Un zoo racheté par Sea Sheperd France

[Boubouche]

C'est la panique dans le monde zoologique , je tiens à rappeler a tous afdpz et autres qu'ils ont fermés les yeux , au rachat du zoo par Ferrara et a la gestion de madame colas , l'afdpz est venu ,mais par copinage avec l'ancienne directrice et pour nuire a ce zoo , sont état ne date pas d'hier , et personnes n'a bouge le petit doigt , quand le personnel a alerté au rachat , maintenant , c'est l'effervescence partout , mais que se passe t'il ...c'est un peu tard pour alerter non ? Ou alors se sentent ils menacé par tout ça ...bref pas facile de se projeter dans se projet , mais il y a quand même du beau monde dans rewild , qui semble savoir ce qu'ils fond ...seule l'avenir nous dira ce que ça va donner , avant de faire linchage public laissons leur une chance , et pour connaître le personnel du zoo , ils étaient arrives a bout avec la direction actuelle , je pourrais comprendre qu'ils suivent le projet .on vera ce qu ça donne dans les prochains mois

[okapi]

Et nous en sommes à plus de 200 000€ collectés... On se demande bien pourquoi c'est la panique: auraient-ils des choses à se reprocher? La société civile se mobilise, commence à appréhender autrement la notion même de parc zoologique et s'ouvre à la critique de ces établissement longtemps protégés par un vernis vertueux qui tend un peu à s'écailler ces derniers temps.
la réponse de l'AFDPZ ne pouvait pas être différente, mais si un ratio précis était établi entre espèces menacées, aberrations zoologiques et espèces sans intérêt conservatoire présentées dans nos parcs, nul doute que la critique deviendrait beaucoup plus dure. Sans parler d'un regard acéré sur l'adéquation espèce/espace, souvent mise à mal (la récente volière des gibbons d'Asson) et qui pourrait faire de vrais dégâts si les associations étaient plus affutées sur ces questions précises implicitement liées à la captivité.

[spalyc]

J'ai juste une question, si le zoo à terme devient un refuge pour animaux de saisies et de trafics, il est impossible de relâcher ces animaux dans la nature, la plupart sont marqués par leur vie pas toujours facile ils sont très souvent habitués et imprégnés de l'homme leurs chances de survie est quasiment nulle, non ? Et admettons que par miracle, ils survivent, et même ils se reproduisent, les animaux chez les particuliers et de trafic sont-ils génétiquement purs ? N'y a-t-il pas un gros risque de relâcher des animaux avec un ADN pauvre dans la nature ?

Sinon je ne crois pas du tout à ce projet, tous leurs arguments sont stupides et démontables, le budget ne tiendra pas la route et je pense qu'il vont vite lâcher l'affaire quand ils se rendront compte que leur projet ''nul'' et tiré par les cheveux fera faillite.
Ce que je trouve encore plus étrange c'est de cracher sur le zoo, pour inciter les gens à faire un don, mais dans ce cas nul doute qu'une fois aux commandes ils vont changer les nombreuses installations qu'ils ont critiqués et qu'ils n'oseront pas les réutiliser pour d'autres animaux !
Bref à part salir encore plus l'image du Zoo de Pont-Scorff (qui n'était déjà pas au beau fixe) et retarder encore l'arrivée d'un vrai repreneur ils ne vont rien faire d'autre !

[Vinch]

Que l'ANPZ, l'EAZA et les coordinateurs EEP se dépêchent de récupérer et de replacer tous les animaux d'espèces en programme. Ils devraient maintenant penser que c'est là, le plus urgent.
Pour le reste, l'image de Pont Scorff, son devenir, etc... c'est maintenant fichu, à moins que M. Ferrara, dans un éclair de lucidité, puisse encore faire annuler la vente à cette association...
Ce qui fera surtout faillite, c'est la branche française de Sea Shepherd qui a voulu se battre sur un terrain qu'elle ne maîtrise absolument pas.

J'aurais quand même rêvé qu'un groupe comme Looping reprenne le parc, mais non... C'est bien triste comme fin pour ce zoo...

