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Messagepar Antoine6259 » Dimanche 21 Janvier 2018 10:30

Oui, il y a deux espèces nord-américaines, tout comme il y a quelques espèces africaines. Mais ce n'est pas la base de la collection normalement.
De plus, le raton laveur est maintenant présent en Asie, au bord de la mer Caspienne et au Japon. Les chèvres des montagnes Rocheuses doivent leur présence au fait que les caprins ont été une spécialité de la Ménagerie, Jean-Luc Berthier ayant été coordinateur du pôle à l'EAZA. Mais c'était la seule espèce nord-américaine sur plusieurs espèces asiatiques (gorals, arkals, bouquetins du Caucase, markhors, bharals.)
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Messagepar Thibaut » Dimanche 21 Janvier 2018 10:49

Finalement ce n'était qu'un premier jet. Je vais changer plus de chose, je vous montrerais quand ça sera bien finit cette fois.


Merci pour tes précisions je ne savais pas pour les chèvres, bien sûr tu as raison. :)
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Messagepar abel » Dimanche 21 Janvier 2018 11:37

La singerie de la Ménagerie fait pour moi partie des priorités.

Sinon, le Dr Jean-Luc Berthier était toujours le vice-président du TAG Caprinés de l'EAZA fin 2016, mais il souhaitait se retirer, donc je ne sais pas s'il est encore en fonction. Actuellement, le TAG déconseille l'élevage des chèvres des montagnes Rocheuses, le Parc Animalier d'Auvergne par exemple voulait en accueillir mais le TAG leur a plutôt conseillé les takins et markhors à la place.
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Messagepar Thibaut » Dimanche 21 Janvier 2018 11:42

La singerie est pour ce qu'il y a de plus compliqué à changer.

En même temps les chèvres des rocheuses sont LC, des arkals ou Turs sont bien plus menacé.
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Messagepar Antoine6259 » Dimanche 21 Janvier 2018 11:54

Oui, je pense qu'il a pris sa retraite maintenant. Mais à vérifier ?

Les chèvres des rocheuses ne sont pas particulièrement menacées, comme pas mal d'espèces nord-américaines. Mais ça n'en reste pas moins un bel animal, intéressant dans le cadre de la création d'une zone géographique (donc pas vraiment à sa place à la Ménagerie...)
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Messagepar abel » Dimanche 21 Janvier 2018 12:11

Oui, cette recommandation du TAG s'explique en effet par le classement Least Concern des chèvres des montagnes Rocheuses. Plusieurs populations assez importantes sont entièrement protégées car présentes dans des parcs nationaux comme à Yellowstone. Néanmoins, localement, certaines populations sont en déclin, même si ça n'impacte pas la survie de l'espèce. Je comprends cette décision du TAG, même s'il s'agit d'une très belle espèce. Après, il est certain que les individus de la Ménagerie auraient gagné à être envoyé dans un parc de montagne comme le Parc Animalier d'Auvergne.
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Messagepar zoobeauval25 » Dimanche 21 Janvier 2018 13:22

Ou alors un beau complexe pédagogique sur les caprins ?
Je trouve ça bien plus intéressant que des zones géographiques personnellement.
Et je suis sûr que ce serait plus enrichissant pour les visiteurs.
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Messagepar Thibaut » Dimanche 21 Janvier 2018 18:31

Malheureusement pour la plupart des visiteurs un caprin reste une chèvre et un pademelon reste un kangourou.
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Messagepar Antoine6259 » Dimanche 21 Janvier 2018 19:00

En plus d'avoir des réserves sur les parc mono-spécifiques, je ne pense vraiment pas que la Ménagerie soit adaptée pour ça.
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Messagepar zoobeauval25 » Dimanche 21 Janvier 2018 19:31

Pourtant c'est bien ce qu'était le parc au début ! Il pourrait remettre cette classification au goût du jour...
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Messagepar Antoine6259 » Dimanche 21 Janvier 2018 20:16

Ah bon ? Avec quelles espèces ?
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Messagepar zoobeauval25 » Dimanche 21 Janvier 2018 21:22

Reprendre le concept de fauverie par exemple, pour en faire un espace d'interprétation sur les petits félins !
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Messagepar lagirafedu25 » Lundi 22 Janvier 2018 16:38

Projet de rénovation du zoo de la Barben

Les réaménagements et nouveautés du parc verront principlament l'effacement des plus gros points noirs encore existants, le départ du trop grand nombre d'herbivores communs qui mangent toute la place, l'arrivée de nouvelles espèces dont beaucoup sont menacées et l'orientation de la majorité de la collection vers la faune africaine et sud-américaine.

