Créations

Observations, interrogations, raretés... De multiples échanges peuvent y être abordés !

Re: Créations

Messagepar Simon38 » Samedi 11 Février 2012 9:35

Voilà pour aujourd'hui une nouvelle zone :

Ensuite viens une zone plus petite : la Nouvelle guinée.
Le visiteur après un long moment passé en terrain découvert retourne dans la forêt dense, le chemin est plat et le sentier est ponctué de volières.

Le premier complexe (21) est constitué de 2 volières et d’un enclos de retrait pour le couple de kangourous-rats musqués (Hypsiprymnodon moschatus), il est assez grand pour les animaux qui l’abrite, les petits marsupiaux peuvent accédés aux volières par le biais de petits tunnels grillagés à terre. Les volières sont hautes et essayent au maximum d’intégrés la végétation déjà existante recréant ainsi la forêt néo-guinéenne, un couple de gouras de Victoria et 3 méliphages à oreillons bleus (Entomyzon cyanotis) cohabitent dans la première tandis qu’un couple de monarques luisants (Myiagra alecto) vit dans la deuxième. Les animaux ont l’opportunité de rentrer à tout moment dans des abris chauffés.

Le visiteur fait quelques pas et arrive aux centre de reproduction des paradisiers (22), après en avoir accueillit un grand nombre le parc s’est focalisé sur 2 espèces : le paradisier de Goldie (Paradisaea decora), présenter par 6 individus et le Paradisier bleu (Paradisaea rudolphi) avec 10 individus. Cette dernière espèce est visible dans la maison guinéenne qui suit, seul 2 mâles sont présentés dans une vaste volière très végétalisée, ils sont en quelque sorte les ambassadeurs des paradisiers, le reste des individus est logés en coulisses. Autour de cette volière s’articule un espace de pédagogie sur la déforestation des forêts tropicales néo-guinéennes ainsi que sur les caractéristiques physiques et comportementales des paradisiers.

Le visiteur peut maintenant rentré dans le pavillon des kangourous arboricoles (23), les deux couples de dendrolagues de Matschie (Dendrolagus matschiei) sont présentés dans des loges vitrés, elles sont hautes et aménagées avec de nombreux agrès naturel, la végétation est également présente, la particularité de ces enclos est le fait que les animaux peuvent monter jusqu’à un certain niveau dans sur les structures d’escalades au point que le visiteur ne peut plus les voir, en effet les vitres ne font pas toutes la façade de l’enclos. Ce système assure tranquillité et intimité aux animaux. Le parc reproduit depuis de nombreuses années ce curieux animal, d’autant plus que les animaux on accès, pour les beaux jours, à de grandes volières végétalisées non visibles du public.

Le reste du pavillon est une zone de vole libre pour différentes espèces d’oiseaux qui ont accès à des volières extérieures non visibles du public : un couple de jardiniers du Prince d'Orange (Sericulus aureus), 5 étourneaux métalliques brillants (Aplonis metallica), deux couple de gouras couronnés (Goura cristata), et un trio de loris à calottes noires (Lorius lory).
"Je suis une part de tout ce que j'ai rencontré" José Ortega y Gasset.
Avatar de l’utilisateur
Simon38
 
Messages: 1159
Enregistré le: Mercredi 22 Avril 2009 12:25
Localisation: Rhône-Alpes

Re: Créations

Messagepar Simon38 » Samedi 11 Février 2012 16:57

Petit oubli entre la volière des tantales et la nouvelle zone :

Le visiteur après un long moment passé en terrain découvert retourne dans la forêt dense, il peut alors voir les dernières installations de la zone asiatique : 3 grands enclos forestier (21) à l’air libre. La végétation est accessible aux animaux et ils s’en donnent à cœur joie dedans. Du fait du grillage le visiteur peut monter dans un observatoire surélevé où il a une vue d’ensemble des 3 installations. Le premier enclos présente une famille de 6 sangliers à barbes de Bornéo (Sus barbatus), le deuxième est le lieu de vie d’un couple de panthères nébuleuses (Neofelis nebulosa) et le dernier de deux couple de sangliers des Visayas (Sus cebifrons). La proximité proie/ prédateur est un motif d’apprentissage et un formidable enrichissement pour les félins.
"Je suis une part de tout ce que j'ai rencontré" José Ortega y Gasset.
Avatar de l’utilisateur
Simon38
 