[Vinch]

Et ce n'est pas UNE association, mais un groupement de 7 associations, MDR !!! : - Sea Shepherd, Centre Athénas, Hisa, Le Biome, One Voice, Wildlife Angels, Darwin -

Voici un article riche en détail. Ils ne semblent quand même pas si illuminés que ça, mais est-ce que leur projet est vraiment viable à long terme ?

Zoo de Pont Scorff : racheté par l'ONG Sea Shepherd et 6 autres associations, il va devenir un centre de réhabilitation

Rewild, un groupement de 7 associations dont Sea Shepherd, s'est positionné pour racheter le zoo de Pont Scorff, dans le Morbihan, en difficultés judiciaires. Ce mercredi, une campagne de dons est lancée pour que le zoo soit racheté par les citoyens. 600 000 euros sont à lever.

Ce mercredi 17 décembre, ils ont officiellement signé le compromis de vente.

Comme tous futurs acquéreurs, ils passeront chez le notaire d'ici quelques mois. L'organisation Rewild ("réensauvager") s'est donné cinq mois pour lever 600 000 euros de dons pour acheter ce parc zoo et le transformer en centre de réhabilisation de la faune sauvage.

Un projet ambitieux, le premier en France à proposer cette reconversion.

Le regroupement de 7 associations - Sea Shepherd, Centre Athénas, Hisa, Le Biome, One Voice, Wildlife Angels, Darwin - est co-présidée par trois femmes, dont Lamya Essemlali. Ce mercredi soir, 8 heures après la création de la cagnotte, plus de 100 00 euros de dons ont déjà été levés.

Pour la co-présidente de Rewild, et présidente de Sea Shepherd France, cette levée de fond fonctionne très bien. "Mais la somme à lever est importante donc on a une bonne pression. Si on n'y arrive pas, on va devoir rendre les clés du zoo. On sera soulagé quand on aura vraiment sécurisé l'achat. Il faut que l'engouement se maintienne."

"Ce centre est déjà précurseur dans le monde. On n'a jamais vu un zoo être racheté pour devenir un centre de réhabilitation d'animaux sauvages. La Bretagne aura de quoi être fière de ce nouvel espace", sourit Lamya Essemlali.

Pour cela, une forte campagne de sensibilisation a été faite sur les réseaux sociaux avec le soutien du journaliste Hugo Clément.

Rewild n'attend pas l'argent des citoyens pour commencer son chantier titanesque.
Dès demain, une équipe s'installe au zoo. "L'urgence absolue est d'améliorer le quotidien et les conditions de détention des animaux. On a des phoques qui sont maintenus dans un bassin d'eau douce au lieu d'un milieu marin. Cela occasionne un flot de pathologies. Il y en a un qui est quasi aveugle à cause de ça. L'urgence est de travailler sur leur bassin qui est normalement adapté aux otaries", souligne Lamya Essemlali.

Le premier travail de l'organisation sera de faire un état des lieux des animaux, puis des infrastructures..

Un zoo en difficulté économique

Zoo de Pont-Scorff : "on a voulu préserver l'essentiel"

Le zoo de Pont-Scorff a subi des échecs économiques. Rewild souhaite trouver à ce lieu qui sera baptisé le Wild Rescue Center - centre de réhabilitation de la faune sauvage - un avenir prospère. "Forcément, au début, on va dépendre des dons. Mais à terme, on ne veut pas en être dépendant."

Pour bien fonctionner, l'établissement aura besoin de 100 000 euros par mois.

"On a pensé à une économie novatrice. Le lieu va rester ouvert au public mais les animaux ne seront plus exposés au public. On ne veut pas perturber leur réhabilitation, on veut faire vivre l'endroit sans exploiter les animaux. Le projet c'est de proposer un restaurant végétalien, une boutique de produits Rewild, des habitats écologiques, des lieux de conférences, des ateliers en réalité virtuelle et des expositions."

Les gens qui viendront sur place pourront suivre sur écran les animaux, sans les perturber. Les gens pourront se sentir proche, sans qu'il y ait une proximité physique.
Le rappel de Lamya Essemlali : "aimer les animaux sauvages, c'est les aimer .. de loin !"

