Parc zoologique de Paris 2019

Postez-ici vos comptes-rendus de visites dans les espaces zoologiques français et étrangers...

Re: Parc zoologique de Paris 2019

Messagepar raphaël » Dimanche 15 Septembre 2019 20:13

Je partage une photo faite au zoo de Dublin.
Là bas, leur savane africaine est en fait constituée de deux enclos, séparés par des rochers et des fils électriques.
D'un côté, girafes et diverses antilopes, de l'autre, rhinocéros blancs et zèbres.
ça m'avait paru un très bon choix pour donner l'impression d'un très vaste enclos et d'une grande cohabitation, tout en garantissant la sécurité des différentes espèces.

Image

Voilà qui aurait pu être fait à Vincennes, et en évitant les deux enclos monospécifiques des addax et oryx.
Les animaux des zoos sont les ambassadeurs de leurs cousins sauvages. (Pierre Gay)
raphaël
 
Messages: 7204
Enregistré le: Mercredi 10 Août 2005 15:24
Localisation: gironde

Re: Parc zoologique de Paris 2019

Messagepar gibbon » Lundi 16 Septembre 2019 21:47

didier a écrit:
zoobeauval25 a écrit: mais je me dis : si à Vincennes ils arrivent à cohabiter pacifiquement avec les rhinocéros blancs dans un espace très restreint

Lors de mes 3 dernières visites, les cobes étaient avec les rhinos et les Grévy étaient dans le petit enclos juste à côté, il y aurait donc une rotation cobe/Grévy ?

Cela fait de nombreux mois que les quatre zèbres de Grévy vivent dans le petit enclos attenant à celui des addax, totalement séparés des rhinocéros blancs qui eux sont dans le grand enclos. Quant aux cobes de Lechwe, je les ai surtout vus dans le petit enclos, mais pas en présence des zèbres.
« Les oiseaux ne descendent pas des dinosaures, ce sont des dinosaures à proprement parler. »
Guillaume Lecointre
Avatar de l’utilisateur
gibbon
 
Messages: 2631
Enregistré le: Jeudi 10 Mai 2012 11:31

Re: Parc zoologique de Paris 2019

Messagepar NRJMelvinT » Lundi 16 Septembre 2019 21:58

Lors de ma visite fin août, les zèbres étaient en cohabitation avec les rhinocéros et les cobes.
Avatar de l’utilisateur
NRJMelvinT
 
Messages: 661
Enregistré le: Dimanche 06 Avril 2014 18:17

Re: Parc zoologique de Paris 2019

Messagepar gibbon » Mardi 17 Septembre 2019 0:47

Au temps pour moi, merci Melvin pour cette info. Il faut dire que je ne vais plus beaucoup dans ce zoo tellement il est devenu déprimant, et je n'y ai pas mis les pieds depuis plusieurs semaines. Toujours est-il que pendant une longue période j'ai vu à chaque visite les zèbres séparés des rhinocéros. Peut-être le temps nécessaire pour que le zèbre mâle et les femelles s'habituent à vivre ensemble.
« Les oiseaux ne descendent pas des dinosaures, ce sont des dinosaures à proprement parler. »
Guillaume Lecointre
Avatar de l’utilisateur
gibbon
 
Messages: 2631
Enregistré le: Jeudi 10 Mai 2012 11:31

Re: Parc zoologique de Paris 2019

Messagepar Antoine » Samedi 07 Décembre 2019 12:24

Ne manquez pas le cinquième et dernier Rendez-vous sauvage de l'année, du 21 décembre au 5 janvier. Direction : Madagascar !
À cette occasion, vous découvrirez notre tout nouvel aquarium récifal qui accueillera notamment deux requins bambou !
Vous pourrez également participer à de nombreuses animations exceptionnelles : nourrissages, découverte des coulisses, visites guidées, ateliers famille, Noël des animaux...


Image

Source : https://fr-fr.facebook.com/pg/ParcZoolo ... e_internal
Antoine
 
Messages: 2977
Enregistré le: Samedi 27 Janvier 2007 18:13
Localisation: POITIERS

Re: Parc zoologique de Paris 2019

Messagepar Antoine » Samedi 07 Décembre 2019 12:26

Nouveauté | Les vipères péliades ne sont plus visibles en ce moment au Parc Zoologique de Paris. Elles ont regagné les pièces dites « d’élevage » afin qu’elles puissent hiberner.

