Le froid touche la Réserve de la Haute-Touche
La période hivernale ne freine pas l'activité du parc animalier qui chouchoute ses mille pensionnaires par tous les temps.
Comme chaque hiver, la réserve de La Haute-Touche est actuellement fermée au public. Cette parenthèse ne signifie pas, loin de là, inactivité : il s'agit de subvenir aux besoins quotidiens d'un millier d'animaux répartis sur une centaine d'hectares. Les grands froids, et surtout la neige et le verglas de ce début d'année, ont compliqué les quatre tournées journalières des soigneurs qui ont dû casser la glace des étangs, dégeler les gamelles d'eau, purger les canalisations et les robinets…
La surveillance des pensionnaires venus des cinq continents a été plus assidue, avec la surveillance des engelures et des blessures. Une attention particulière a été portée aux primates, sensibles au grand froid et confinés dans leurs loges intérieures, et pour occuper certaines espèces, il a fallu distribuer des enrichissements alimentaires.
Réouverture en avril
Comme l'explique Patrick Roux, technicien du parc, « la neige n'a absolument pas freiné l'activité du parc, bien au contraire. Pour nous, la vie continue hors saison ». Sur le terrain, avec la réparation, la construction d'enclos, les interventions vétérinaires, mais aussi ailleurs puisque les services administratifs élaborent déjà la réouverture de la réserve, début avril, et la création de nouvelles animations pédagogiques pour les scolaires.
L'échange d'animaux avec de nombreux parcs européens participant aux programmes de reproduction et conservation des espèces en danger d'extinction est aussi d'actualité. Tout comme le travail en laboratoire, et en partenariat avec l'Inra, de recherche en reproduction assistée des espèces sauvages en voie de disparition. Même en morte saison, le parc animalier reste une ruche bourdonnante.
Source : La Nouvelle République
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Lors de ma visite du 5 juillet 2009, plusieurs travaux étaient visibles, le premier directement après le parking du parc à pied :
Le second, à proximité de l'enclos des pécaris (présentés dans l'enclos des loups à crinière, eux même maintenus provisoirement dans le pré-parc des guépards), où un gigantesque plan d'eau pourvu de deux îles herbeuses est actuellement vide de présence animale.
Avez-vous des nouvelles de l'avancée de ces deux travaux ? Quelles espèces (de primates ?) sont aujourd'hui placées sur ces deux îles ? Les pécaris et les loups à crinière ont-ils retrouvé leurs enclos respectifs ?
La période hivernale ne freine pas l'activité du parc animalier qui chouchoute ses mille pensionnaires par tous les temps.
Comme chaque hiver, la réserve de La Haute-Touche est actuellement fermée au public. Cette parenthèse ne signifie pas, loin de là, inactivité : il s'agit de subvenir aux besoins quotidiens d'un millier d'animaux répartis sur une centaine d'hectares. Les grands froids, et surtout la neige et le verglas de ce début d'année, ont compliqué les quatre tournées journalières des soigneurs qui ont dû casser la glace des étangs, dégeler les gamelles d'eau, purger les canalisations et les robinets…
La surveillance des pensionnaires venus des cinq continents a été plus assidue, avec la surveillance des engelures et des blessures. Une attention particulière a été portée aux primates, sensibles au grand froid et confinés dans leurs loges intérieures, et pour occuper certaines espèces, il a fallu distribuer des enrichissements alimentaires.
Réouverture en avril
Comme l'explique Patrick Roux, technicien du parc, « la neige n'a absolument pas freiné l'activité du parc, bien au contraire. Pour nous, la vie continue hors saison ». Sur le terrain, avec la réparation, la construction d'enclos, les interventions vétérinaires, mais aussi ailleurs puisque les services administratifs élaborent déjà la réouverture de la réserve, début avril, et la création de nouvelles animations pédagogiques pour les scolaires.
L'échange d'animaux avec de nombreux parcs européens participant aux programmes de reproduction et conservation des espèces en danger d'extinction est aussi d'actualité. Tout comme le travail en laboratoire, et en partenariat avec l'Inra, de recherche en reproduction assistée des espèces sauvages en voie de disparition. Même en morte saison, le parc animalier reste une ruche bourdonnante.
Source : La Nouvelle République
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Lors de ma visite du 5 juillet 2009, plusieurs travaux étaient visibles, le premier directement après le parking du parc à pied :
Le second, à proximité de l'enclos des pécaris (présentés dans l'enclos des loups à crinière, eux même maintenus provisoirement dans le pré-parc des guépards), où un gigantesque plan d'eau pourvu de deux îles herbeuses est actuellement vide de présence animale.
Avez-vous des nouvelles de l'avancée de ces deux travaux ? Quelles espèces (de primates ?) sont aujourd'hui placées sur ces deux îles ? Les pécaris et les loups à crinière ont-ils retrouvé leurs enclos respectifs ?