L'avenir du Wild Rescue Center

L'objectif c'est de renvoyer le plus d'animaux possibles dans leur habitat naturel. Mais aussi de récupérer les animaux des trafics, car aujourd'hui il n'y a pas de point de chute pour eux. Demain, le centre Wild Rescue Center le sera.
Après la destruction des habitats naturels, le trafic et le commerce d'animaux sauvages sont la deuxième cause de disparition des animaux sauvages.


L'association pourrait avoir besoin de bras, dès l'obtention des 600 000 euros.
"On va avoir besoin de beaucoup de choses ; de bénévoles, de compétences. On a récupéré les clés il y a moins de 48 heures. Une fois la somme de rachat atteinte, on va faire un état des lieux des besoins et tout sera mis à jour sur le site internet de Rewild. On prévoit de faire un pôle pour héberger des bénévoles qui pourraient venir de toute la France voire de l'étranger pour nous aider à faire vivre le lieu."

Une inquiétude planait autour du chalet pour personnes atteintes de troubles autistiques."Elles ont tout à fait leur place dans le projet. Nous avons des activités nouvelles à leur proposer comme le projet d'une recyclerie, répond tout de suite la présidente de Sea Shepherd France. En arrivant sur place, on n'exclut personne. Tout le monde est le bienvenue pour nous aider."

Source: https://france3-regions.francetvinfo.fr ... vmi1tdxpwY

[bodega]

Ils vont avoir les 600.000 € parce qu'ils savent trouver de l'argent.
Après, le problème, ce sera le modèle économique dans la phase de transition qu'ils prévoient parce qu'ils sont quand même complètement isolés dans le milieu, sauf à aller chercher de l'argent public, mais où ? Ils prévoient un cout de fonctionnement mensuel de 100.000 € qui est complètement sous-estimé. Je pense qu'il faut compter le double, voire plus, sans compter les investissements.
Je ne veux pas faire de procès d'intention mais, je crois qu'ils sont mal conseillés. c'est un gros coup de poker pour leur crédibilité. J'ai peur que ça finisse mal pour eux et pour tous ceux qui y auront cru.
A terme, s'ils arrivent à tenir, ils veulent faire un boboland (et pourtant, je suis écolo !). Un bon moyen pour les propriétaires Thomas de valoriser leur terrain... Eux au moins n'auront pas tout perdu.
Enfin, le coup de la recyclerie pour les autistes, c'est quand même une preuve de plus qu'ils ne savent pas où ils foutent les pieds. Ça va être aussi compliqué de transformer des aides soigneurs animaliers en réparateurs de machines à laver que de renvoyer les petites bètes du zoo dans leur milieu naturel.

[spalyc]

C'est complétement fou et hilarant, ça ne marchera jamais et j'ai même hâte de les voir déposer bilan ! En plus il on le culot de changer le nom du lieu, nan mais je rêve, je continuerai d’appeler le parc Pont-Scorff que ça plaise ou non !

[Vinch]

Que tu le veuilles ou non, il faut considérer que Pont Scorff est désormais bel et bien mort.

Ce qu'ils prévoient d' en faire n'aura plus rien à voir et feu Pierre Thomas n'aurait très probablement pas du tout souhaité ça, quoiqu'en dise sa fille, Véronique Thomas.

Ce que je souhaite le plus, c'est que les coordinateurs EEP se dépêchent de retirer et de replacer tous les animaux en EEP...

[zoovenirs]

Presque 250 000 € . J'ai un peu regardé et on peut imaginer un don moyen de 20 €.
Cela ferait 12 500 donateurs.

