Nouveauté 2018 à Pairi Daiza

[Djeiran]

Quelques infos supplémentaires sur les nouveautés 2018 : http://www.zoonaute.net/2018/03/29/nouv ... airidaiza/

[themonkeyabu]

Au journal parlé de rtl tvi, on peut apercevoir que les volières de l’oasis (calao) ont été rénovées.
Chose confirmée dans l’article du commentaire précédent : lifting complet pour l’oasis on s’en doutait un peu sur ce forum !!! Yeahhh

[Saintstof]

Au moins un colibri est arrivé

[candlemass]

sur le facebook du parc, deux photos du nouvel enclos des varans de komodo

[Jama-Gong]

Je viens de revenir de Pairi Daiza, petit bilan à chaud :

Concernant l'Oasis :
- Toutes les volières de l'Oasis ont été surélevées + 3 nouvelles volières pour les calaos papous, mainates religieux (à côté de là où on recharge l'abonnement) et ouistitis pygmés, ces derniers se situent entre l'enclos du couscous et la façade des guêpiers.
- Les enclos où étaient les microcèbes, le gecko diurne de Madagascar et la rainette ont été rénovées et accueillent des arianes de Lesson, j'en ai aperçu 4 (1 mâle et 3 femelles mais je n'en suis pas sûr).

Concernant la serre tropicale à côté de la nouvelle serre aride :
- Les 3 volières où étaient les ouistitis pygmés, les toucans toco et les étourneaux de Rothschild sont en train d'être modifiés et agrandies et accueilleront des oiseaux de paradis (oui oui, j'ai halluciné quand j'ai vu ça), par contre le parc n'a pas précisé le ou les espèces.

Concernant la partie Chine :
- Les cerfs du Père David sont toujours là (ouf ^^) et ont désormais un enclos gigantesque.
- Les muntjacs sont dans un enclos à l'écart.
- Des vitrines ont été installés pour les macaques japonais et les langurs, ces derniers seront vraisemblablement là où il y a avait les grues à cou blanc, toutefois j'ai peur qu'ils aient un accès facile à la toiture.
- Dans la volière "style ancienne", je n'ai vu que les loriots, aucune trace des grives et des léiothrix.

Concernant la Terre du Froid :
- Le lac de droite sur le plan du parc à été quasiment vidée.
- Des barrières et des bâches ont été mis sur le long de ce même lac, certaines bâches sont imprimés et y figurent : un ours, une otarie, un harfang, un loup et un orignal.

Concernant le Village des Rapaces :
- Les jabirus d'Afrique cohabitent avec des corbeaux à nuque blanche dans la volière des pygargues de Steller.

Concernant la partie africaine :
- Une clôture sépare la grande plaine où vivent zèbres, gnous et koudous, ces derniers cohabitent juste à côté de la cascade, des grues couronnés sont dans l'autre moitié (là où il y a les arbres).
- Les grues du paradis sont dans l'enclos des sitatungas.

Concernant les gavials :
- Les gavials sont dans un aquaterrarium assez spacieux, ils sont juste avant les toilettes dans le bateau.

Voilà, le pense n'avoir rien oublier, des photos viendront par la suite mais j'hésite à les mettre soit ici ou soit dans un topic dédié dans "compte-rendu de visites".

[okapi]

A priori, le parc devrait consacrer un espace très particulier à un ensemble d'espèces albinos: on mentionne notamment des girafes blanches, des primates et des reptiles parfaitement blancs et, pour créer un contrepoint fort, Pairi Daiza compte présenter un couple de guépards noirs.

[Vinch]

N’oublie pas le jeune éléphant blanc offert à Éric Domb par le Maharadjah du Jodhpur. Ça, c’est un vrai scoop et Beauval va en verdir de jalousie !!!

[candlemass]

Et des "poissons" blancs arrivés cette nuit du First April Park.

[didier]

Trop mignon le jeune éléphant blanc ! Je pars sur le champ à Pairi Daiza pour le voir.

[zoo63]

Nous commencerons bientôt la construction du monde dédié à la Colombie britannique, la façade pacifique du Canada et du Sud de l’Alaska : nous présenterons des ours, des loups, etc. Je voudrais aussi rendre hommage aussi aux "natives" du Nord Ouest de l’Amérique. On a souvent parlé des Indiens des plaines. Mais il y a aussi les Indiens des fleuves et de la mer qui vivaient à l’ouest des Rocheuses. Aucun des villages en bois dans lesquels ils vivaient n’a survécu. Nous allons reconstituer un de ces villages avec de véritables totems construits par des artisans locaux. Ensuite ce sera l’Amérique latine : il y a bien sûr la faune et la flore mais aussi toutes ces civilisations mortes. Chaque jour et demi, une langue meurt. Donc, une culture meurt. Les cultures sont autant menacées que les animaux. Ce monde permettra d’accueillir les animaux que j’adore : les papillons, les lamantins, certains primates. Puis il y aura les pôles. Les cercles arctique et antarctique constitueront un autre monde auquel je tiens beaucoup. Là aussi il y a des cultures en voie de disparition comme la culture inuite. Il y a des animaux merveilleux : les morses ont une intelligence extraordinaire. Encore faut-il les présenter dans de bonnes conditions, leur donner suffisamment d’espace et éviter qu’ils ne s’ennuient. Dans la nature, les animaux sont morts de peur et dans les parcs, ils meurent d’ennui. Notre mission est de rendre la vie de nos amis les animaux la plus agréable, la plus interactive possible. Voilà pour le cercle polaire. Dans le cercle austral, nous découvrirons le monde fantastique des manchots.