Messages: 1159
Enregistré le: Mercredi 22 Avril 2009 12:25
Localisation: Rhône-Alpes

Re: Créations

Messagepar Simon38 » Mardi 14 Février 2012 11:20

La suite : Le visiteur sort du pavillon et de la forêt pour atteindre une vaste prairie sèche où ont été construites les installations de la zone Antillaise.

Les menaces sur la faune insulaire sont particulièrement mises en avant à travers de grands panneaux ou de maquettes, les oiseaux sont encore une fois mis à l’honneur dans de vastes volières (25) plus ou moins végétalisées selon les espèces. Les volières ne sont pas présentées sous forme de blocs cette fois. Les 4 premières sont toutes en longueur de manière à offrir un espace de vol considérable tandis que l’une des trois faces fait office de façade aux bâtiments de nuit. La première présente un groupe reproducteur de 8 amazones de Saint-Vincent (Amazona guilingii), la deuxième une famille de 6 amazones de Sainte Lucie (Amazona versicolor). 12 amazones de Cuba (Amazona leucocephala) sont présentés dans la troisième volière, la dernière est le lieu de vie de 3 couples d’amazones de Porto Rico (Amazona vittata). Vous l’aurez deviné : le parc s’investit énormément dans la reproduction et la conservation des amazones antillais, les différents programmes de conservation sont présentés dans cette zone.

Suite à cela le visiteur se dirige vers un bloc de 6 volières (26), de tailles raisonnables mais bien fournies en végétation. Des couples d’orioles de Montserrat (Icterus oberi) vivent dans les 4 premières tandis que les deux dernières hébergent chacune un couple de carouges de Porto Rico (Agelaius xanthomus). Le parc s’investit également beaucoup dans la protection de ces deux espèces.

La dernière installation de cette zone est un vaste complexe sur le thème des fossiles vivants (27).
Le groupe de 16 iguanes terrestres de Cuba (Cyclura nubila) est présenté ici dans un ensemble d’enclos à l’air libre, ils sont vaste et propose différents substrats aux reptiles, la végétation est totalement accessible aux sauriens qui tondent donc de manière naturelle les prés de leur installation. Les 4 enclos sont reliés à un vaste bâtiment en bois chauffés par panneaux solaires. Cette maison se prolonge sur le chemin de visite de manière à former un espace pédagogique sur l’évolution des espèces animales et végétales. De nombreuses maquettes, notamment, sont visibles (nautile, limule, iguane,…).
"Je suis une part de tout ce que j'ai rencontré" José Ortega y Gasset.
Avatar de l’utilisateur
Simon38
 
Messages: 1159
Enregistré le: Mercredi 22 Avril 2009 12:25
Localisation: Rhône-Alpes

Re: Créations

Messagepar Simon38 » Mardi 21 Février 2012 18:49

Voici la suite :

Le visiteur sort des Antilles pour retourner dans la forêt et découvrir la zone amazonienne.

La visite s’effectue d’une manière pour la moindre inattendue : dans un premier temps le visiteur va être invité à prendre une passerelle en bois qui culmine à 20 m de hauteur de manière à se trouver dans une canopée. Tout autour de la passerelle, le visiteur peut observer différentes espèces animales visibles dans des volières. La pédagogie est encore une fois très développée, elle souligne l’importance primordiale des forêts, leurs cycles écologiques ainsi que les adaptations de la faune et de la flore pour survivre dans ces enfers verts.
Les animaux sont visibles directement de la passerelle de manière à les voir dans les arbres. Les volières sont donc très hautes et très végétalisée, le sol forestier est plus ou moins caché par la frondaison. Des bâtiments en bois sont également disponibles aux animaux.