[zoovenirs]

Ce qui risque de faire la différence ce sont les réseaux sociaux.
Sept associations rassemblées cela fait surement un nombre important de fidèle à la cause animale et des possibilités de nombreux dons.
De nos jours, toutes les personnes investies dans ce projet possèdent une page Facebook (des milliers et milliers d'amis) et cela commence à être largement partagé. Des milliers et milliers d'amis

[didier]

Dans un communiqué, l’AFdPZ (Association française des parcs zoologiques, qui fédère une centaine de parcs zoologiques en métropole et outre-mer) précise que, suite à une visite de membres du conseil d’administration de l’association au zoo de Pont-Scorff, en avril 2019, un courrier de mise en demeure avec une demande de mise en conformité pour des raisons de sécurité et de bien-être animal lui a été adressé. « De nombreux points relevés ne correspondaient pas à l’éthique de l’AFdPZ et aux standards des parcs zoologiques modernes.

Et pour la fosse à ours immonde de Beauval durant des décennies, Tigerworld, les panthères ou orangs-outans de la ménagerie, les primates de Mulhouse, les tigres de La Palmyre et tant d'autres horreurs visibles dans les parcs de l'hexagone, ils ont fait quoi ?

[okapi]

Avons-nous une idée précise du nombre d'animaux en EEP détenus à Pont-Scorff? Sur les 500 animaux, on parle de quoi, 10, 20, 30%?
Les parcs évoluent, se transforment: Jacques Bouillault verrait-il d'un bon oeil ce que son zoo est devenu? Durrell serait sans doute heureux, le Cézallier a bien évolué, quelques autres ont fermé: c'est le destin de bon nombre d'entreprises privées. Pont-Scorff va disparaître, c'est probablement le sens de l'histoire. C'est la première brèche, d'autres vont suivre sans doute: le business va être de plus en plus critiqué et ce n'est pas la situation d'Amnéville qui va arranger les choses. Effectivement, l'AFPDZ risque bien de se faire interpeller sur son rôle de "contrôle" des entreprises du secteur et les visiteurs vont commencer à devenir bien plus suspicieux sur la réalité de ce qu'ils voient...
Didier, tu as oublié la fosse à ours de La Palmyre et les cages à gibbons de la Tête d'Or, mais bon, c'est vrai que la liste est longue...

[zoovenirs]

LA POSITION DE L'AFdPZ AU SUJET DE LA SITUATION DU ZOO DE PONT-SCORFF

Le Zoo de Pont-Scorff, établissement qui connaît des difficultés financières depuis de nombreux mois, est actuellement sous les feux des projecteurs.

L’AFdPZ tient à préciser que suite à une visite de membres du Conseil d’Administration de l’AFdPZ au Zoo de Pont-Scorff le vendredi 5 avril 2019, un courrier de mise en demeure avec une demande de mise en conformité pour des raisons de sécurité et de bien-être animal lui a été adressé. En effet, de nombreux points relevés ne correspondaient pas à l’éthique de l’AFdPZ et aux standards des parcs zoologiques modernes. Nous serions heureux qu’une éventuelle reprise permette l’amélioration rapide de ce parc.

Aujourd’hui les parcs zoologiques ont des missions et des obligations réglementaires de conservation de la biodiversité, d’éducation à la protection de la nature, et de recherche scientifique. Ils œuvrent en tant que conservatoires de la biodiversité avec comme priorité le bien-être animal. Les animaux des zoos, tous nés en parcs zoologiques, participent à la conservation des espèces menacées. D’ailleurs les zoos travaillent en étroite collaboration avec les ONGs de conservation, comme par exemple l’UICN (Union internationale pour la conservation de la nature), depuis un grand nombre d’années.

Les populations d’espèces menacées hébergées en zoos sont gérées par le biais de programmes d’élevages européens. Ainsi les zoos ne sont pas propriétaires des animaux qui appartiennent en fait à ces programmes coordonnés par des biologistes pour conserver la diversité génétique des populations, et définir des recommandations d’élevage.

DES REINTRODUCTIONS TRES CONTROLEES

Lorsque cela est possible, une fois le biotope protégé, les menaces éradiquées, et avec l’accord des communautés locales du pays concerné, les zoos organisent des réintroductions. Récemment, cela a par exemple été le cas cette année pour 5 rhinocéros noirs (en danger critique d’extinction selon la liste rouge de l’UICN), 2 gorilles des plaines de l’Ouest (aussi en danger critique), 8 bisons d’Europe (vulnérable), et des tortues cistudes. Ce type d’actions se fait sous conditions scientifiques strictes et suit les recommandations de l’UICN. Les individus sélectionnés notamment sur des critères d’origine, d’âge, de comportement, et de conditions physiques, font l’objet de surveillance sanitaire stricte et d’un protocole d’acclimatation in situ. Cependant les réintroductions ne constituent qu’un des aspects de la conservation des espèces.