Dans le vivarium, elles ont laissé la place à un couple de vipères ammodytes, espèce originaire du Sud-Est de l'Europe.

La vipère ammodyte est plus grande que la péliade : elle peut atteindre 90 cm et son venin est beaucoup plus fort ! Autre particularité : son museau se termine par une petite corne. Les anglophones l'appellent d'ailleurs « long-nosed viper », vipère à long nez.


Image

Source : https://www.facebook.com/pg/ParcZoologi ... e_internal
Antoine
 
Messages: 2977
Enregistré le: Samedi 27 Janvier 2007 18:13
Localisation: POITIERS

Re: Parc zoologique de Paris 2019

Messagepar nico » Mardi 31 Décembre 2019 8:28

Le "blob" : pourquoi le mystérieux pensionnaire du zoo de Vincennes fascine

Tous les jours, Jean-Mathieu Pernin revient sur une actualité oubliée de 2019. Une information qui n’à pas fait la une mais qui l’aurait peut être mérité. Aujourd'hui, l'accueil d'un nouvel animal plutôt étrange au zoo de Vincennes : le blob.
Cette année, vous êtes peut-être passé à côté de l'arrivée du blob, créature au nom étrange presque inquiétant, accueilli au zoo de Vincennes le 19 octobre dernier. Installé dans un vivarium au sein d'une pièce sombre qui lui est entièrement consacrée et baptisée "La blob zone".
Il est à l'aise, sur une branche d'arbre. Masse spongieuse, allongé et pas très vif. Présenté comme une star, le blob n'a rien à voir avec les autres pensionnaires du zoo puisqu'il n'est pas considéré comme un animal mais comme... autre chose. Une chose très étrange aux capacités fascinantes qui n'ont pas fini d'étonner son curateur Lucas Morino.

"En réalité, c'est une cellule avec plusieurs noyaux à l'intérieur. Si on prend un blob et qu'on le coupe en deux, les deux blobs vont se développer tranquillement. Et si on prend deux blobs séparés et qu'on les met à côté, ils vont fusionner pour ne créer qu'un seul blob", explique-t-il.
Capable de s'extraire d'un labyrinthe
Le blob a donc un problème de case. On ne sait pas où le placer, mais il s'en fiche, car il se développe sur Terre depuis 500 millions d'années. Cela vous rappelle peut-être quelque chose et c'est normal, le blob est aussi connu sur grand écran.

"The Blob" film américain de 1958 où une masse spongieuse mange maison et êtres humains. Mais là, on en est loin. Il tire son nom de cette expérience cinématographique, mais ça s'arrête là. Le blob est un pacifique. Vous en avez croisé lors de balades en forêt ou dans une cave. Il aime les endroits sombres et humides. Ça taille microscopique et son allure de champignon ne le rende pas très populaire. Mais attention, si le blob est lent, s'il n’effraie pas, c'est qu'il a d'autres atouts beaucoup plus impressionnants.

"Il arrive à résoudre des problèmes plutôt complexes. Par exemple, sortir d'un labyrinthe mais aussi calculer le chemin le plus d'un labyrinthe court parmi 20.000 possibilités. Chose qui est très dure à faire pour un être humain. Tout cela implique normalement un cerveau et un système de communication et il n'a aucun de tout ça", ajoute Lucas Morino.

Pas moins de 720 sexes
Voilà donc le mystère du blob et ce qu'il a à nous offrir. Une capacité d'analyse sans cerveau qui fascine les scientifiques de même que sa capacité de survie. On le croit mort, il est en sommeil. De même que ses 720 sexes. Qu'en fait-il ? En exposant cette étrange espèce, le zoo de Vincennes offre un nouveau monde, celui de l’infiniment petit. Il y a donc encore des animaux à découvrir. Les prochaines ménageries se visiteront avec un microscope.