Et l’Europe dans tout cela ?

Le dernier monde que nous allons créer - et c’est bien la moindre des choses - ce sera la vieille Europe rurale : ce n’est pas un thème poussiéreux mais un thème ultra-contemporain. J’ai visité plus de 60 pays. J’ai du plaisir à voyager mais j’en ai autant à revenir en Europe et en Belgique en particulier. Ce qui a été réalisé sur le plan des arts, de l’architecture, des idées est extraordinaire. L’Asie a une place prépondérante dans mon cœur mais la diversité des cultures européennes est inégalée. C’est fascinant. Je veux rendre hommage à notre continent. Je vais recréer un village en ossature bois comme on en faisait un peu partout en Europe. Dans ce village, nous développerons un projet qui sera un véritable défi économique. Je veux nous forcer à renoncer au confort de l’agro-industrie. Jusqu’à présent, pour la nourriture sur le parc, nous travaillons avec un petit nombre de gros fournisseurs. La tentation est de poursuivre dans cette voie. L’enjeu du nouveau village que nous appellerons "Cambron-Abbaye" sera de remplacer nos fournisseurs alimentaires par de petits producteurs locaux. Il en faudra beaucoup. Ce ne sera peut-être pas rentable à court terme. Mais nous voulons montrer l’exemple. Pour redonner du sens et des lettres de noblesse à la paysannerie. Pour donner du temps au temps. Je voudrais essayer de développer une sorte de bienveillance par rapport au monde agricole, aux fermiers qui essayent de s’en sortir, de développer des exploitations à taille humaine. On a le public rêvé pour mettre en œuvre la transition écologique au plan alimentaire. J’ai deux millions de visiteurs captifs. Les gens aiment la vie, les animaux, la nature : j’ai envie de leur faire découvrir un autre processus de fabrication de notre alimentation.

Ce ne sera donc jamais terminé…

Nous construirons aussi bientôt des hôtels. Quand tout sera terminé, les 500 chambres pourront accueillir 2 000 à 2 500 personnes qui se réveilleront avec les animaux. Les premières ouvriront dès 2019.

Source : http://www.lalibre.be/debats/opinions/e ... 0c1a59e3c6

[Philippe]

Voici le début d'un article dont l'intégralité est réservée aux abonnés de La Dernière Heure :

Eric Domb, le patron de Pairi Daiza, se confie : " Le parc n’est évidemment pas délocalisable "


Éric Domb ne délocalisera jamais Pairi Daiza même si le créateur du parc y a déjà songé.

À quelques heures de la réouverture du parc Pairi Daiza, c’est un Éric Domb impatient d’accueillir ses premiers visiteurs que nous avons retrouvé au cœur du domaine animalier de Cambron-Casteau. À l’entame de cette nouvelle saison touristique, le créateur de ce jardin extraordinaire parvenant à courir 36 lièvres à la fois aux quatre coins du globe a répondu à nos questions sans caresser dans le sens du poil. L’occasion d’évoquer avec lui l’avenir du monde (et le sien) dont il s’attache à reproduire les multiples beautés pour tous ceux qui n’ont pas l’occasion de voyager.

Comment appréhendez-vous cette nouvelle saison ?

" Comme chaque année depuis vingt-quatre ans maintenant. Je suis avec nos visiteurs dans le même état d’esprit que peut l’être l’amoureux transi à quelques heures d’un rendez-vous. Viendront-ils ? Seront-ils séduits ? Tomberont-ils amoureux du Jardin comme nous le sommes ? Ces questions occupent mon esprit en permanence. "

[Antoine6259]

C'est sur que s'il me vient en tête un parc qui n'est pas délocalisable, c'est bien celui-là ! En dehors bien sur de tous les parcs historiques.

[Ludovic]

Hier je suis allé à Pairi daiza il y a plein de travaux. ils construisent une serre comme il y avait avant à la sortie boutique.



un grillage a été mis en place pour séparer les grue couronné les zèbre gnou et un autre pour les séparer des éléphants


et ensuite les travaux de l’extension du parc avance bien, le mur a été en partie détruite, les arbres arracher et le lac est a sec

[guirosama]

pourrais-tu réduire la taille de tes photos stp car pour ma part je ne vois rien

[candlemass]

Décidément, cette savane africaine semble poser beaucoup de problème.

Mais depuis le début le concept était foireux suite à un manque de concertation entre les acteurs du parcs et la précipitation pour l'ouverture de cette zone a complètement flingué le projet de base qui se basait sur une bonne idée : Un grand espace de l'enclos actuel des hippopotames à celui des buffles où les grandes espèces (hippo, rhino, éléphants, buffles) étaient séparées et où les plus petites (zèbres, antilopes et phacochères) avaient accès aux différents lieux attribués aux grosses espèces via des passages étroits.

Au final les animaux se sont retrouvés dans des enclos parfois étroits (hippo) ou hors de portée de vue pour certains. Comme les buffles par exemple qui sont difficiles à observer lorsqu'ils se trouvent dans le fond de leur enclos.

La cohabitation éléphants, zèbre, gnous et antilopes ne semblent pas porter ses fruits. La conception du terrain y est surement pour quelque chose.

C'est dommage car d'un grand espace, on se retrouve avec des zones morcelées.