Un zoo racheté par Sea Sheperd France

[Boubouche]

Petit message que j'ai trouvé sur les raisons du départ du vice président de wildlife Angel
C'est bien d'avoir tous les sons de cloches aussi avant de partir dans des suppositions et des pseudos complots


[ Pourquoi j’ai quitté Wildlife Angel ]

Suite à un certain nombre de questions et d’appels qui m’ont été adressés ce jour, je confirme avoir volontairement mis fin à mon mandat de vice-président de l’ONG WILDLIFE ANGEL dédiée depuis 2015 à la lutte anti-braconnage de la faune sauvage africaine.

Des dissensions irréconciliables au sein du conseil de direction, exacerbées depuis des mois sur des visions antagonistes des valeurs et de la stratégie de l’ONG, ont conduit à la démission du President et Fondateur Serge Lopez, ainsi qu’à la mienne.

Au-delà des inimités interpersonnelles indiscutables qui peuvent expliquer cette issue, cette situation est surtout le reflet des tensions qui traversent la société sur les questions d’écologie et d’activisme entre des positions plus complaisantes avec l’ordre établi (en l’occurrence ici accepter voire souhaiter un financement de la part des zoos ou tolérer la chasse aux trophées comme un mal nécessaire) et des positions considérées comme « radicales » qui ambitionnent de rompre avec les logiques du système (au risque de se le mettre à dos) pour inventer de nouveaux modèles plus en phase avec la cause défendue. Toujours et encore l’éternelle question de la cohérence de la fin et des moyens.

Je n’ai pas la prétention d’avoir raison mais je reste fidèle à mes convictions. Partisan de la deuxième voie, qui n’est pas celle soutenue par la majorité du conseil de direction, j’en ai tiré la conclusion qui s’imposait et préféré quitter l’aventure.

Je continuerai à m’engager autant que possible au sein de la coalition Rewild pour lutter contre la marchandisation du monde sauvage et tenter de trouver des alternatives au business honteux et d’un autre âge qu’est celui de la captivité animale.

Bonne continuation à WILDLIFE ANGEL qui fait un boulot très difficile et risqué sur le terrain. Profonde reconnaissance aux rangers qui engagent leur vie et aux opérationnels de l’ONG qui les forment afin de protéger les animaux sauvages des trafics et de la surexploitation.

[Antoine]

Merci Boubouche pour ce message.

Effectivement, c'est intéressant mais cela ne change malheureusement pas le fond du problème.

Sinon, petit rappel des grincements de dents de Rewild :
- notre ami journaliste au grand coeur qui oublie qu'il a fait joujou avec les tigres sur le petit rocher de Charente-Maritime,
- Monsieur Pensu qui doit avoir bien vite oublier le temps où il était directeur d'Amazonia sur l'Ile-de-Ré (originairement l'Arche de Noé http://www.zoovenirs.fr/jscripts/galler ... emId=83829 - de ce que j'en sais une belle horreur dans le genre parc animalier - Zoovenirs pourra sûrement nous en parler),
- Rewild qui demande de les laisser tranquilles alors qu'eux ne se gènent pas pour taper sur la Flèche après un drame,
- Rewild qui se félicite du relâcher des guépards par le parc d'Howletts au Royaume-Uni sans avoir été regardé à quoi ressemblait Howletts (si vous aimez les belles volières glauques et les vieux bâtiments vous allez être servis) + Rewild contre les zoos et qui en félicite un pour ses actions (Aspinall n'est pas prêt de le fermer, soyez en sûr).

[Antoine]

Allez, comme je suis encore énervé, j'en rajoute :

Un message sur leur Facebook :
"wildlife angel a quitté votre collectif, je comprends qu'il ne veulent pas être mêler à ça.d'ailleurs vous n'en parlez pas ,bizarre ?"