"On voit facilement les grandes choses qu'on étudie aussi beaucoup. Les choses petites sont moins inintéressantes pour la majorité des gens donc on les connaît beaucoup moins. Mais quand on les regarde de près, on voit qu'elles ont des caractéristiques très intéressantes", conclut Lucas Morino.
Après le règne des dinosaures, le règne de l'homme, le règne du blob a-t-il sonné ? Et si l'avenir de l'humanité était spongieux ?


Source : https://www.rtl.fr/actu/debats-societe/ ... 7799738497
Biofaune : L'actualité nature au quotidien
https://www.facebook.com/biofaune/
Littérature zoologique sur facebook : Découvrez les plus beaux ouvrages sur les parcs zoologiques.
https://www.facebook.com/Litt%C3%A9rature-zoologique
Avatar de l’utilisateur
nico
 
Messages: 3821
Enregistré le: Vendredi 29 Juillet 2005 12:29
Localisation: indre et loire (chinon)

Re: Parc zoologique de Paris 2019

Messagepar nico » Vendredi 03 Janvier 2020 19:50

Des nouvelles de Kaï, le lamantin de Guadeloupe parti se soigner au zoo de Paris

Fin 2018, le Parc Zoologique de Paris a accueilli le lamantin Kaï, venu tout droit de Guadeloupe. Alors malade et souffrant de solitude suite à la mort d'un congénère, il était venu s'y refaire une santé. Bilan : aujourd'hui, Kaï va beaucoup mieux !

Kaï a repris du poids et se porte bien ! Le lamantin âgé de 13 ans s'est parfaitement intégré à son nouvel environnement et a adopté les soigneurs-plongeurs du Parc Zoologique de Paris.

Réintroduire les lamantins
Kaï fait partie d'un plan de réintroduction des lamantins en Guadeloupe. Originaire de Singapour, il avait été amené en 2016 dans les eaux caribéennes avec Junior, l'un de ses congénères. Mais Junior meurt quelques mois plus tard et Kaï tombe malade. Ses soigneurs prennent alors la décision de transférer le mammifère esseulé vers un autre zoo, pour qu'il reprenne des forces et soit en contact avec d'autres lamantins.

Vers un retour en Guadeloupe ?
Le projet de réintroduction est pour l'instant en stand-by mais n'est pas abandonné. Pour Anthony Bourguoin, soigneur-plongeur animalier du Zoo de Paris, le retour de kaï en Guadeloupe est toujours d'actualité. Pour l'instant aucune date n'a été fixée.

Source : https://la1ere.francetvinfo.fr/nouvelle ... 86265.html
Biofaune : L'actualité nature au quotidien
https://www.facebook.com/biofaune/
Littérature zoologique sur facebook : Découvrez les plus beaux ouvrages sur les parcs zoologiques.
https://www.facebook.com/Litt%C3%A9rature-zoologique
Avatar de l’utilisateur
nico
 
Messages: 3821
Enregistré le: Vendredi 29 Juillet 2005 12:29
Localisation: indre et loire (chinon)

Re: Parc zoologique de Paris 2019

Messagepar Philippe » Mercredi 22 Janvier 2020 13:22

Tout savoir sur le Parc zoologique de Paris

Le parc, étendu sur 14,5 hectares, a célébré les cinq ans de sa réouverture en accueillant de nouveaux pensionnaires. En 2018, le parc a enregistré 68 naissances, dont 24 oiseaux !

Un succès inattendu

En 1931, lors de l'Exposition universelle de Paris, trois hectares du bois de Vincennes, à l’est de la capitale, sont choisis pour héberger un zoo temporaire, où sont parqués des animaux exotiques. Un succès fou ! En seulement six mois, cinq millions de visiteurs se bousculent pour voir les girafes, les zèbres ou les lions. Afin de capitaliser sur cet engouement, un véritable zoo est construit sur un terrain voisin. Le site est inauguré en juin 1934 par le président de la République Albert Lebrun.

