Un zoo racheté par Sea Sheperd France

[Pangol1]

Voici l'article dans sa totalité.



Pont-Scorff. Rewild ouvrira ses portes d’ici le printemps
À Pont-Scorff (Morbihan), le centre de réhabilitation de la faune sauvage, – ne parlons plus de zoo -, a l’ambition d’ouvrir ses portes au public avant le printemps. La structure, à l’économie fragile, porte une opération autour de jeunes lycaons.

À Pont-Scorff, le centre Rewild a connu la naissance de neuf lycaons. Quatre ont survécu et nécessitent une opération.
REWILD
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Ouest-France Loïc TISSOT.
Publié le 07/09/2020 à 08h01
L’équipe de Rewild, qui a racheté en début d’année le zoo de Pont-Scorff après une levée de fonds éclair (600 000 € en cinq jours), était à la clinique vétérinaire de Lorient, samedi 5 septembre 2020. Elle accompagnait quatre lycaons, – trois femelles et un mâle nés fin avril -, pour une opération délicate au niveau des yeux. « Un animal de cette rareté représente un espoir de survie de l’espèce, considérée en danger. C’est le stade avant le danger critique d’extinction », souffle, Jérôme Pensu, directeur de Rewild, la coalition d’organisations non-gouvernementales qui a transformé le parc en centre de réhabilitation de la faune sauvage.


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Les jeunes lycaons sont les survivants d’une portée de neuf canidés africains. « La loge où ils sont nés est l’un des seuls endroits qui n’était pas isolé. » Un endroit inadapté et cinq lycaons sont morts d’hypothermie. « La pathologie visuelle dont ils souffrent pourrait être congénitale. Cela ne serait pas alimentaire », avance Rewild. La maman des canidés sera amenée prochainement pour examens.

L’un des lycaons nés au centre de Pont-Scorff.
L’un des lycaons nés au centre de Pont-Scorff. | REWILD

« Nous ne sommes pas aidés »
Tout cela a un coût. Et Rewild, dont l’économie est très fragile, fait à nouvel appel aux donateurs pour abonder une cagnotte de 50 000 €. Le prix à payer pour remettre sur pattes les lycaons et aller au bout des démarches pour les relâcher, soit en milieu naturel, soit en sanctuaire. Tel est l’essence même du projet Rewild. « Tout cela est normé. Depuis notre arrivée, nous sommes en contact avec diverses institutions internationales. Cela demande des expertises de notre part. »

Sur le cas des lycaons, Rewild pourrait, dans un second temps, procéder à une levée de fonds pour la transporter et relâcher les animaux vers la structure idoine en Afrique : « Et quand cela sera fait, il y aura une obligation de suivi. »

Cela prend du temps et demande beaucoup d’argent. « Pour l’iguane bleu, nous sommes en contact avec les îles Caïman ; pour les lions blancs, avec l’Afrique du Sud. Des analyses sanguines ont été faites, des vérifications génétiques entamées. Nous progressons, mais nous ne sommes pas aidés. »

« Nous ne pouvions pas arriver à petits pas »
De jeunes lycaons photographiés en 2010, à Pont-Scorff.
De jeunes lycaons photographiés en 2010, à Pont-Scorff. | OUEST FRANCE ARCHIVES THIERRY CREUX
Services vétérinaires, inspection du travail, police de l’environnement : « En deux ans et demi (N.D.L.R. : sur une période allant au-delà de la seule gestion de Rewild), le site de Pont-Scorff a eu le droit à dix contrôles. Du jamais vu », martèle Jérôme Pensu.

Le 24 juillet, l’équipe des soignants a écrit une lettre ouverte au préfet du Morbihan, estimant que leur établissement fait l’objet d’une pression administrative. Une lettre restée sans réponse.