Et le dernier message de réponse de Rewild :
"On n'en parle pas parce que ça n'est pas un fait majeur pour nous. Ca l'est peut être pour Wildlife Angel où du moins ce qu'il en reste vu que leur Président fondateur et Vice président ont démissionné la semaine dernière (vice président qui reste d'ailleurs au sein de Rewild à titre personnel). On leur souhaite bonne chance pour régler leurs dissensions internes et on espère sincèrement qu'ils resteront efficaces sur le terrain malgré la dislocation de l'équipe dirigeante."

Vraiment incompréhensible cette rage !

Sinon, la cagnotte est restée bloquée à 719.000 euros https://fr.gofundme.com/f/REWILD
On pourrait s'en réjouir. Personnellement, je suis surtout triste pour le personnel et les animaux dont l'avenir me semble de plus en plus incertain.

[Vinch]

Bloquée parce qu’elle n’est plus alimentée? Parce qu’elle est arrêtée ? Non, pourtant elke continue grâce à quelques rares donateurs et des petites sommes, mais il n’y a plus l’enthousiasme euphorique du début.

Pourquoi affiche-t-elle toujours cette somme ? Les 600.00 euros du rachat ne semblent pas être encore sortis de la cagnotte. Qu’est-ce qui bloque ? Le Tribunal du Commerce n’accepte en principe pas l’argent issu de dons pour des raisons fiscales et de solvabilité mais va-t-il faire exception pour Rewild ?
Les soigneurs et autres personnels du zoo vont-ils quand même être payés et avec quel argent ? Pont Scorff va-t-il être finalement mis en liquidation ? Les enfants Thomas vont-ils toucher leur loyer ?
La soirée annoncée a pour but de lever des fonds et de dénicher de gros mécènes. Ce n’est sans doute pas par hasard.

[cedric]

Les 600 000 euros permettent de racheter les 70% de parts de Bretagne Zoo à ce que j'ai pu comprendre. La société, selon l'interview d'Alain Le Héritte, est clairement sur la voie de la liquidation avec une perte de capitaux importante. Une nouvelle société va elle être crée avec l'assentiment des Thomas?

[candlemass]

Il y a une immaturité crasse dans la communication de Rewild...

[Antoine]

Zoos. « Il faut une remise en question. La priorité est le bien-être des animaux »

Rewild, coalition d’associations défendant la protection des animaux sauvages, a acheté le zoo de Pont-Scorff, dans le Morbihan. Son objectif ? Remettre un maximum d’animaux en liberté.

L’association Rewild, réunissant sept organisations non-gouvernementales, a signé un compromis de vente pour racheter le zoo de Pont-Scorff (Morbihan) en difficultés financières. Son objectif ? Le transformer en centre de réhabilitation de la faune sauvage. Lamya Essemlali, coprésidente de Rewild, souhaite renvoyer un maximum d’animaux sauvages, parmi les 560 qui s’y trouvent...

Malheureusement, la suite est réservée aux abonnés !

Source : https://www.ouest-france.fr/europe/fran ... ux-6712072

[Antoine]

Je mets ici le début d'un article de Ouest France, malheureusement là aussi réservé aux abonnés, a priori en lien avec la problématique :

"ENTRETIEN. « Les zoos ne sont plus les ménageries des années 1970 »

Aujourd’hui, le bien-être animal est davantage mis en avant dans notre société. Des voix mettent en cause la captivité des animaux dans les zoos. Le directeur du Bioparc de Doué-La-Fontaine (Maine-et-Loire), François Gay, défend le travail de préservation des espèces réalisé par de nombreux parcs en France."

Source : https://www.ouest-france.fr/environneme ... 70-6712097

[maximegoncalves]

Zoos. « Il faut une remise en question. La priorité est le bien-être des animaux »

Rewild, coalition d’associations défendant la protection des animaux sauvages, a acheté le zoo de Pont-Scorff, dans le Morbihan. Son objectif ? Remettre un maximum d’animaux en liberté.

L’association Rewild, réunissant sept organisations non-gouvernementales, a signé un compromis de vente pour racheter le zoo de Pont-Scorff (Morbihan) en difficultés financières. Son objectif ? Le transformer en centre de réhabilitation de la faune sauvage. Lamya Essemlali, coprésidente de Rewild, souhaite renvoyer un maximum d’animaux sauvages, parmi les 560 qui s’y trouvent...

