J'ai bien aimé le cadre de ce parc, qui malgré tout n'est pas constitué de grandes prairies à l'image de la Haute Touche. Le parc de 40 hectares est plutôt dense, et le plan de collection assez varié même si les grands herbivores dominent, ce qui n'est pas pour me déplaire. Il est organisé en zones géographiques, mais du fait que ce soit un parc assez ancien, il y a encore des intrus, et pas vraiment d'immersion par le paysage, mais ça ne m'a pas dérangé.
C'est parti pour la visite ! (Toutes mes excuses encore pour mes piètres talents de photographe)
La première installation, visible avant de payer le droit d'entrée est une grande volière européenne. Celle-ci est récente comme la plupart des volières du parc, qui sont assez réussies. Malheureusement je n'ai pas de photos, elle héberge des vautours fauves, des vautours moines, des percnoptères et des milans royaux.
Nous avons ensuite été accueillis par une guide (j'étais en groupe) avec laquelle nous avions droit à environ deux heures de visite. Nous avons choisi de faire avec elle le secteur africain, c'est pourquoi je reviendrai plus tard sur la première espèce que l'on peut normalement voir en entrant.
Nous sommes donc allés directement vers l'espèce que beaucoup voulaient voir : Les bonobos !
L'entrée de la zone est aménagée comme un petit village africain, dont les cases servent de vivarium ou de salle pédagogique. Avant d'entrer dans la maison des bonobos, un petit enclos accueille des mangoustes brunes (il me semble ?)
Enclos des mangoustes brunes :

Intérieur de la maison des bonobos (c'est ancien, mais j'ai trouvé que c'était relativement grand et haut par rapport à ce que l'on voit ailleurs pour les grands singes) :

Ile des bonobos (3000 m2) :



En repartant, un assez grand enclos présente un groupe reproducteur de zèbres de Grévy :


En le contournant, on est ensuite amené à traverser une volière consacrée aux marécages africains. Elle héberge des flamants nains, des ombrettes, des spatules, et des ibis sacrés :

Cela nous amène alors à ce que l'on peut appeler la plaine africaine, car les cohabitations étant assez rares à Planckendael (on sent encore l'esprit du parc ancien, même si cela change peu à peu) on a justement ici un groupe de girafes de Kordofan qui cohabitent avec des élans du Cap, des impalas et des pintades :



Intérieur de la maison des girafes :

(A suivre)