Nouveautés 2019 dans les parcs français

[okapi]

Dites-moi, le zoo de Lyon, c'est bien cette petite enclave au coeur du PARC de la Tête d'Or, non? Ce lieu verdoyant, avec des pépinières, ses jardiniers entièrement dédiés aux plantations et à l'entretien de ces hectares de végétation... J'imagine que le choix de l'espèce pour remplacer l'ours, il ne s'est pas fait la veille, donc la moindre des choses, à peu de frais, aurait peut-être été d'aménager un peu cet enclos, non? Coup de bol, il n'y a pas besoin de grilles, de piquets et de ficelles, de rochers, mais juste de densifier un peu les plantations... Problème de saison? Alors au moins des écrans temporaires pour éviter à cette animal d'être exhibé sans pouvoir se replier...

[Antoine6259]

D'autant plus que le gestionnaire des collection botaniques du parc de la Tête d'Or était l'un des spécialistes français de la flore asiatique. Sa collection personnelle est même assez impressionnante ! (et il s'agit de plantes qu'il cultive en pleine terre je précise !)

[Simon38]

C'est effectivement très dénudé... Etrange car lorsque l'ours était là, l'espace semblait beaucoup plus végétalisé.

[Joseph]

Les cerfs huppés seront présents temporairement dans cette enclos avant d'être déplacés vers la nouvelle zone "forêts d'Asie" qui devrait être ouverte l'année prochaine. Le réamenagement de cette fosse est donc peut être prévu pour les prochains projets...

[okapi]

Donc, pendant un an, au moins, cet animal va vivre dans un espace pas vraiment très proche de ce qu'il devrait être: forêt humide, bord de l'eau... Même temporaire, un aménagement végétal, dans un parc botanique, ça ne doit pas être si complexe à mettre en oeuvre...
Cela dit, quand on voit les enclos des anoas à Paris, on se dit que là non plus, la végétalisation, c'est pas le truc du Muséum...

[zoovenirs]

Non, même si on est loin d'un bout de forêt humide au bord de l'eau, l'espace est arboré et un filet d’eau est présent au bas de la fosse. Il est relativement grand pour cette petite espèce avec quelques cachettes.

Une photo d'un bout de la fosse qui donne un petit aperçu.

[guirosama]

Hé bé, c'est pas si mal ! Mais cela ne donnait pas cette impression à la photo ou à la vidéo des premiers pas du cerf huppé (qui d'ailleurs ne marchait pas) et restait planté contre son mur à grignoter quelques herbes

[Simon38]

Voilà c'est exactement le souvenir que j'en avais : un enclos assez vaste pour une petite espèce, bien ombragé et planté. Alors, la faute à l'hiver ? Ou des signes de travaux à venir ?

[okapi]

Vu comme ça, c'est effectivement moins désespérant que sur la première photo! C'est la bestiole tétanisée contre le rocher qui nous a fait faire fausse route!

[zoovenirs]

Pensez que contrairement aux températures actuelles, nous sommes en hiver et que la plupart des végétaux de cet espace sont caducs.

[Philippe]

Upie (Drôme) : le zoo a accueilli huit tortues de Madagascar

Quatre mâles et quatre femelles de tortues Astrochelys radiata de Madagascar, une espèce menacée d’extinction, ont pris leur quartier dans la zone africaine.

Huit tortues rayonnées de Madagascar sont arrivées en ces derniers jours de février au parc d’Upie. Cette espèce est fortement menacée sur son île d’origine et est actuellement classée “en danger critique d’extinction” par l’Union internationale pour la conservation de la nature. Les deux principales menaces sur cette espèce sont la destruction de son habitat et les captures illicites pour la viande et le commerce illégal.

Quatre mâles et quatre femelles de 15 à 20 ans, ont élu domicile dans la zone africaine du zoo upien et pourront profiter d’un espace de 1.000 m² très prochainement dans l’enclos malgache. Elles doivent leur nom aux dessins en forme de rayons de soleil sur leur carapace.

Elle peut atteindre 20 kg pour 40 cm

C’est une espèce très robuste et son espérance de vie peut dépasser allègrement la barre des 100 ans. Elle peut atteindre 20 kg pour 40 cm. Elle a besoin de chaleur et d’humidité avec une température de 20°. Ces tortues vivent sur un sol sablonneux et, tous les jours, elles ont droit à une petite douche qu’elles apprécient à tel point qu’elles se mettent aussitôt debout sur leurs pattes.

Elles se nourrissent de fourrage, plantes sauvages, pissenlit, trèfle, roquette de figuiers de Barbarie, légumes et quelques fruits pour friandises. Mâles et femelles ne se rencontrent que pour l’accouplement. La femelle peut conserver le sperme plusieurs années, et ainsi pondre des œufs fécondés même sans partenaire !

Source : Le Dauphiné Libéré.