Vers l'entrée, là où se trouve les premiers enclos :
Les 2 volières où voltent actuellement des psittacidés sont vidés de leurs occupants et fusionnées entre elles. De nouveaux oiseaux cette fois-ci africains viennent s'y installer, à savoir : un couple de touraco vert, une petite colonie d'une quinzaine de tisserins dorés et un couple de canard à bec jaune. Dans la volière d'en face qui hébergeait autrefois les porc-épics, le sol bétonné est enlevé, le nouveau substrat au sol est fait de terre et d'écorce afin d'y planter de la végétation. Les grillages de l'enclos subissent également un bon lifting. Des perchoirs et nichoirs sont installés et profitent au petit groupe de gris du Gabon du parc.
L'ancien enclos des pumas dans lequel ont également vécus les loups à crinière et les srevals est agrémenté de nouveaux agrès, plateformes etc pour le relogement des babouins hamadryas, dont l'installation actuelle est totalement inadaptée.

En poursuivant sur l'allée des enclos du bas du parc :
Nous arrivons sur le nouvel enclos des pandas roux qui reste tel qu'il est. En revanche un couple de cerfs cochon y fait son arrivée.
La volière des lémuriens est agrandie en surface, elle accueille donc un trio de mâles varis noir et blanc, un groupe de makis cattas composé d'un mâle et de 3 femelles et un couple de lémur à ventre roux. Quelques oiseaux malgaches pourraient également faire leur apparition dans cette volière tel que des ibis huppés.
L'enclos d'en face occupé par des chèvres naines est vidé et accueille un petit troupeau de mouton de Somalie ainsi que les 2 ânes nains qui vivent avec les dromadaires.
Puis, le petit enclos suivant autrefois occupé par les wallabys de Bennett et où vivent actuellement des tortues sulcata est réaménagé en vu d'ajouter à la présentation le couple de fennec du zoo. Un petit bâtiment est érigé en haut de l'enclos, des yuccas sont plantés, le substrat est enrichi de sable et de gravillons. Un petit point d'eau en béton est aménagé pour les tortues.
Enfin, l'enclos des mouflons à manchette est doublé en surface et permet ainsi l'accueil d'un bachelor de gélada.

En continuant sur le bas :
Les ours bruns quittent le parc et sont remplacés par une espèces plus petite comme des ours à lunettes ou malais, mieux adaptée aux dimensions de l'enclos. Un brin de neuf sera apporté aux clôtures et au bâtiment de l'enclos avant l'arrivée des nouveaux ours.
L'ancien enclos des tigres, aujourd'hui occupé par des crocodiles du Nil, pourrait se voir occupé par un couple de panthère de Perse qui feraient alors leur retour dans le parc.
La volière des vautours reste telle qu'elle est. Les oiseaux qui la peuplent sont donc : un couple de vautour à dos blanc, 2 couples de vautours fauves ainsi qu'une colonie d'une dizaine d'ibis chauve et un couple de vautour percnoptère, nouveaux arrivants de cette volière.
En contrebas de ces enclos, une large bande forestière est inutilisée. Une partie de cet espace sera donc aménagé de sorte à pouvoir y déplacer le couple de casoar du parc. 2 enclos de 1000m² chacun et un bâtiment commun seront érigés. Il y aura également un apport de buissons et arbustes afin d'étoffer le manque de végétation au sol.