Malheureusement, la suite est réservée aux abonnés !

Source : https://www.ouest-france.fr/europe/fran ... ux-6712072

L’association Rewild, réunissant sept organisations non-gouvernementales, a signé un compromis de vente pour racheter le zoo de Pont-Scorff (Morbihan) en difficultés financières. Son objectif ? Le transformer en centre de réhabilitation de la faune sauvage. Lamya Essemlali, coprésidente de Rewild, souhaite renvoyer un maximum d’animaux sauvages, parmi les 560 qui s’y trouvent, dans leur milieu d’origine.

En quoi un programme de réensauvagement d’animaux captifs en zoo est possible ?

Déjà, ce débat a lieu car Rewild, coalition d’organisations non-gouvernementales, a racheté un zoo, pour proposer un autre modèle. Ce qui a déclenché les réactions vives des associations française et européenne des parcs zoologiques. Cela a été perçu comme une agression. On nous dit animalistes, dogmatiques. Nous portons des efforts là où tellement peu de choses ont été réalisées. Tous nos détracteurs sont liés au monde de la captivité.

Louable mais utopiste, entend-on. En quoi votre projet est viable ?

Parce que certains le font déjà. Nous pensons à Damian Aspinall, propriétaire de deux zoos en Angleterre. Il a réintroduit en milieu naturel des rhinocéros, des lionnes, des gorilles au Gabon. Et aucun n’a été braconné par la suite. C’est un travail de réhabilitation au cas par cas, selon les espèces. On nous serine également que les sanctuaires n’ont plus de places. C’est faux. HISA (Human Initiative to Save Animals), qui fait partie de la coalition, travaille déjà avec des sanctuaires en Afrique et crée des partenariats avec des États pour gérer des zones naturelles et accueillir des animaux issus de la captivité ou de saisies.

Concrètement, comment comptez-vous vous y prendre ?

À Pont-Scorff, nous faisons un état des lieux de la collection de 560 animaux, qui ne sont pas tous nés en captivité. Le zoo en est propriétaire. Nous évaluons les urgences. Et traitons individuellement. Nous avons par exemple des pélicans frisés, espèce vulnérable, qui ont été éjointés pour qu’ils ne volent pas. Évidemment, ils ne pourront pas retourner à la nature. Par contre, nous récupérerons leurs œufs en couveuse et les petits pourront être réhabilités.

Tout cela demande du temps et de l’argent. Où allez-vous le trouver ?

Nous avons une fondation, comme peut l’avoir le zoo de Beauval, pour collecter des dons. Notre seule limite sera de voir jusqu’où le public nous suit dans le projet. Sur site, nous allons créer de l’activité économique, mettre en place des animations virtuelles. Nous tablons sur 100 000 visiteurs, au moins autant que ces dernières années. Nous comptons bien apporter notre pierre à l’édifice de la biodiversité. Rewild demande une remise en question. Il faut revoir les priorités : c’est le bien-être des animaux.

[maximegoncalves]

Je mets ici le début d'un article de Ouest France, malheureusement là aussi réservé aux abonnés, a priori en lien avec la problématique :

"ENTRETIEN. « Les zoos ne sont plus les ménageries des années 1970 »

Aujourd’hui, le bien-être animal est davantage mis en avant dans notre société. Des voix mettent en cause la captivité des animaux dans les zoos. Le directeur du Bioparc de Doué-La-Fontaine (Maine-et-Loire), François Gay, défend le travail de préservation des espèces réalisé par de nombreux parcs en France."

Source : https://www.ouest-france.fr/environneme ... 70-6712097

Les zoos sont de plus en plus montrés du doigt par les défenseurs de la cause animale, qui déplorent une atteinte au bien-être animal. Pour François Gay, petit-fils du fondateur du Bioparc de Doué-la-Fontaine et actuel codirecteur, les parcs zoologiques ont pris conscience de leur rôle environnemental et s’impliquent dans la préservation des espèces animales. Entretien.

