Reportages TV

[Philippe]

e=M6 à Beauval

Dans l'émission e=M6, dimanche 15 février à 20h05, le présentateur Mac Lesggy s'intéressera à l'instinct naturel des animaux et fera étape au ZooParc de Beauval pour évoquer l'enrichissement du milieu et la préservation de l'instinct des grands singes en parc zoologique.
Une escapade à Djibouti, où Beauval réimplante des herbivores au sein d'un refuge, illustrera par ailleurs ce sujet.

Source : ZooParc de Beauval.

[Philippe]

La Vallée des Singes sera également le cadre d'un reportage de l'émission "Hélène et les animaux", samedi 14 février à 15 h 05, sur France 5.

[Philippe]

"Une saison au zoo" a fait d'eux des stars

La série de France 4 "Une saison au zoo" va bientôt revenir au zoo de La Flèche pour de nouveaux tournage. Les deux premières saisons ont déjà apporté 40.000 visiteurs de plus au parc animalier et il a fait de ses employés de vraies stars.

Le tournage de la troisième "Saison au zoo" de France 4 va commencer au mois de mars au zoo de La Flèche. On va donc pouvoir continuer de suivre le travail au quotidien des employés du parc avec les animaux : les lions blancs, les éléphants, les petits singes, les otaries, etc.

Les deux premières saisons diffusées l'an dernier ont été vues par 300.000 spectateurs en moyenne et beaucoup ont eu envie de voir les animaux et leurs soigneurs "en vrai". Résultat, le zoo de La Flèche a vu débarquer 40.000 visiteurs de plus ! Et les employés sont devenus de véritables stars qui doivent signer des autographes et à qui on offre des cadeaux. "C'est bizarre, on entend notre prénom dans les allées - Ah ! C'est Aurélie - et quand on va faire nos courses aussi : signer des autographes au rayon fromage, ça fait bizarre ça aussi" raconte la jeune soigneuse. "On a aussi des cadeaux, des enfants qui nous font des petits bracelets et puis beaucoup, beaucoup de courrier de fans" glisse dans un sourire Anthony, le chef animalier.

Une fréquentation en hausse de 40000 visiteurs l'an dernier

Et le plaisir va dans les deux sens : les visiteurs qui viennent au zoo après avoir vu la série affichent eux aussi un grand sourire : "Des fois en zappant, je tombe dessus et c'est vrai que je me suis dit "Ah tiens, je reconnais ! " C'est vrai que c'est rigolo" confie une dame en pleine visite. Cette maman confirme : "Quand on est arrivé, les garçons ont reconnu l'entrée, certains bâtiments et puis les soigneurs."

Source (avec reportages audio) : http://www.francebleu.fr/infos/une-sais ... rs-2158265

[Philippe]

Un zoo à Paris : saison 2 du 2 au 6 mars sur France 5

Depuis l’ouverture en avril 2014, le Parc Zoologique de Paris a accueilli mille animaux répartis sur cinq écosystèmes aménagés au plus proche de leur milieu d’origine pour recréer un monde sauvage au coeur de Paris.

Soigneurs et vétérinaires oeuvrent quotidiennement à leur bien-être. À travers leurs yeux, nous allons partager leur quotidien, leurs émotions. Les lémuriens, les otaries, les lions, les manchots et les rhinocéros sont les héros de la saison 2 de la série Un zoo à Paris. Sur France 5.

Lundi 2 mars à 15.10 : L'île aux lémuriens. Réalisation Guy Beauché. Au zoo, trois espèces de lémuriens d’origine malgache cohabitent sur un grand îlot de verdure. Delphine Roullet, la primatologue reste très attentive à leurs comportements. En effet, à Madagascar, ces espèces ne se croisent jamais, vivant dans des forêts différentes.

Mardi 3 mars à 15.10 : Le bassin des otaries. Réalisation : Guillaume Maidatchevsky. Les quatre otaries du parc se prénomment Aramis, Portos, Ela et Nora. Elles sont très affectives. L’équipe vétérinaire peut donc les approcher de près et les familiariser ainsi avec des gestes médicaux.

Mercredi 4 mars à 15.10 : Le rocher des lions. Réalisation : Guillaume Maidatchevsky. Le clan des lions d’Afrique se compose de trois femelles : Savannah, Buni, Aswad, et d’un mâle, Néro. Depuis quelques jours, Aswad et Néro sont très complices. La jeune lionne n’a pas encore eu de petits mais elle semble prête à devenir mère.

