle s’exclame] 750.000 téléspectateurs, c’est dingue ! Nous n’avions pas pensé à faire du prime-time. Ça a été une demande de la chaîne pour le lancement de la nouvelle saison et pour bien resituer le téléspectateur. On ne s’attendait pas à faire un tel score ; je suis tombée de mon siège quand j’ai vu les audiences.

« J’ai de vrais stagiaires qui sont dans un zoo. Je ne crée pas une fausse situation »

Plusieurs changements ont été opérés pour cette nouvelle salve. Ont-ils été le fruit de quelconques études ?

On s’est dit qu’il fallait apporter des éléments nouveaux, dans la mesure où il y a eu peu de rupture à l’antenne. Mais on fait notre métier sans les études ; je me méfie d’elles justement. J’ai toujours travaillé à l’instinct. Nous avons surfé sur ce qui se passe vraiment au zoo et qui n’apparait pas lors de la première saison : les stagiaires.
Souvent les soigneurs sont seuls. On avait ce souci de ne pas montrer le principe de la transmission. Nous les avons recrutés par le biais d’organismes qui forment aux métiers de soigneurs. On a pu avoir un échange, une communication, utile pour permettre au jeune public de comprendre les différentes tâches.

Les commentaires sur les réseaux sociaux sont, à la très grande majorité, positifs. Les rares critiques concernent l’aspect « télé-réalité » qui aurait pris le pas avec la Maison des stagiaires et leur vie en dehors du parc…

Si j’en suis à montrer une maison et que c’est de la télé-réalité… Je comprends que certains aient pu avoir peur. Mais ça ne pouvait être qu’une appréhension et non la réalité. On raconte la vie de stagiaires et de soigneurs. D’ailleurs, dans la première saison, on a pu suivre un petit peu ces derniers en dehors du cadre du travail. C’est un métier de vocation qui se passe, l’air de rien, en huis clos. Cela crée un esprit de confraternité et cet aspect est aussi important à montrer.
Pour produire énormément de télé-réalité, je peux dire qu’elle est stimulée. Ça n’existe pas douze Ch’tis parcourant le monde pour travailler dans les boites de nuit. Là, j’ai de vrais stagiaires qui sont dans un zoo. Je ne crée pas une fausse situation.

Savez-vous si le succès de l’émission complique le tournage ?

On a traité cette question dans un épisode avec les autographes signés par les filles du bassin des otaries. Mais c’est la réalité de ce qui se passe. Quand j’ai été sur place, mes filles voulaient absolument voir Glue [nom d’une femelle singe saïmiri, ndlr]. Les animaux sont devenus des héros à part entière. Et comme il s’agit d’une écriture de documentaire, on raconte réellement les faits. En revanche, je ne le ferais pas avec les Ch’tis.

Source : http://www.toutelatele.com

[Philippe]

Voici le lien vers un petit reportage consacré au travail des employés, la nuit, au zoo de Granby au Canada :
http://ici.radio-canada.ca/regions/estr ... nuit.shtml

[Philippe]

Le reportage sur Beauval tourné pour l'émission 30 Millions d'Amis sera diffusé dimanche 19 octobre 2014, à 12h50.

[didier]

Je viens de voir cette belle page de publicité de 15 minutes offerte par le service public au zoo de Beauval. J'ai surtout découvert les conditions déplorables dans lesquelles sont "détenus" les oiseaux qui participent au spectacle, mais il en est ainsi dans quasiment tous les parcs qui proposent ce genre de divertissement, donc je ne suis pas trop étonné.
On a encore eu droit au poncif "ils se reproduisent car on est attentif à leur bien-être", formule fétiche de Frédéric Edelstein, dresseur de fauves du cirque Pinder !
Allez, j'irai en mars prochain, j'ai déjà les billets en poche, mais ce parc a perdu son âme depuis un moment, ça pourrait bien être ma dernière visite.