Lamya Essemlali, coprésidente de Rewild, qui est aux rênes de Sea Shepherd France, enfonce le clou : « En tant qu’entreprise en difficultés, nous pouvons prétendre aux prêts Covid à hauteur de 300 000 €. Cela nous est refusé. L’État a également débloqué une aide de 19 millions d’euros à destination des zoos, refuges et cirques. Là aussi, une aide de 100 000 € nous est refusée. Cela rend la tâche encore plus difficile. »

Rewild compte ainsi ouvrir le centre scorvipontain au public, d’ici le printemps. Avec une partie restauration, boutique, exposition, conférences et possibilités de rencontres des équipes. « On réfléchit à des systèmes de caméra pour que le public voit les animaux évoluer. Notre envie n’a jamais été de mettre le site sous cloche ». Cela permettrait à Rewild de récupérer des fonds et financer ses projets.

Lamya Essemlali l’admet : « Nous ne pouvions pas arriver à petits pas. » Rewild est construit sur un projet, une façon d’agir qui bousculent l’ordre établi, estimant que les zoos surfent « sur l’alibi de la conservation » pour construire un « business », loin de tout reproche.Elle glisse en exemple que le parc animalier Cerza fait l’objet d’une enquête pour trafic d’animaux, près de Lisieux (Calvados). Les passes d’armes ont été nombreuses avec les associations françaises et européennes des parcs zoologiques.

Rewild, héritière d’une longue histoire à Pont-Scorff, doit convaincre de la pérennité de son projet. Le 17 septembre, une rencontre est prévue avec le président de Lorient Agglomération.

[jean-marc]

Bonsoir , histoire de remettre l'église au milieu du village ( ), l'aide aux zoos n'étaient attribuée qu'aux structures en conformité avec la législation, animaux inscrits sur I-fap, capacitaire en règle... Concernant le prêt de l'état, les sociétés devaient avoir , de mémoire, plus d'un an d'existence et produire un bilan financier chose impossible pour Rewild.. Bref, je ne reviendrai pas sur la réalité de la (saine) situation du Cerza.. Mais une fois de plus la communication de Rewild est pour le moins imprécise...

[candlemass]

Cerza : enquête due à des dénonciations calomnieuses d'une association anti-zoo. Voicides extraits d'un article du parisien sur cette pseudo affaire :

[...] Depuis 2018, les enquêteurs ont procédé à trois perquisitions dans le parc, les deux premières donnant lieu à plusieurs contrôles sur des animaux. Certains ont mis en évidence des infractions. Pour Marc François, l'avocat du parc, « il n'a jamais été question de trafic ici. Simplement, le temps de l'administration ne correspond pas au temps de l'animal. Et, dans certains cas, cela pose des problèmes de conformité sur leur identification. » [...]

Alors quid des infractions mises en évidence par les contrôles ? Le docteur François Huygues s'explique : « Premier exemple : les oiseaux. Ils doivent être bagués. Or, à Cerza, nous ne les baguons pas» . Le parc privilégie en effet l'implantation d'une micro-puce sous la peau de l'animal. « Une bague peut le blesser. En outre, prenez un perroquet qui machouille sa bague. À un moment, elle s'efface. Et si un oiseau est volé, on peut facilement la lui retirer. Il disparaît alors des radars. » Ce choix de « pucer » les oiseaux n'est pas isolé. Il serait validé par un consortium de vétérinaires de zoos. Mais la loi, elle, prévoit la bague...

Chris, le rhinocéros blanc ne répond plus
Autre cause de litige, la temporalité de ces fameuses identifications. En théorie, un animal né dans un parc doit être « tracé » dans le premier mois suivant sa naissance. Les enquêteurs ont constaté que ce n'était pas toujours le cas à Cerza. Réponse de François Huygues : « Des espèces, comme les singes, ont des pratiques qui ne collent pas à la législation. Une maman macaque garde son petit tout près d'elle pendant les premiers mois de sa vie. Pour se conformer aux textes, nous devrions arracher le bébé à sa mère. C'est extrêmement traumatisant pour eux, et désagréable pour nous. Voilà pourquoi nous assumons, dans ces cas là, d'attendre que la progéniture s'émancipe. »

Enfin, certains animaux ne seraient pas du tout identifiés. Dont Chris, le rhinocéros blanc. « Une puce est aussi grande qu'un grain de riz. Le rhino, lui, pèse trois tonnes. Les enquêteurs ont passé leur capteur à distance. Et sur un tel animal, il peut arriver qu'on ne détecte pas facilement la puce. Tous nos animaux sont identifiés », assure le vétérinaire, qui regrette l'absence de spécialistes pour traiter ce genre d'affaires.