La première volière est dite de contact (28), le visiteur est plongé dans un écrin de forêt vierge ou il peut apercevoir : grands hoccos (Crax rubra), caurales soleils (Eurypyga helias), pénélope à poitrine rousse (Penelope pileata), arapongas tricaronculés (Procnias tricarunculatus), arianes de Lesson (Amazilia amazilia), quetzals resplendissants (Pharomachrus mocinno) et coqs-de-roche péruviens. L’ensemble des oiseaux cohabitent bien et de la reproduction est régulièrement enregistrée.
Le visiteur sort de la volière et soudain un cri perçant lui parvient : ce sont les aras qui vivent en total liberté dans le secteur : ils peuvent voler et profiter de toute la végétation. Ce sont 4 aras bleus (Ara ararauna) et un couple d’aras militaires (Ara militaris). Ces animaux proviennent de saisies douanières.

Le visiteur arrive à la seconde volière (29), le filet est très fin pour permettre une vision optimale. Une famille reproductrice de 6 ouistitis à faces blanches (Callithrix geoffroyi) cohabite avec 3 couples de sakis à faces blanches (Pithecia pithecia) et 2 mâles paresseux à deux doigts (Choloepus didactylus) dans cette installation. Encore une fois la totalité de la flore est laissée aux animaux.

Une deuxième volière de contact (28) dans laquelle le visiteur est amenée à rentre est désormais visible, elle est un peu plus grande que la première. Elle abrite : un très rare couple de coracines casquées (Cephalopterus penduliger), 2 couples reproducteurs de coracines chauves (Perissocephalus tricolor), 5 savacous huppés (Cochlearius cochlearius), un couple de toucans montagnards (Andigena laminirostris) , un trio d’agamis trompettes (Psophia crepitans), d’un couple d’arapongas à gorges nues (Procnias nudicollis) et d’un mâle oréophase cornu (Oreophasis derbianus). Le parc s’investit beaucoup dans la reproduction des oiseaux d’Amazonie, notamment les très rares coracines, c’est pourquoi il a fait construire en coulisse un centre de reproduction pour oiseaux (30). C’est notamment dans ce centre que sont hébergé les hoazins huppés (Opisthocomus hoazin) du parc.

Le visiteur arrive à la dernière volière (29) du complexe ; elle est le lieu de vie d’une famille de tamarins lions à têtes dorés (Leontopithecus chrysomelas) et d’un groupe de 6 tamarins bicolores (Saguinus bicolor).

Le visiteur peut désormais descendre de la passerelle qui fait un total d’un demi km de long, il peut re-rentré dans les volières de contact précédentes pour admirer les espèces vivant au sol.

Il peut désormais renter dans une vaste parcelle de forêt meublée par un important réseau de cordes qui surplombe le sentier, cette zone n’est délimitée par aucune barrière seulement par le lac centrale au Nord et une carrière au Sud, les animaux ont appris a être autonome sur ce territoire, et ils rentrent tous les soirs dans des cabanons chauffés. Cette zone nommée sobrement « forêt des tamarins » (31) est le lieu de vie de familles reproductrices de petits singes-lions noirs (Leontopithecus chrysopygus), de ouistitis argentés (Mico argentatus) et de pinchés à crêtes blanches (Saguinus oedipus).
Les grands panneaux de ce secteur expliquent les comportements sociaux et alimentaires des petits singes américains.

Le visiteur arrive maintenant à la bordure de l’étang central (32) autour du quel il n’a cessé de tourner, cet espace aquatique c’est révélé parfait comme lieu de vie des flamants du Chili (Phoenicopterus chilensis) du parc, au nombre de 200, ils se reproduisent régulièrement et deux petites îles leur sont destinés.

Sur des îles (33) déjà existantes le parc a choisi de présenter encore quelques espèces de primates :
Un couple d’atèles noirs (Ateles Paniscus) vit sur la première, l’île est très grande et très végétalisée, un cabanon en bois chauffée leur est également accessible. La deuxième île plus petite présente une deuxième famille de ouistitis argentés (Mico argentatus) qui cohabite avec un groupe de 6 tamarins à manteaux dorés (Saguinus tripartitus), les 2 autres îles sont des zones de retraits pour les flamants.