[Philippe]

Les serpents de La Trimouille vont bientôt passer à la télé
Hélène Gateau, animatrice à France 5, s'est rendue à l'Île aux Serpents pour un tête-à-tête avec ses animaux au sang froid. On était en coulisses.

Hélène Gateau, vétérinaire, s'est rendue pendant deux jours dans le vivarium. Avec le concours du responsable des lieux, Fabrice Thete, l'animatrice a raconté la vie des serpents grâce à deux spécimens plutôt sympathiques. Une couleuvre américaine et un faux-corail albinos serpentent entre les mains des adultes. Les enfants sont attentifs.
Ce tournage entre dans la séquence « Vivre avec un animal insolite ». « Les enfants ont moins d'appréhension face aux serpents. Certains ne sont pas dangereux. Beaucoup de personnes en ont chez eux mais il faut savoir que ce ne sont pas des animaux domestiques comme les autres : on ne peut pas attendre de l'affection de la part d'un serpent », insiste Hélène Gateau.

Le second souffle de l'île

En outre, l'émission est une occasion de mettre en avant l'Île aux Serpents. Il y a un an, le site, jumelé à la Planète des Crocodiles de Civaux, connaissait des difficultés après sa mise en vente par son propriétaire de l'époque, Vert Marine. Aujourd'hui, ce n'est plus qu'un mauvais souvenir.
Fabrice Thete, amoureux des reptiles, a racheté le vivarium avec Luc Fougeirole (directeur de la Planète des Crocodiles) en début d'année. « Nous avons eu un excellent été. Les chiffres des visites ont dépassé nos espérances aussi bien à la Planète des Crocodiles qu'ici », sourit le directeur. La présence de loutres, tortues terrestres et autres suricates a, semble-t-il, boosté les visites et plu aux curieux. La fosse aux crocodiles a été aérée : dix-sept camions ont été déployés pour la déblayer. « Le bouche à oreille n'est plus le même. Les gens sortent contents.».
Celui qui a élevé plus d'une centaine de serpents dans son garage ne peut être que fier du chemin parcouru.

« Hélène et les animaux », sur France 5, tous les samedis à 15 h 10. Diffusion prévue fin novembre.

Source (avec vidéo) : www.centre-presse.fr/article-344512-les ... -tele.html

[Philippe]

Voici le lien vers un sujet de France 2 consacré aux 220 ans de la Ménagerie du Jardin des plantes avec quelques images d'archives - malheureusement la qualité du replay laisse à désirer - où l'on aperçoit notamment les ours blancs dans leur fosse, hippo et éléphant et girafe dans leurs enclos de la Rotonde ou encore otaries et crocos dans les bassins extérieurs :
http://www.france2.fr/videos/NI_27087

[Panda21]

Quand ils parlent du zèbre de Grévy c'est pas un couagga qu'ils montrent?

[Philippe]

Je crois aussi.
Il s'agit du couagga de Louis XVI exposé dans la salle des espèces disparues.
Capturé en 1784, ce couagga fut rapporté à la Ménagerie Royale de Versailles par un capitaine de vaisseau revenant des Indes. Il y vécut à la même période que le rhinocéros de Louis XV. Il sera également transféré à la ménagerie du Jardin des Plantes, le 17 avril 1794. Il y mourut 4 ans après son transfert.
Source : www.grandegaleriedelevolution.fr

[okapi]

c'est inquiétant tout de même, non? Un établissement à caractère scientifique qui laisse filer une telle bourde… Bon, évidemment, on ne doit pas être très nombreux à s'en être rendu compte, mais bon, la fierté de la justesse scientifique, elle en sort un peu écornée…
Et personne de l'équipe de télévision n'a lu le cartel du Quagga?

[Dips]

Malheureusement, les journalistes ne montrent jamais le montage final avant la diffusion... Et là il s'agit clairement d'une erreur de montage : le journaliste a pris l'interview d'une part, l'image d'un quagga d'autre part et a associé les deux... (il a pu se dire "zèbre de Grévy, c'est forcément un genre zèbre un peu bizarre..."). L'erreur ne peut donc pas être imputée au Museum !