Des hôtes d'exception

Le zoo héberge aujourd'hui plus de mille animaux de 180 espèces. Certains sont restés célèbres, comme le panda Yen Yen, cadeau diplomatique offert par la Chine à la France en 1972. Des animaux naissent aussi au Parc. En 2018, des jaguars, des flamants roses et même des addax, une espèce d'antilope en danger critique d'extinction, ont fait des petits. Ces naissances sont des événements importants pour attirer l'attention du public, comme les Rendez-vous sauvages, moments privilégiés durant lesquels les soigneurs présentent les nouveaux spécimens accueillis. Cette année, le parc reçoit des otaries à fourrure australe, des coatis roux, un requin bambou… et un blob, un organisme unicellulaire surprenant, ni animal, ni végétal, ni champignon !

De nouveaux écosystèmes


Dans les années 1980, les installations se dégradent. Le lieu doit fermer ses portes pour rénovation en 2008. C’est le début d’un chantier ambitieux qui durera six ans ! Tous les animaux sont déplacés, sauf les girafes qui assistent à une petite révolution. En 2014, le site rouvre enfin et change de nom, pour devenir le Parc zoologique de Paris. Les visiteurs découvrent un zoo de pointe, au parcours découpé en biozones recréant des écosystèmes et des zones géographiques : Madagascar, Amazonie-Guyane, Europe, Afrique et Patagonie. Différents animaux et végétaux cohabitent au sein d'un même espace, comme dans la nature.

Un rôle de protection

Le Muséum national d’Histoire naturelle est propriétaire du parc zoologique. Il veille aussi sur la ménagerie du jardin des plantes, fondée à paris en 1794, ce qui en fait l’un des plus anciens zoos au monde, et la réserve zoologique de la Haute-Touche, dans l’Indre. Vétérinaires et chercheurs se croisent dans ces lieux dédiés également à l’observation et à l’échange d’information autour de la faune et de la flore. Les équipes du parc sont engagées dans des programmes de protection d’espèces animales dans le monde entier : suivi des populations de caïmans en Guyane, élevage de loutres en Europe, étude du puma de Patagonie… Ces espèces menacées doivent en partie leur protection à l’engagement des zoos.


Paroles d'expert : Alexis Lécu, directeur scientifique du Parc zoologique de Paris

Quel est votre rôle au sein du zoo ?

Vétérinaire et directeur scientifique, je suis donc à la fois praticien et responsable des activités de conservation. Nous participons par exemple à la réintroduction du vautour fauve en Bulgarie ou encore du lamantin en Guadeloupe.

Quel est le principe des « rendez-vous sauvages » ?

Cette année, l’objectif est de présenter au public cinq nouvelles espèces, réparties dans nos différentes biozones. Elles seront dévoilées à chaque période de vacances scolaires. En juillet, nous accueillerons des suricates et des otocyons, petits canidés africains aux longues oreilles.

D’où viennent ces nouveaux animaux ?

lls sont issus de parcs zoologiques européens avec lesquels nous procédons à des échanges sur le long terme. Ce type d’événement se prépare plusieurs mois à l’avance. Nous choisissons des espèces à l’acclimatation facile. En amont, nous habituons les animaux à leur futur environnement, à leurs congénères, aux autres espèces avec lesquelles ils seront amenés à cohabiter.

Image
Article paru dans le numéro Femme Actuelle Jeux Histoire n°9 juillet-août 2019.
Biofaune : l'actualité de la conservation in & ex situ : http://biofaune.canalblog.com - www.facebook.com/biofaune
Philippe
 
Messages: 11543
Enregistré le: Lundi 29 Août 2005 16:06

Re: Parc zoologique de Paris 2019

Messagepar didier » Vendredi 24 Janvier 2020 18:01

Bilan de l'année 2019 sur la page facebook du PZP.