Le visiteur s’éloigne maintenant de l’étang pour arriver à un pavillon visitable (34), il présente la collection de colibri du parc. La végétation est très développée et surtout provient du milieu d’origine des animaux. Aux alentours d’un ruisseau ou d’un buisson le visiteur pourra observer : colibri huppé (Orthorhyncus cristatus), colibri anaïs (Colibri coruscans), colibri à gorge rubis (Archilochus colubris), colibri de Mulsant (Chaetocercus mulsant), colibri robinson (Sephanoides fernandensis), colibri à ventre châtain (Lampornis castaneoventris) et quetzal doré (Pharomachrus auriceps). De grands panneaux explique la biologie des oiseaux mouches ainsi que les menacent qui pèsent sur eux.

Le visiteur s’éloigne encore plus de l’étang pour arriver à la lisière de la forêt, c’est là qu’il peut monter sur un mirador donnant une vue sur les enclos des animaux de la pampa(35).
Les enclos sont entouré d’un grillage, met la lisière de la forêt et les hautes herbes ont tendance à le cacher. Ils sont grands et munis de petites pièces d’haut. Le premier enclos héberge un couple reproducteur de loups à crinières (Chrysocyon brachyurus), des terriers sont disséminés dans l’enclos de manière à ce que la femelle porte ses petits d’un point à l’autre. Les deux individus sont séparés en dehors de la période de reproduction et le mâle est isolé dans un enclos similaire à l’arrière non visible du public.
Le deuxième enclos est le lieu de vie d’un couple reproducteur de fourmiliers géants (Myrmecophaga tridactyla), des termitières leur sont accessibles de manière à reproduire leurs comportements naturels.
"Je suis une part de tout ce que j'ai rencontré" José Ortega y Gasset.
Avatar de l’utilisateur
Simon38
 
Messages: 1159
Enregistré le: Mercredi 22 Avril 2009 12:25
Localisation: Rhône-Alpes

Re: Créations

Messagepar Simon38 » Samedi 25 Février 2012 15:31

On approche de la fin : Le visiteur bifurque entre les hautes herbes jusqu’à atteindre une zone de plus en plus sèche : la falaise des rapaces (36).

Cette zone se traverse depuis un pont en bois qui donne une vue imprenable sur la falaise, où les grandes volières sont directement accolées, les oiseaux ont construits de nombreux nids et cavités et se reproduisent pour la plupart, des arbres leur sont également accessible, et des petits plan d’eau meuble le sol du sol sec et calcaire. Les volières sont vraiment impressionnantes et elles offrent un très grand volume de vol pour les oiseaux.
La première volière présente un très rare couple reproducteur de condors de Californie (Gymnogyps californianus). Ces animaux se reproduisent avec succès depuis quelques années et le parc en présente 2 individus sur 4, les 2 autres vivants au centre de reproduction. La deuxième présente un couple reproducteur de gypaètes barbus (Gypaetus barbatus). La troisième volière est le lieu de vie d’un couple de circaètes Jean-le-Blanc (Circaetus gallicus) qui cohabitent avec 3 milans noirs (Milvus migrans). La dernière volière présente un couple reproducteur de grands-ducs d'Europe (Bubo bubo). La pédagogie est encore une fois mis à l’honneur avec en autre des maquettes présentant les rapaces du monde, des panneaux expliquant leurs rôles dans les niches écologiques et comment les protégés chez sois.


Le visiteur quitte cette falaise pour arriver dans un tout autre espace dévoué à l’Afrique sèche.

Un premier petit complexe (37) est visible, il est constitué d’une volière, d’un enclos et d’un bâtiment central. Elle est haute et meublé d’une végétation sèche et d’un sol rocailleux, elle présente un couple de grands indicateurs (Indicator indicator), l’enclos adjoint à cette volière présente un mâle reproducteur ratel (Mellivora capensis). L’apposition de ces deux espèces met en avant leur parfaite entente dans la nature qui est expliqué par de grands panneaux. Le ratel est une espèce que le parc reproduit depuis de nombreuses années, afin de maximiser les chances de reproduction, plusieurs individus dont la femelle reproductrice vit en coulisse. Le mâle vit ici dans un enclos terreux et rocailleux avec une végétation sèche dont il a un accès total.