Comment les zoos participent à la protection des espèces ?

La protection animale, c’est le cœur de notre métier. Le matin quand on se lève, on va s’occuper de nos animaux et ça, sept jours sur sept. Je suis né dans ce parc zoologique, je vis pour ça. Notre profession a énormément évolué, les parcs zoologiques ont suivi l’évolution de la société. Les zoos d’aujourd’hui ne sont plus ceux qu’ils étaient dans les années 1970 quand ils ressemblaient à des ménageries. Les dirigeants des zoos ont pris conscience de l’enjeu environnemental et ont dû s’organiser collectivement pour gérer les espèces. L’association européenne des zoos regroupe entre 300 à 400 adhérents européens. Évidemment, tous les zoos n’ont pas suivi cette révolution, il y a des parcs qui, par manque de moyens ou de motivation, n’ont pas évolué. C’est à cause de ces zoos que certaines personnes sont contre toute forme de parcs zoologiques.

Quels sont les projets du Bioparc ?

Les projets de conservation au Bioparc ont commencé par la reproduction de vautours et la première réintroduction en 1983 dans les gorges du Tarn (Occitanie). En 2001, pour les quarante ans du parc, nous avons décidé de créer ou de soutenir quarante projets. La préservation des espèces, ce n’est pas seulement des réintroductions. Certaines associations reprochent aux zoos de réintroduire très peu d’espèces. Mais la réintroduction est utopiste et on ne peut pas imaginer qu’on peut tout réintroduire. Il y a parfois des réintroductions possibles de gros animaux, mais c’est très cher et c’est moins efficace que de travailler in situ dans leur pays d’origine pour faire en sorte que la nature retrouve son équilibre d’elle-même.

Pourquoi garder des animaux qu’on ne peut pas réintroduire ?

Les animaux du parc sont les représentants de leurs cousins sauvages menacés. C’est grâce aux entrées que nous vivons et nous pouvons travailler. Ce n’est pas une honte de gagner de l’argent, on ne le fait pas sur le dos des animaux, mais pour eux. On investit chaque année environ 200 000 € sur les 4 millions de chiffre d’affaires pour des projets de conservation en dehors du parc. Ce qu’il ne faut pas opposer, c’est ce qu’on investit en dehors et à l’intérieur. On dit aussi que les zoos protègent d’abord les beaux animaux, comme le panda ou la girafe. C’est vrai, car on sensibilise plus facilement le public avec une espèce emblématique. Mais en protégeant une grande espèce, inévitablement derrière, vous avez des dizaines et des centaines d’espèces qui sont protégées.

Est-ce qu’un animal sauvage peut vivre heureux en captivité ?

Bien sûr. Ces animaux sauvages ne sont pas sortis de leur milieu naturel. Tous ces animaux vivent dans ces parcs depuis plusieurs générations. Ils connaissent cette vie. Après, leurs conditions de vie sont différentes selon le parc zoologique. Il y a une vraie diversité et elle ne peut pas être réduite à une seule étiquette : bon ou mauvais zoo. Évidemment, dans la nature, les animaux seront plus heureux avec une spontanéité et la liberté de faire ce qu’ils veulent. On peut tous rêver que les animaux retournent dans la nature. Mais quelle nature ? Les associations auprès de ces animaux sauvages doivent lutter contre des mafias, des milices, des gens qui meurent de faim et qui vont déforester et chasser. La nature est vraiment violente. Donc un animal qui est né dans un zoo, on ne peut pas dire qu’il soit condamné. Dans un zoo, il a des meilleurs soins, il est suivi tous les jours et il a une longévité beaucoup plus longue que ceux qui vivent dans la nature.

Que pensez-vous du rachat de Rewild ?