Ces douze derniers mois ont été riches en émotions, avec de nombreuses naissances, de nouveaux pensionnaires, des anniversaires inoubliables (à commencer par les 5 ans du parc !), des soins vétérinaires quotidiens, des événements exceptionnels…
Revivez les temps forts de l’année 2019 à travers quelques chiffres clés :
Près de 570 000 visiteurs
Plus de 2 500 animations
5 Rendez-vous sauvages
5 aménagements d’espaces dédiés aux nouvelles espèces
141 nouveaux pensionnaires dont de nouvelles espèces dans le cadre du 5e anniversaire de la réouverture du zoo : l'otarie à fourrure australe, le coati roux, le suricate et l'otocyon, le blob, le requin bambou, ainsi que plus de 20 espèces de poissons et invertébrés marins
171 naissances dont un girafon, trois maki catta, un pudu des Andes, deux vigognes, deux vautours fauves, six ibis chauves…
83 animaux sont partis rejoindre d'autres parcs zoologiques
748 examens et opérations vétérinaires : 162 anesthésies, 258 radiographies, 45 opérations chirurgicales, 15 endoscopies, 155 échographies, 113 identifications par puce
2,5 tonnes de fruits et légumes par semaine
10,5 tonnes de viande, 20 tonnes de poissons et 200 tonnes de fourrages pour l'année
Plus de 72 000 € de dons ont été réalisés en faveur de l'aquarium récifal grâce à la générosité de 880 parrains
4 936 abonnés en 2019
De nombreux anniversaires : 1 an de Sakani (fossa) et d’Aloha (jaguar), 5 ans d’Ayane et Aro (babouins) et d’Eywa (tapir), 10 ans d’Herbert et Kaï (lamantins) et d’Aramis (jaguar), 20 ans de Betty (ara hyacinthe), 30 ans de Guenièvre (girafe) et Tinus (lamantin)…
Plus de 100 heures de missions d'expertise et d’enseignement
13 publications scientifiques et de vulgarisation
800 heures de travail et 50 tonnes de matériaux pour aménager les enclos (terre franche, calcaire concassé, branches ou troncs issus d'élagages, de tailles ou d'arbres morts, rochers et blocs minéraux divers, troncs et branches d'arbres entiers, graminées sèches, écorces de pin...)
Nous vous réservons de nombreuses surprises pour 2020 et espérons vous accueillir plus nombreux encore.

Bonne année à tous !
En France , la liberté d'expression est un principe intangible, c'est sur cette base que toute personne peut librement émettre une opinion, positive ou négative, sur un sujet mais aussi sur une personne physique ou morale, une institution .
didier
 
Messages: 15735
Enregistré le: Samedi 13 Août 2005 10:28
Localisation: charenton-le-pont

Re: Parc zoologique de Paris 2019

Messagepar didier » Mercredi 19 Février 2020 18:08

J'ai enfin découvert aujourd'hui l'aquarium récifal et son fameux requin bambou, quelle déception ! Même dans des animaleries, j'ai déjà vu des aquariums plus grands, franchement, difficile de faire pire.
En France , la liberté d'expression est un principe intangible, c'est sur cette base que toute personne peut librement émettre une opinion, positive ou négative, sur un sujet mais aussi sur une personne physique ou morale, une institution .
didier
 
Messages: 15735
Enregistré le: Samedi 13 Août 2005 10:28
Localisation: charenton-le-pont

Re: Parc zoologique de Paris 2019

Messagepar gibbon » Jeudi 20 Février 2020 20:23

Effectivement, cet aquarium est sans intérêt. Il a été mis à la place de la loge intérieure des lémurs varis à ceinture. Le requin-bambou qu'on nous annonçait sur toutes les affiches est resté invisible durant le quart d'heure que j'ai passé devant l’aquarium la semaine dernière.
Le zèbre de Grévy mâle est isolé dans le petit enclos tandis que les femelles sont avec les rhinocéros blancs.
Les trois tapirs terrestres (1.2) sont enfin ensemble dans l'enclos.
Chez les lions, l'un des deux jeunes mâles nés au zoo en 2015 est parti (en été 2019) pour un autre parc, et l'autre (celui qui a du mal à se déplacer) a manifestement été castré car il n'a plus de crinière. J'ai d'ailleurs entendu des visiteurs le prendre pour une lionne. Cela laisse supposer que le parc accueillera prochainement un nouveau mâle reproducteur.
Les deux espèces d'otaries sont toujours en cohabitation dans le grand bassin.
« Les oiseaux ne descendent pas des dinosaures, ce sont des dinosaures à proprement parler. »
Guillaume Lecointre
Avatar de l’utilisateur
gibbon
 
Messages: 2631
Enregistré le: Jeudi 10 Mai 2012 11:31

Précédente

Retourner vers Comptes-rendus de visites

Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré et 16 invités

Tigre en mouvement