Les stars de la zone sont désormais visibles : un grand enclos tout en longueur (38) et très broussailleux leur est dédier, quelques acacias apportent un peu d’ombres au animaux tandis que les monticules rocheux et les terriers leur offrent des cachettes. Cet enclos est le lieu de vie d’un trio d’hyènes brunes (Parahyaena brunnea). Les animaux se reproduisent avec succès depuis leur arrivée. Un bâtiment en bois, non visible du public, caché par un monticule rocheux, leur est accessible. Du coté visiteur, ils peuvent observer ces curieuses bêtes d’un mirador qui donne un point de vue surélevé de l’enclos. L’observatoire met en évidence les rôles essentiels qu’occupent les charognards dans la chaîne alimentaire.

On avance et arrive maintenant dans le second complexe à échassier du parc (39) : un grand observatoire équipé de meurtrières permet une observation discrète et optimale des échassiers : 5 grues de paradis (Grus paradisea) et un groupe de 8 grues royales (Balearica regulorum) qui cohabitent dans une volière recréant un marais sec d’Afrique du Sud, un vaste plan d’eau meuble la volière tandis que de gros tronc mort permettent aux oiseaux de se percher. Le volume offert est suffisamment grand pour permettre aux animaux de voler sur de longues distances. Cette fois la pédagogie cible les dangers qui menacent les zones humides en particulier le drainage.
"Je suis une part de tout ce que j'ai rencontré" José Ortega y Gasset.
Avatar de l’utilisateur
Simon38
 
Messages: 1159
Enregistré le: Mercredi 22 Avril 2009 12:25
Localisation: Rhône-Alpes

Re: Créations

Messagepar Alexis » Vendredi 02 Mars 2012 8:28

Bonjour, Simon38,

pas mal mais... bonne chance pour trouver des condors de Californie ! Peut-être un rapace africain serait plus approprié compte tenu des autres espèces présentées.
Le Ratel et les Hyènes brunes, c'est plutôt bien trouvé.
Par ailleurs, il faudrait peut-être prévoir quelques espèces supplémentaires pour la zone "Afrique équatoriale" (singes, civettes...), comme je l'avais fait remarquer il y a quelques semaines.

Alexis
La critique est facile, l'art est difficile

Découvrez mon nouveau blog nature et environnement : http://ecoloptimiste.over-blog.com/#
Alexis
 
Messages: 966
Enregistré le: Samedi 06 Août 2005 21:24
Localisation: Loiret

Re: Créations

Messagepar okapi » Vendredi 02 Mars 2012 9:55

Quand tu écris que la femelle ratel vit en coulisse, tu veux dire qu'elle est stockée dans une petite boîte où qu'elle dispose d'un espace similaire à celui du mâle?
okapi
 
Messages: 12061
Enregistré le: Lundi 02 Juin 2008 19:02

Re: Créations

Messagepar Simon38 » Vendredi 02 Mars 2012 18:33

c'est une bonne question : non elle dispose d'un enclos 2 fois plus grand pour ces éventuels petits.
"Je suis une part de tout ce que j'ai rencontré" José Ortega y Gasset.
Avatar de l’utilisateur
Simon38
 
Messages: 1159
Enregistré le: Mercredi 22 Avril 2009 12:25
Localisation: Rhône-Alpes

Re: Créations

Messagepar Simon38 » Vendredi 02 Mars 2012 18:36

dès que le parc sera finis je me lancerais comme d'autres dans des mises à jour régulières, et ne t'en fais il se pourrait qu'une certaine zone de forêt accueil un certain groupe de singes :wink:
"Je suis une part de tout ce que j'ai rencontré" José Ortega y Gasset.
Avatar de l’utilisateur
Simon38
 