... tout est dit. Une fois de plus on attaque sans arguments et en colportant des rumeurs.

Risible quand on sait que rewild s'est fait confisquer des gris du Gabon ...

Concernant les primes covid, si ils ne se considèrent pas comme un zoo, un cirque ou un refuge alors c'est normal de ne pas y avoir droit.

[Clémentine]

Une trouvaille sur le site de la préfecture du Morbihan

[https://www.morbihan.gouv.fr/content/download/49850/357228/file/amd_200902_zooptscorff_mc-1.pdf]

Est-ce pour ça que c'est le silence radio chez Rewild ?

[Okapia.J]

Boubouche, un avis là dessus ? Édifiante cette mise en demeure !

[caro62]

ben dis donc , çà sent pas bon tout çà

[Vinch]

La liquidation judiciaire risque d’être actée.

[caro62]

mais du coup, que deviendraient les animaux ?
ils seraient répartis dans d'autres parcs ?

[Vinch]

Dans le meilleur des cas, ceux d’espèces EEP seront probablement redistribués dans les zoos, les autres rejoindraient le Refuge de l’Arche et celui de la Tanière, voire Tonga.
Mais nous ne sommes pas encore au 30 septembre.

[didier]

Information relayée par Le Télégramme :

https://www.letelegramme.fr/morbihan/lo ... 614692.php

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[Pangol1]

En résumé des faits qui sont reprochés:
Pas d'organigramme, pas de suivi des médicaments, pas de suivi de collectes des eaux usées + pollution, non conformité des clôtures, sans oublier 2.5 tonnes de "cadavre sans que l'exploitant ait documenté .."
Certains de ces faits ont déjà été reprochés par la DDPP il y a quelques années, très vite rectifié et protocolisé par les équipes précédentes..
Pour des donneurs de leçons et des "victimes" de contrôles abusifs , les casseroles qu'ils trainent commencent à faire du bruit.
Sans vouloir souffler sur les breizhs , ça sent le roussi.

[Vinch]

Sans vouloir souffler sur les breizhs , ça sent le roussi.

Excellent !!!

[Achille]

Effectivement pas besoin de tirer sur une ambulance. Mais ces vérités incontestables feront sans doute enfin ouvrir les yeux à bon nombre, grand public, donateurs, autorités et, peut-etre même, co présidentes... Quant aux animaux puis aux employés... je suis très malheureux pour eux et comprends leur silence radio depuis des semaines : la prise de conscience est d'autant plus douloureuse qu'elle est tardive. Est-ce que Sea sheperd a bien compris les responsabilités de chacun ( et la sienne!!) avant de s'en plaindre publiquement ? la loi n'est-elle faite que pour être appliquée par les autres?? Comment ne pas y voir l'intervention du karma...
Un prêt, même garanti par l'état, n'est jamais un dû. Ce n'est pas l'Etat qui prête, c'est la banque... Après le coup de p... d'éclat aux collaborateurs du Crédit Agricole, il ne faut pas venir pleurer ensuite que l'argent n'arrive pas... Comme dit JMarc, l'aide de l'état était réservée aux établissements dans les clous, notamment au niveau registres et capacitaires, pour ne parler que de celà. Alors quand Lamya E s'épanche auprès de Ouest France, elle oublie scrupuleusement de rappeler ces quelques points. Quant à parler du cerza, elle fait bien attention d'oublier de citer le rôle central d'un membre de son propre collectif dont il ne faut pas citer le nom dans cette enquète à charge... Enquête qui visiblement prend l'eau dès lors que la parole est à la défense. Et comme on comprend ce naufrage, dès lors que toutes les informations qui sortent nous éclairent sur la réalité des expertises en présence... Et comme on comprend également aujourdhui que les services de l'état aient interdit de confier à rewild le moindre animal saisi. Je suis vraiment très curieux du temps que SShep et Athenas vont mettre à se désolidariser de toute ce merdier pour ne pas perdre eux même la face (bien vu One Voice, Wildlife Angel et autres..). En langage maritime, on appelle ça le sparadrap du capitaine haddock...