Ces dernières années, la situation du zoo de Pont-Scorff devenait préoccupante. Sur le plan humain et par le manque d’investissement. Nous n’avons pas vu cette reprise d’un mauvais œil. Mais après les premières publications sur les réseaux sociaux, nous avons été stupéfaits par leurs propos démagogiques et agressifs, dénigrants notre profession et déclarant leur volonté de s’affranchir de toute collaboration avec les zoos. Malgré leur intention louable mais dangereusement naïve de vouloir réintroduire tous les animaux dans leur habitat d’origine, le projet de créer un centre de recueil pour animaux issus de saisies serait, quant à lui, utile. En résumé, malgré un plan de communication très efficace, ce projet de reprise ne présente rien de novateur.

[vlahcen]

Donc il est prévu de faire reproduire les pélicans frisés pour relâcher les petits dans la nature ? C'est un peu contradictoire comme démarche non ? Pour une organisation qui veut relâcher tout le monde dans la nature ...

[Okapia.J]

Les gens vont commencer à voir clair, et tant mieux !

[Thibaut]

Enfin une interview d'une dirigeante ! Ha ben non en 5 lignes on apprend rien de nouveau, seulement du vent.

[caro62]

ils deviennent insupportables par leurs mensonges et leurs sous entendus. Aujourd'hui sur leur page alors qu'il me semble bien que ce sont les perroquets confiés en 2017 à Jérome Pensu par la World Parrot trust , perroquets qu'il n'a jamais ramener au Gabon alors que c'était le but. Quel est l'intérêt de transférer ces animaux d'un parc à un autre ? pour moi, il n'y en a aucun, si ce n'est la possibilité pour Rewild de clamer : nous venons d'accueillir 50 perroquets issus du traffic.

"REWILD dénonce la saisie illégale de 50 perroquets gris du Gabon effectuée par la police de l’environnement (OFB).

Des agents de l'OFB, accompagnés par la gendarmerie nationale, ont réalisé une opération coup de poing le 30 janvier au zoo de Pont-Scorff, saisissant cinquante perroquets gris du Gabon au mépris de la loi , l’opération s'étant appuyée sur des motifs fallacieux.

Plus précisément, et alors que des négociations en cours avec le Gabon devaient bientôt aboutir à la réintroduction des oiseaux dans leur milieu naturel, le gérant du centre a été accusé de les y avoir acheminés depuis leur précédent refuge sans disposer de l'autorisation administrative prétendument requise.

Il a été démontré par nos avocats au cours d'une audition de 5 heures, que la règlementation avait été scrupuleusement respectée. Malgré cela, le procureur a décidé de laisser l'opération se poursuivre, interrompant ainsi une quarantaine sanitaire et causant un stress supplémentaire inutile à des animaux qui y sont très sensibles. Les perroquets sont à présent en route vers l'Angleterre... aux antipodes du Gabon.

Depuis la reprise du zoo de Pont Scorff il y a 6 semaines, REWILD qui a pour objectif d’utiliser le parc comme centre de réhabilitation pour accueillir des animaux issus du trafic avant de les réintroduire dans leur milieu naturel, fait l’objet d’un nombre de contrôles et de mises en demeure confinant au harcèlement.

Exemple de cette mise au ban, les agents de la Police de l'Environnement ont eu l'interdiction de la part de leur direction, de travailler avec Rewild. Les animaux issus du trafic restent donc condamnés à terminer dans des zoos.

Tout cela révèle à quel point le projet REWILD dérange le milieu de la captivité animale ainsi que certains agents en charge de le contrôler.

Déterminés à faire valoir nos droits et à exiger l’application de la loi, dont l’objet devrait toujours aller dans l'intérêt de la biodiversité, nous utiliserons toutes les voies de recours pour contester une saisie abusive dont l'objectif réel est de tenter de nuire à notre crédibilité.

REWILD et ses partenaires continueront de se soumettre de bonne grâce et en toute transparence aux contrôles des autorités et de respecter la règlementation en vigueur, mais veilleront aussi à ce que tous, zoos et agents de contrôle soient soumis aux mêmes exigences."

[Clemsy67]

J'ai également vu cette info passer ce matin sur Facebook.
Je n'ai pas tout compris à la situation : ils sont issus du trafic, placés par une association chez Jérome Pensu qui n'a pas de parc ? Et pourquoi l'Etat français veut les envoyer en Angleterre, et où exactement ?