Messages: 1159
Enregistré le: Mercredi 22 Avril 2009 12:25
Localisation: Rhône-Alpes

Re: Créations

Messagepar okapi » Vendredi 02 Mars 2012 20:41

Donc, un vaste enclos invisible du public? En as-tu prévu beaucoup d'autres? Parce que ça modifie fortement la superficie accordée aux visiteurs...
okapi
 
Messages: 12061
Enregistré le: Lundi 02 Juin 2008 19:02

Re: Créations

Messagepar Simon38 » Samedi 03 Mars 2012 10:21

Sache que mon parc possède un centre de reproduction pour oiseaux qui s'étend sur une dizaine d’hectares, chaque individu possède de larges volières très végétalisées, même principe pour les ayes-ayes qui sont en grande partie maintenu en coulisses ...
"Je suis une part de tout ce que j'ai rencontré" José Ortega y Gasset.
Avatar de l’utilisateur
Simon38
 
Messages: 1159
Enregistré le: Mercredi 22 Avril 2009 12:25
Localisation: Rhône-Alpes

Re: Créations

Messagepar okapi » Samedi 03 Mars 2012 13:56

Donc, si je te suis bien, hormis cette zone pour les oiseaux, qui est une très bonne idée, et les ratels et les aye aye, qui semblent-ils bénéficient d'enclos au moins aussi vastes que les individus présentés, le reste du parc est similaire à un zoo classique?
okapi
 
Messages: 12061
Enregistré le: Lundi 02 Juin 2008 19:02

Re: Créations

Messagepar Simon38 » Samedi 03 Mars 2012 18:56

Plutôt qu'un zoo classique je dirais que les enclos sont très poussés notamment du coté de la reconstitution des milieux ou emploi au maximum le terrain déjà existant ( la forêt des lémuriens ). J 'essaie aussi d'imaginer des enclos le plus vaste possible sans arriver à l’excès . Cet excès était présent dans mes autres parcs notamment ( 1000 m2 pour des visons , etc ...), et comment définir un zoo classique ? Un endroit où sont présenter lion, éléphant et girafe ? Je pense que le mien arrive aux frontières du genre: des animaux menacées plus ou moins connus dans des enclos, mais il y a un soucis de recherche et d'élevage aussi. Je dirais simplement que j'ai davantage voulu ressembler à Gérald Durrell plutôt qu'à la famille Delord.
"Je suis une part de tout ce que j'ai rencontré" José Ortega y Gasset.
Avatar de l’utilisateur
Simon38
 
Messages: 1159
Enregistré le: Mercredi 22 Avril 2009 12:25
Localisation: Rhône-Alpes

Re: Créations

Messagepar okapi » Samedi 03 Mars 2012 19:23

Par classique, j'entends plutôt un zoo où chaque espèce dispose d'un enclos, vaste sans doute, mais unique. Une collection d'espèces juxtaposées, avec parfois un souci d'organisation ou de classement, mais qui s'appuie essentiellement sur la diversité et pas forcément sur la nécessité de détenir tel ou tel animal. En multipliant les volières pour une même espèce, Durrell a marqué le temps de l'évolution, mais ce n'est pas toujours entré dans les préoccupations majeures de nos parcs...
okapi
 
Messages: 12061
Enregistré le: Lundi 02 Juin 2008 19:02

Re: Créations

Messagepar Simon38 » Samedi 03 Mars 2012 19:31

Dans ce cas oui il y a du classique et du moins classique: 2 groupes d' happalémur du lac Alaotra dans deux enclos très différents; plusieurs individus de corbins dans plusieurs volières. Je peut difficilement nié que le parc possède ce petit détails embarrassant qui consiste à avoir une grosse collection comme c'est la cas pour les petits singes.
"Je suis une part de tout ce que j'ai rencontré" José Ortega y Gasset.
Avatar de l’utilisateur
Simon38
 
Messages: 1159
Enregistré le: Mercredi 22 Avril 2009 12:25
Localisation: Rhône-Alpes

PrécédenteSuivante

Retourner vers La faune en espace zoologique

Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré et 30 invités

Tigre en mouvement