[didier]

Réponse publiée sur la page facebook de Rewild :

REWILD MIS EN DEMEURE PAR LE PREFET DU MORBIHAN
Rewild poursuit le Directeur des Services Vétérinaires pour ses déclarations mensongères et s'interroge sur ses motivations.
Il y a quelques semaines, Rewild a remis aux services de l’Etat, au Préfet du Morbihan et au Procureur de la République de Lorient un audit dressant une liste non exhaustive d’irrégularités, relevées par notre équipe à notre arrivée dans l’ancien zoo de Pont-Scorff. Ces irrégularités - dont certaines perdurent depuis plus d’une décennie - mettent en évidence une étonnante tolérance, voir une complaisance de l’administration. Nous avons saisi le Préfet à trois reprises, nous n'avions à ce jour jamais obtenu de réponse. La réponse vient de nous parvenir par le biais d'une mise en demeure à notre encontre.
En tout, notre audit révèle que l’ancien zoo est en infraction avec au moins 24 dispositions légales et réglementaires applicables à ce type d’établissement. Nous avons relevé des non-conformités qui concernent aussi bien le bien-être animal, la sécurité, les bâtiments, la gestion administrative ainsi que la gestion et l’évacuation des déchets.
A titre d’exemple, aucun des 398 animaux n’étaient inscrit sur le fichier IFAP obligatoire depuis 2017, fichier qui permet de tracer les mouvements d’animaux et d'éviter leur trafic. Par ailleurs, la quasi totalité des eaux usées des bâtiments abritant des animaux se déverse dans le Scave, la rivière voisine.
29 animaux sont détenus sans certificat de capacité. 45 mammifères, 93 oiseaux et 87 reptiles ne sont, entre autres, pas correctement identifiés, rendant impossible la vérification de leur provenance légale.
L'audit révèle également la présence d'animaux détenus dans des conditions non conformes avec leurs exigences biologiques, des actes de cruauté et de maltraitance, des mutilations et l'absence de compte-rendu vétérinaires entre autres…. La liste est longue.
Le cumul des infractions relevées (320), dont la plupart perdurent depuis très longtemps, fait en théorie encourir 480.000 euros d’amende et jusqu’à 3 ans d’emprisonnement, et pourtant…
Le zoo de Pont-Scorff, depuis son acquisition par l’ancien propriétaire (déjà dans le viseur du lobby des zoos), était devenu le zoo le plus contrôlé de France avec 10 contrôles en 2 ans et demi, là où le Ministère en préconise un tous les 3 ans.
Comment ces infractions ont-elles à ce point pu passer au travers des mailles du filet de l'Administration ??
C’est la question épineuse que pose cet audit qui a pour objet de faire un état des lieux afin que chacun soit mis face à ses responsabilités et que ces infractions historiques ne soient pas imputées à Rewild.
La préfecture vient donc de nous répondre … en nous mettant en demeure !
Cette mise en demeure a été émise par le Préfet du Morbihan, à la demande de Monsieur Jean Michel Chappron, Directeur des Services Vétérinaires, dont l’administration est précisément mise en difficulté par l’audit en question….
Dans le courrier d’accompagnement joint à la mise en demeure, le Directeur des Services Vétérinaires dresse le compte rendu d’un de ses contrôles sur l’ancien zoo. Il y tient des propos littéralement mensongers dont l’agressivité et l’absence totale de distance pose la question d’une implication personnelle.
Elément qui corrobore ces soupçons, la mise en demeure a été transmise à la presse. Monsieur Chappron rend publics ses propos diffamatoires à travers un article, violant ainsi le devoir de réserve de tout fonctionnaire et appuyant l'idée qu'il a fait de ce dossier une affaire personnelle.