En remontant vers les enclos des grands herbivores :
Les cerfs élaphe, daims, nilgauts et antilopes cervicapres quittent le parc. La meute de loups gris est déménagée sur l'enclos des cerfs avec biensur les réaménagements nécessaires.
L'ancienne « plaine asiatique » est convertie en une plaine argentine aménagée dans laquelle vivent un groupe reproducteur de guanaco (1 mâle et 6 femelles), un groupe reproducteur de nandou de Darwin (1 mâle et 3 femelles) ainsi qu'une quinzaine de maras. Une petite partie de l'enclos, aménagée d'arbustes, de troncs et de buissons, sera réservée au petit groupe de pécaris à collier du zoo.
En face, les enclos des dromadaires et des bisons sont fusionnés. Ces derniers quittent le parc tandis que les dromadaire feront partie d'un autre projet. L'énorme plaine des bisons est transformé en une prairie herbeuse, plantée de palmiers, de bosquets et munie d'un nouveau bâtiment et d'un large étang allant jusqu'à une profondeur de 2,50 mètres. Cet espace sera le nouveau lieu de vie du couple d'hippopotames du zoo qui quittent leur petit enclos. Ils seront rejoints par une ou 2 femelles supplémentaires.
L'enclos des dromadaires sera réaménagé dans le but d'accueillir des antilopes. Une étable munie de plusieurs box sera érigée derrière le bosquet de l'enclos. Un groupe de cobes à croissant (1 mâle et 2 femelles) et des sitatungas (1 mâle et 4 femelles) auront cet enclos comme espace de replis, en effet les antilopes auront accès à la plaine des hippos via des petits passages en poteaux verticaux. Des marabouts investiront également le complexe.
Plus loin, les watussis quittent également le parc. Leur enclos est réaménagé de troncs et d'une étable, il est également agrandi sur l'ensemble de la partie boisée sur la gauche de l'enclos. L'espace devient le lieu de vie d'un couple de potamochère et de quelques femelles buffles des fôrets.
En face, le nouvel enclos des porcs-épics à crête accueille également le trio de suricates vivant au parc.
L'enclos australien des émeus et wallabys de Benett ne changent pas. On peut en revanche prévoir l'arrivée d'un couple d'oies céréopses.

La ligne sud-américaine :
Les enclos des tamanoirs et nandous américans ne changent pas.
Puis, l'escpace vierge ainsi que l'enclos des pécaris sont transformé en une plaine herbeuse séparable en 2 partie où vivent maintenant les tapirs terrestres et les capybaras dont le groupe devient plus important (1 mâle et 3 femelles), les individus en surplus pourront intégrer les enclos des tamanoirs. Des bassins sont aménagés dans chacun des 2 enclos. Les coatis à queue annelée cohabitent également avec les herbivores, des agrès et autres stuctures en hauteur sont mis à leur disposition.
Juste après, la grande volière occuppée par les ibis est transformée en une volière sud-américaine. Celle-ci est agrandie sur toute la longueur vierge allant vers le nouvel enclos des loups à crinière, mais également sur sa hauteur d'au moins 2 mètres supplémentaires. Quelques perchoirs et nichoirs supplémentaires sont ajoutés, le bassin gagne une surface un peu plus large et de la profondeur et la petite cabane de la volière est agarandie. Seuls la petite colonie d'ibis rouges reste dans cette volière. Ils sont rejoints par les psittacidés des volières de l'entrée : un couple de ara ararauna, un couple de ara chloroptère et 3 couples d'amazones à front bleu. De nouveaux oiseaux prennent également place dans cette volière : quelques canards huppés de Patagonie, des vanneaux du Chili, des échasses d'Amérique, un couple de hocco de Blumenbach, une colonie d'une quinzaine de guiras cantara, un couple de pénélopes à gorge bleu et 2 couples de tinamous tataupa.

La plaine sahélienne :
Les 3 enclos pour les espèces domestiques sont vidés de leurs occupants (moutons Karakul, lamas, alpagas, poneys Shetland), tous quittent le parc. Les 3 enclos sont fusionnés avec celui des ânes de Somalie et oryx algazelle pour former une seule et immense plaine. Les dromadaires rejoignent cette plaine. Une nouvelle espèce fait également son arrivée : la gazelle dorcas (1 mâle et 9 femelles). Une partie de la plaine leur sera réservée pour se soustraire à la territorialité des ânes notamment. Au bout de cette plaine, la volière des cigognes blanches qui déménagent est occupée par un couple de bucorves d'Abyssinie.

Nous descendons en direction des enclos des carnivores et des yacks :
Les enclos des lynx et des servals ne changent pas.
Les loups ayant déménagés, leur enclos est transformé en 2 grandes volières aménagées pour des primates. Un bâtiment commun est érigé entre ces 2 volières. La première est allouée au vervets qui vivent près des girafes. La deuxième accueille les cercopithèques de Brazza. L'immensité des volières pourra éventuellement permettre d'intégrer de nouveaux individus afin d'agrandir les groupes.
Puis, les yacks quittent le parc et leur enclos est également transformé en une immense volière pénétrante culminant à 15 mètres de haut. La volière est paysagée de sorte à ressembler à une savane. De hautes herbes recouvrent le sol, à certains endroits, on trouve des espaces sableux, des troncs, buissons, arbustes et quelques rochers parsement la volière. Un large point d'eau d'au moins 300 m² est également creusé avec une profondeur maximale de 50 cm. Cette volière à thème africain héberge 2 espèces déjà présentes au parc : les ibis sacrés ainsi que les cigognes blanches, qui seront rejoints par de nouvelles espèces : un couple de grues couronnées noires, un couple d'ombrettes afriacaines, une dizaine de pintade vulturine, 2 couples de canards à bosse, un couple de calao à bec rouge et 3 couples de cigognes d'Abdim.

