Parc de la Citadelle de Besançon :
Le muséum d’histoire naturelle de Besançon - plus connu sous la dénomination de zoo - s’est engagé depuis de nombreuses années dans un programme de préservation des animaux en voie de disparition, notamment les lémuriens de Madagascar. Le conservateur du muséum Jean-Yves Robert s’est pris de passion pour ces petits primates à tel point que, cette année, il effectuera une mission à Madagascar. Dans cette île vivent les grands hapalémurs — qui représentent la plus grande espèce de lémuriens. Ils sont surnommés les « pandas de Madagascar » car, à l’instar des grands pandas de Chine, ils ne se nourrissent que de pousses de bambous.
Durant près de trois semaines, accompagné par des scientifiques, Jean-Yves Robert partira à la recherche de ces petits animaux dans la jungle malgache. Il devrait ramener de ce voyage un mâle grand hapalémur afin d’assurer la reproduction à Besançon, tout en renouvelant les gènes, sachant qu’il n’y a que 16 lémuriens de cette espèce en captivité dans le monde.
Un zoo est un outil pour assurer la conservation des espèces :
« Nous voulons donner une autre image de la citadelle que celle d’un zoo conservateur, affirme Jean-Yves Robert. Il faut faire évoluer les mentalités et aujourd’hui un zoo est un outil pour assurer la conservation des espèces. » Dans cette optique, le muséum va accueillir, cette année, des sangliers des Visayas et des cerfs du Prince Alfred, deux espèces originaires des Philippines. « Ces deux espèces menacées bénéficient d’un programme d’élevage européen, précise le conservateur du muséum. Et la stratégie des zoos modernes est de récolter de l’argent pour mieux protéger les espèces sur place, dans la nature. C’est plus ef ficace de protéger le milieu de vie. » Ainsi une partie de l’argent récolté par les zoos est reversée à la protection de ces animaux dans leurs pays.
Source : http://www.lepays.fr/fr/article/3007239,1181/De-nouveaux-animaux-attendus-cette-annee.html
Le muséum d’histoire naturelle de Besançon - plus connu sous la dénomination de zoo - s’est engagé depuis de nombreuses années dans un programme de préservation des animaux en voie de disparition, notamment les lémuriens de Madagascar. Le conservateur du muséum Jean-Yves Robert s’est pris de passion pour ces petits primates à tel point que, cette année, il effectuera une mission à Madagascar. Dans cette île vivent les grands hapalémurs — qui représentent la plus grande espèce de lémuriens. Ils sont surnommés les « pandas de Madagascar » car, à l’instar des grands pandas de Chine, ils ne se nourrissent que de pousses de bambous.
Durant près de trois semaines, accompagné par des scientifiques, Jean-Yves Robert partira à la recherche de ces petits animaux dans la jungle malgache. Il devrait ramener de ce voyage un mâle grand hapalémur afin d’assurer la reproduction à Besançon, tout en renouvelant les gènes, sachant qu’il n’y a que 16 lémuriens de cette espèce en captivité dans le monde.
Un zoo est un outil pour assurer la conservation des espèces :
« Nous voulons donner une autre image de la citadelle que celle d’un zoo conservateur, affirme Jean-Yves Robert. Il faut faire évoluer les mentalités et aujourd’hui un zoo est un outil pour assurer la conservation des espèces. » Dans cette optique, le muséum va accueillir, cette année, des sangliers des Visayas et des cerfs du Prince Alfred, deux espèces originaires des Philippines. « Ces deux espèces menacées bénéficient d’un programme d’élevage européen, précise le conservateur du muséum. Et la stratégie des zoos modernes est de récolter de l’argent pour mieux protéger les espèces sur place, dans la nature. C’est plus ef ficace de protéger le milieu de vie. » Ainsi une partie de l’argent récolté par les zoos est reversée à la protection de ces animaux dans leurs pays.
Source : http://www.lepays.fr/fr/article/3007239,1181/De-nouveaux-animaux-attendus-cette-annee.html