LUTTE CONTRE LE TRAFIC D’ESPECES MENACEES

En plus de ce type d’actions, les zoos s’engagent dans la lutte contre le trafic des espèces, cause majeure de disparition de la biodiversité. Ainsi l’AFdPZ a déposé une motion pour le congrès mondial de la Nature 2020 de l’UICN visant à élever ce type de trafic au rang de crime grave. En complément afin de sensibiliser les citoyens à cette menace, l’AFdPZ a sorti cet été aux Editions Glénat une bande-dessinée intitulé « Les Adieux du Rhinocéros » avec un cahier pédagogique. Et bien sûr, les zoos collaborent avec les autorités (Douanes, ONCFS, gendarmerie) mais aussi avec les associations de protection animale, pour l’identification, la recherche de placement en France, le recueil, et la réhabilitation d’animaux sauvages saisis, abandonnés ou divaguant, permettant ainsi non seulement de participer à la lutte contre le trafic mais également d’éduquer le public à la problématique du trafic animal et des NACs (Nouveaux animaux de compagnie).

Rodolphe Delord, Président de l’AFdPZ précise « Nous sommes fortement engagés financièrement et humainement dans la conservation de la biodiversité. Cela passe aussi par la lutte contre le trafic sur le terrain en France et à l’étranger. Tous les ans, les zoos français fournissent un hébergement de qualité auprès d’experts de la faune sauvage à plusieurs centaines d’animaux saisis en détresse. »

Le retour à la vie sauvage est rarement possible pour ces animaux issus du trafic, en particulier car le pays d’origine des spécimens est la plupart du temps inconnu (car les animaux transitent par plusieurs pays et leur répartition géographique est très large), et car leur état de santé ou leur statut sanitaire ne permet pas le renvoi dans leur pays. Dans tous les cas cela implique un processus long de réhabilitation, de protection du milieu de relâché (afin que l’animal ne soit pas de nouveau victime du trafic), et d’analyses sanitaires et génétiques pour ne pas contaminer les populations sauvages.

[Vinch]

Jacques Bouillault verrait-il d'un bon oeil ce que son zoo est devenu?

Ça va sans doute beaucoup te surprendre mais j’ai été témoin de la réaction de Jacques Bouillault qui faisait une visite en 97 ou 98 (qui devait être l’une des toutes dernières de sa vie à ma connaissance)pour la première fous depuis des années, alors que le Zoo était alors complètement repris par Stéphane, avait déjà toutes ses allées pavées, ses spectacles d’otaries, de perroquets, de rapaces, les animations bien en place, le retour des éléphants, les nouvelles plantations absolument partout, etc...
Et bien, il était vraiment comme un enfant qui découvrait Disney, il était absolument émerveillé et poussait des cris de joie.
Bref, crois-moi si tu le veux mais il voyait vraiment toute la transformation de son parc zoologique du Tertre-Rouge, d’un très très bon oeil.
Bon, ça, c’était bien avant le resort, la télé-réal ou la vente à Looping, mais qu’importe, même s’il y avait déjà tout ça, ce qui devait importer à ses yeux le jour de cette visite, c’est de s’assurer que ce zoo qu’il a fondé pouvait lui survivre pendant de nombreuses années encore, avec de beaux et heureux animaux.

[okapi]

Je te crois sans peine! Je pensais plutôt à la version télé-réalité actuelle et la sur-marchandisation d'un parc qui se transforme en hôtel de luxe avec animaux: 365 nuits dans l'Arctic Lodge réservées en 48h...
Le zoo devrait se dépêcher de se débarrasser de deux trois espèces qui prennent de la place pour créer des enclos supplémentaires avec d'autres ours polaires, parce que ça semble être un vrai jackpot!