Jeudi 5 mars à 15.10 : Au milieu des manchots. Réalisation : Samuel Toutain. Les flamants roses et les manchots de humbolt sont les plus grands groupes d’oiseaux du zoo. Originaires de Patagonie, les manchots ont la particularité d’être d’excellents nageurs Dans la grande volière africaine, les flamants roses sont déjà en couple. L’arrivée des poussins ne devrait plus tarder

Vendredi 6 mars à 15.10 : Un enclos pour deux rhinos. Réalisation Guy beauché. Ce matin, un rhinocéros blanc du Sud s’apprête à rejoindre le parc. Il se prénomme Wami, il a seulement 2 ans mais pèse déjà une tonne et demi. Dans quelques semaines, Wami sera rejoint par un autre jeune rhinocéros. La bonne entente entre ses deux colosses est un enjeu majeur pour l’équipe.

Format 5x26 min. Auteurs : Guy Beauché, Guillaume Maidatchevsky.

Source : leblogtvnews.

[Philippe]

Voici le lien vers un court extrait du magazine "Grands Reportages" qui sera diffusé dimanche 1er mars à 13h25, sur TF1 :
https://www.youtube.com/watch?v=PP0BxKGhBoY

[Philippe]

Et voici le lien vers un court reportage signé Ouest France concernant l'arrivée d'une nouvelle femelle hippopotame, baptisée Lotty, à Planète Sauvage (Loire-Atlantique) en provenance de Berlin :
http://www.ouest-france.fr/insolite-dan ... me-3209214

[okapi]

"Ces échanges, obligatoirement gratuits, sont régis par un coordinateur européen. Leur but est d'assurer la reproduction des espèces protégées."
C'est toujours un peu ambigu ces assertions gratuites: si on incite des hippopotames à se reproduire pour les étriper ensuite, ça n'a guère de sens d'en faire un étendard pour la protection. Idem pour les bisons, à moins qu'ils ne soient européens: ceci pour compléter un autre fil où il était suggéré que les zoos assumaient leurs messages. Et tous les échanges ne sont pas forcément gratuits.

[Philippe]

Juste une précision concernant le bison. C'est assez surprenant quand on le voit au menu de certains restaurants de zones industrielles mais l'espèce américaine (Bison bison) dans son ensemble est considérée comme "quasi menacée" par l'UICN.

[Vinch]

Tout sur l'élevage de bison:
http://cra-lorraine.fr/fichiers/div-ele ... bisons.pdf

[okapi]

Etrange, en effet, sauf si on ne considère que les individus nés et élevés sur le territoire Nord Américain. Il y aurait environ 2 500 bisons "américains" en Europe.

[Philippe]

En fait, il semblerait que ce statut soit à la fois lié au nombre limité d'individus survivant à l'état sauvage, au petit nombre de troupeaux viables et à la quasi absence de liens entre les populations sauvages. La survie de l'espèce dépend donc de l'élevage. Or 97 % de la population captive nord-américaine est gérée à des fins commerciales et non de conservation (avec, je suppose, des critères de "sélection" pour la reproduction qui diffèrent entre producteurs de viande et conservationnistes...).
D'où l'avenir encore incertain de cette espèce selon l'UICN.

[okapi]

Donc, si le bison en question n'est pas "pur", difficile de parler de conservation à son sujet. Idem a priori pour l'hippopotame et le wallaby... Trois animaux qui vont remplir des cases, mais sans doute pas contribuer à rendre le plan de collection intelligible...

[Philippe]

L'UICN motive sa décision en évoquant les bisons élevés en captivité en Amérique du Nord. Qu'il puisse y avoir des dérives dans l'élevage à grande échelle aux Etats-Unis est possible.
Pour l'hippopotame amphibie, au moins la question des sous-espèces ne se pose pas... Ceci dit, rappelons que l'espèce est classée vulnérable depuis 2006.
Le plan de collection d'un parc est une chose. L'utilité d'éventuels programmes de conservation pour des espèces considérées par l'UICN comme menacés à des degrés divers en est une autre.

[Philippe]

Serre du parc zoologique de Paris
Voici le lien vers un sujet diffusé dans l'émission Télématin sur France 2 sur la grande serre tropicale de Vincennes :
http://www.france2.fr/emissions/telemat ... nes_301715

[okapi]

En fait, au-delà du classement, c'est au nombre d'individus qu'il faudrait se référer: l'hippopotame est vulnérable, mais il en subsiste des milliers. Les zoos devraient se concentrer sur les espèces dont les seuils de "présence" sont inquiétants ou critiques. Parce qu'en réalité, comme nous l'avons régulièrement lu ici, la plupart des espèces sont ou vont devenir vulnérables: c'est le meilleur et le pire argument pour justifier toutes les espèces possibles dans nos parcs et en dédouaner un certain nombre de faire mieux que 30% d'espèces en danger pour 70% d'espèces moins utiles, mais plus spectaculaires ou plus faciles d'accès.