En revenant sur nos pas, nous passons devant l'enclos des loups à crinière qui ne change pas, et nous arrivons finalement sur les enclos des girafes et de l'unique éléphante du zoo. Cette dernière quitte le zoo. Les volières des primates étant vides de leurs occupants puisque tous ont été déplacés ailleurs sur le parc, l'enclos des girafes peut alors être agrandi. Une nouvelle giraferie, moderne et accessible au public voit le jour en s'agarndissant sur l'éléphanterie et les volières. Dans l'enclos de l'éléphante, les fossés et le bassin sont comblés afin d'éviter que les girafes ne tombent dedans. En plus de cet agrandissement conséquent, les girafes bénéficient maintenant de la compagnie d'un groupe de petits koudous (1 mâle et 3 femelles) et d'un couple de outardes kori.

La zone des primates :
Celle-ci ne change en rien hormis une élevation en hauteur de la volière des capucins et le départ des chimpanzés, leur succèderont le groupe de saïmiris du parc après quelques aménagements de la volière pour cette espèce.

La nouvelle plaine africaine :
Suite au départ des suricates, fennecs, coatis, saïmiris, tapirs et capybaras, l'ensemble de ses enclos et bâtiments peut être démoli et joint à la plaine des rhinocéros. La destruction des espaces des petites espèces laisse place à un nouveau bâtiment pour les rhinocéros et zèbres tout en arc de cercle et accessible du public. Les enclos des tapirs sont fusionnés avec la partie commune de la plaine. Les bâtiment actuels des rhinos sont réadaptés pour accueillir des antilopes. L'enclos d'isolement des rhinos est conservé.
Sur cette plaine il sera donc possible d'observer : un mâle et 2 femelles rhinocéros blancs, un groupe reproducteur de zèbre de Hartmann composé d'un mâle et de 2 femelles, les zèbres de Burchell ont quittés le parc, un groupe reproducteur de gnous à queue blanche composée d'un mâle et de 4 femelles, plus menacés que les gnous bleus qui ont eux quittés le parc, un bachelor de springbocks d'au moins 10 individus, un groupe reproducteur d'oryx beisa composé d'un mâle et de 3 femelles, un mâle et 3 femelles autruches et une quinzaine de pintades de Numidie.

En faisant le tour de la plaine, nous arrivons sur le nouvel enclos des guépards qui ne changent pas.
Les enclos des casoars inoccuppés après leur déménagement sont fusionnés et cet espace devient le lieu de vie d'un couple de grue du paradis vivant en compagnie d'une famille de dik-dik de Kirk.
Ensuite le terriotire des lions qui ne change pas.
Vient ensuite l'enclos des hippos, celui-ci est utilisé pour reloger les crocodiles du Nil après quelques modifications à l'enclos, notamment un large agrandissement du bassin et une modification du bâtiment pour devenir une sorte de serre visible du public. De nouveaux individus peuvent également faire leur arrivée.
Nous arrivons enfin sur les derniers enclos. Ceux des hyènes rayées ne changent pas et celui des zèbres, après leur départ, voit l'arrivée d'une espèce très rare d'antilope : l'antilope rouanne dont un groupe reproducteur est accueilli au parc, constitué d'un mâle et de 3 femelles.
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Re: Créations

Messagepar lagirafedu25 » Mercredi 24 Janvier 2018 19:57

Je précise bien que j'attends des avis :?
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Re: Créations

Messagepar zoobeauval25 » Mercredi 24 Janvier 2018 20:24

Que dire... C'est très bien ! Mais je pense que ce qu'on attend dans une création, ce sont des choses plus détaillées, et plus osées.
Je ne connais pas la Barben, je ne peux donc pas donner d'avis quand à la justesse de cette création.
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