david a écrit:L avenir des zoos va-t-elle passer par le rattachement à des grands groupes pour assurer le développement et la pérennité ?
Cela risque de devenir compliqué pour les zoos indépendants de suivre....
Je cite david pour bien me faire comprendre : ne nous voilons pas la face. Il n'y a aucunement péril en la demeure et Looping ne vole pas au secours de la Flèche. Looping intègre la Flèche dans son groupe parce que le zoo rapporte de l'argent et même beaucoup d'argent (2,6 millions d'euros de résultat net pour 2016 : ce ne sont que des bénéfices).
Il ne faut plus voir ici les zoos comme une entité que l'on développe et que l'on veut garder : il s'agit juste d'un moyen de développement du groupe et d'accroissement de ses bénéfices.
Les cas de Pont-Scorff et d'Ozoir sont marginaux. La majorité des parcs zoologiques français sont rentables (même les plus petits). C'est justement pour ça que des groupes importants veulent en acquérir.
furylion a écrit:Pourquoi plusieurs zoos (avec des valeurs de protection des animaux) ne s'associeraient pas pour créer un groupe ?
Comme l'a dit Okapi, ça permettrait une mutualisation des moyens et des efforts.
C'est déjà le cas. Le Groupe Thoiry compte quatre parcs (Thoiry, Peaugres, le Colombier - sans animaux maintenant -,Santo Inacio au Portugal), La Boissière et Mervent appartiennent à Monsieur Laurent, Doué et les Sables appartiennent à la famille Gay, CERZA et Biotropica appartiennent à Monsieur Jardin et le Parc des Félins et Terre de Singes à son frère, le Parc Animalier des Pyrénées et Aaran Park à la famille Mounard...