Le même directeur nous prive également de l’aide Covid à laquelle nous avons droit sur la base d'une prétendue non-conformité qui ne nous incombe pas dès lors que les animaux ne sont plus exposés au public.
Ces 100.000 euros nécessaires à notre fonctionnement sont une infime partie de l’enveloppe de 19 millions d’euros offerte par l’Etat aux zoos, et aux cirques pour les aider à nourrir les animaux. Ce refus injuste vise à tenter de nous étouffer financièrement.
En réponse à la mise en demeure préfectorale, Rewild va faire citer le directeur de la DDPP devant le tribunal correctionnel pour dénonciation calomnieuse et va répondre point par point à chaque allégation. Nous comptons également attaquer devant le tribunal administratif le refus de l’aide Covid qui nous est due et qui a déjà été perçue par l’ensemble des zoos et cirques français.
Depuis l’arrivée de Rewild à la tête du zoo, nous "faisons le ménage" tant d'un point de vue réglementaire que financier, en opérant un assainissement de la gestion du site, ce qui prend du temps. Afin de stopper l'hémorragie qui contribuait à mettre l'entreprise dans le rouge, plusieurs fournisseurs ont été remerciés en raison de leur pratique douteuses. Cela a permis notamment une diminution des frais de fonctionnement mensuels de près d'un tiers.
C’est dans ce contexte qu’une procédure contre Olivier Thomas - fils du fondateur et ancien gérant du zoo – a été entamée pour abus de bien sociaux, acte de cruauté et mauvais traitements. Dans le même temps, la fille du fondateur sera prochainement sous le coup d’une procédure pour abus de bien sociaux, ainsi que l’un des anciens directeurs de l’établissement.
Les accusations diffamatoires et les tentatives qui visent à nous discréditer sont une réaction prévisible de ceux qui ont pillé et profité du zoo pendant des années ou qui ont, par complaisance couvert les nombreuses infractions que nous avons mis en évidence dans notre audit. Nous répondrons à chaque point soulevé par la mise en demeure, preuves à l’appui et nous publierons en parallèle l’audit qui nous vaut aujourd’hui les foudres de l’Administration préfectorale.
Ces attaques ne font que renforcer l'équipe et nous confirmer que nous faisons ce qui est juste et nécessaire si on veut donner à ce lieu une chance de réussite. Nous savions pertinemment à quoi nous nous exposions. Ces attaques contre Rewild sonnent comme un chant du cygne, les derniers coups de griffes d’un monde d’avant, celui du business juteux de la captivité animale travesti en préservation des espèces.
De nombreux réaménagements ont été fait par notre équipe ou sont en cours et notamment les installations nécessaires à l’ouverture prochaine d’un centre de soins spécialisé pour les animaux marins ainsi que les préparatifs d'une ouverture partielle (sans exposition d’animaux) qui nous permettra de mieux partager avec le grand public les réussites et les difficultés que nous rencontrons et d'aider financièrement au fonctionnement de Rewild.
"Le site n'a pas vocation à rester sous cloche" déclare Lamya Essemlali, Co-présidente de Rewild. "La riposte de certains agents de l'Administration est à la hauteur du danger que représente Rewild pour l'industrie de la captivité avec laquelle ils sont en connivence depuis de nombreuses années. Impliquer autant que possible le grand public dans ce qui se passe à Rewild sera notre meilleure protection contre les manoeuvres qui s'opèrent en coulisses pour tenter de nous faire échouer".
http://www.rewild.ong

[caro62]

Quelqu'un pourrait il avoir la gentillesse de m'expliquer le rôle d'un capacitaire dans un zoo ?
Est il le chef des soigneurs ?
Le certificat de capacité est il spécifique pour chaque espèce ?

merci