[Philippe]

Les Sables-d’Olonne (Vendée) : quoi de neuf au zoo ?

Le zoo a profité d’une pause hivernale pour faire des travaux d’aménagement. Quelles autres nouveautés attendent les visiteurs depuis sa réouverture début février ?

Fermé depuis le 11 novembre 2018, le zoo des Sables-d’Olonne rouvre ses portes le 9 février. Il a profité de ces trois mois pour réaliser des travaux de réfection, des ateliers de training d’espèces sauvages et des nouveaux projets de conservation des animaux en lien avec diverses associations.

Nouveau visage

« Nous sommes beaucoup à l’écoute des doléances des visiteurs et nous avons senti que le zoo devait se moderniser  » , explique Sandrine Silhol, directrice. Pour rafraîchir le parc, toutes les allées sont désormais bétonnées. Adieu les allées de terres vieillissantes. Aujourd’hui elles sont décorées d’empreintes d’animaux. « Cela a un but ludique et pédagogique, un panneau indique d’où proviennent les empreintes. »

Pour animer la visite, un défi attend les visiteurs : trouver les empreintes du dinosaure Eubronte veillonensis, dans les allées du parc. Rappelez-vous, des traces de ce dinosaure ont été découvertes au Veillon, en 1963.

Des enclos sont également remis à neuf. Pour le bien-être des flamants roses, un nouveau bassin les attend. Ce dernier est entouré davantage de sable pour qu’ils puissent faire leurs nids.

Enfin, chaque pente est aujourd’hui aux normes de 4 % de dénivelé pour l’accès du site aux personnes à mobilité réduite.

Nouveau défi

Le parc zoologique des Sables-d’Olonne se lance dans un nouveau défi : amener les animaux sauvages à faire des activités pour leur santé. Le training permet de peser les animaux ou encore de les soigner par des piqûres, sans les stresser. Aujourd’hui, Nicolas, animalier au zoo, en est à la phase de préparation avec les chiennes des buissons. Ces animaux sauvages apprennent d’abord à suivre la cible orange et à s’arrêter devant. Pour leur signifier qu’elles font bien l’exercice, Nicolas leur offre une récompense. « Avant, on ne pouvait pas les peser. On devait soit vérifier à l’œil, soit les forcer à entrer dans une cage. » Nicolas entraîne Kesara, la mère, et Tupi, la fille, deux à trois fois par semaine, pendant cinq minutes.

Nouvelles autorisations de reproduction

Dans les parcs zoologiques, les reproductions sont contrôlées et modérées. Cette année, le zoo des Sables a obtenu l’accord des coordinateurs du panda roux, des sakis (singes) et du loup à crinière, pour leur reproduction.

« Nous sommes un parc à vocation écologique »

Cet hiver, le zoo a multiplié les partenariats de projet de conservation des espèces. Cinq nouveaux s’ajoutent à la liste. Parmi eux, le projet de l’association Helpsimus. Le zoo des Sables aide à la sauvegarde du grand Hapalémur et de son environnement. La conservation de ce lémurien de Madagascar se fait en partenariat avec une école. Le zoo finance le salaire d’un instituteur.
Au Népal, avec le projet de l’association Red Panda Network, le zoo paye un garde forestier pour la défense du panda roux. « La conservation des espèces menacées et de leurs milieux est un volet central du zoo », confie Sandrine Silhol.

Empreintes du loup d’Europe à découvrir dans les allées.

Le nouvel enclos des flamants roses.

Source : Ouest-France.

[didier]

Clères: des flamants de cuba pour la nouvelle saison du parc zoologique.

Article complet avec vidéo : https://france3-regions.francetvinfo.fr ... wMz5rd1nsE

[nico]

Zoo de Jurques

La fôret des tigres blancs est bientôt prête ! Construction presque terminée pour la Cabane du Trappeur (poste d'observation) et assemblage de troncs d'arbres en cours pour la construction d'un pont


Source : zoo de jurques

[Philippe]

Deux alpagas s'installent au Parc aux loups de Chabrières (23)

Le parc aux loups de Chabrières compte deux pensionnaires de plus ! Un couple d'alpagas vient d'arriver dans le parc animalier. Ils seront visibles dès l'entrée du site.

Deux jeunes alpagas viennent de rejoindre le Parc animalier des Monts de Guéret "Les loups de Chabrières". Il s'agit d'un couple. Le mâle est âgé d'un an. La femelle, d'un an et demi.

Ces deux mammifères seront visibles dès l'entrée du parc, lors de vos prochaines visites. Ils seront dans l'enclos habité. L'alpaga est un animal de la famille des lamas. Il est entièrement recouvert de laine et peut vivre jusqu'à 20 ans.

L'équipe du parc espère avoir des naissances d'ici quelques années. Vu l'âge des alpagas, ça ne sera pas avant 2020 !

Source : France Bleu Creuse.