Philippe a écrit:Pour avoir visité ce parc cet été, un grand sentiment de tristesse se dégage de ce parc aujourd'hui. Mais je dois être trop sensible...
Ou trop fou pour y aller !!!
Philippe a écrit:Pour avoir visité ce parc cet été, un grand sentiment de tristesse se dégage de ce parc aujourd'hui. Mais je dois être trop sensible...
raphaël a écrit:Oui c'est bien ça qui m'a étonné, et à plusieurs reprises déjà, Vinch ne remettait absolument pas en cause la véracité de ton information mais seulement l'intérêt d'un projet immobilier... Et si parfois l'on réagit négativement à ce que tu postes, tu te doutes bien que ce n'est pas contre celui qui relaie l'info mais contre son contenu...
Alors s'il faut te l'écrire pour que tu le saches, merci mille fois Philippe pour tes contributions quotidiennes au forum ! Ce n'est pas parce que l'on ne répond pas à chaque fois pour te remercier que l'on n'est pas reconnaissant de ton travail.
Philippe a écrit:Un projet immobilier entre deux usines ? Il faudra aussi avoir envie d'y habiter...
Un projet immobilier ne signifie pas obligatoirement la construction d'habitations mais concerne tout projet relatif à des biens immeubles...
Pour précision, la zone concernée est estimée à quelque 14 millions de francs suisses.
Il est vraiment très agréable de prendre le temps de partager les infos ici en ce moment...
" pour précision, ce terrain est situé entre deux usines et il faut vraiment avoir envie de découvrir cet établissement pour le trouver..."
Il veut sauver ses fauves
Espoir. Le dompteur soleurois René Strickler a trouvé un investisseur étranger prêt à sauver son manège, mais la partie n’est pas gagnée.
Les rugissements font trembler les grillages: dans le parc du dompteur René Strickler, 18 fauves ignorent la pause hivernale et mangent l’équivalent d’une vache par jour. Quand, au début de ce mois, le Daily Mail émet l’hypothèse d’une euthanasie générale, René Strickler (66 ans) manquer de s’étrangler. « Comment peut-on penser ça de quelqu’un qui a précisément passé sa vie à sauver des fauves de l’euthanasie ? » rapporte sa comptable Hélène Graber.
La crainte de devoir partir
René Strickler, c’est un dompteur qui a fait de sa vie une aventure, souvent en tournée avec des cirques ou en tournant dans six films, dont un dans le rôle principal. Des photos prises au Knie ou au Roncalli en 1976 et en 1978 témoignent de cette glorieuse époque. « Les cirques ont progressivement manqué de place dans les villes, alors que l’espace dévolu aux fauves est important », explique-t-il.
Bel homme, élégant dans sa coiffure comme dans sa posture, René Strickler est sédentarisé il y a onze ans sur une parcelle industrielle de Subingen (SO). Au loyer du terrain s’ajoutent des charges devenues trop importantes pour la fondation qui le soutient.
L’angoisse de René Strickler serait de devoir déménager: « Les 190 arbres qui ombragent les enclos, c’est nous qui les avons plantés », dit-il. La nature, c’est essentiel pour le dompteur: « Je ne veux pas exhiber mes fauves dans du marbre. »
Son rêve de 2008 existe toujours sous la forme d’une maquette, celle d’un parc animalier projeté à Dompierre (canton de Frbourg), plombé par la crise économique. Son espoir, c’est le sauvetage du parc de Subingen promis par un investisseur étranger, pour autant que cet afflux financier soit légalisé. Le plan B, c’est la création d’une société anonyme ouverte à des investisseurs suisses.
11,5 millions à investir
L’enjeu est clair: s’il veut garder les tigres «Arisha», «Amir» et «Noah», une fratrie née en 2005, ainsi que toute sa ménagerie de tigres, de pumas, de lions et de l’ourse «Timka», le dompteur doit acquérir une parcelle de 44.000 m2, quatre fois plus grande qu’actuellement. L’investissement a été négocié à 11,5 millions. L’entretien des animaux est garanti, mais pas celui des installations.
Son petit paradis, René Strickler veut le sauver en y mettant ses tripes et son cœur: « Il vit pour et par les animaux: tant qu’il sera là, les fauves ne risquent rien », dit sa comptable. « Face à mes fauves, j’ai du respect, pas de la peur », souffle René Strickler en sortant d’un enclos qui communique avec les autres par des passerelles grillagées. C’est une attitude qui vaut aussi pour ceux qui veulent investir dans son parc.
A 66 ans, René Strickler a consacré jusque-là près de quarante ans de sa vie aux fauves.
Elan de solidarité pour sauver le parc des fauves
Des centaines de personnes se sont rendues dimanche 20 mars 2016 au parc animalier de Subingen afin de soutenir son propriétaire, qui lutte depuis 2007 contre son expulsion.
René Strickler se bat depuis de nombreuses années pour pouvoir garder son parc des fauves à Subingen (SO). L'entreprise, à qui appartient le terrain qui accueille les dix-huit bêtes de l'ancien dompteur, souhaite rompre le contrat de bail depuis 2007. Les nombreux recours déposés par René Strickler n'ont pas porté leurs fruits. Lui ainsi que ses tigres, lions, pumas et ours doivent avoir quitté les lieux d'ici le 14 juillet à 16h00. Au pire des cas, la justice procèdera à une expulsion.
Si les juges ne sont pas du côté de l'ancien dompteur, de nombreuses familles le sont. Pas moins de 300 adultes et près de 600 enfants ont suivi l'appel lancé sur Facebook par le groupe Pro Raubtierpark et se sont rendus dimanche à Subingen. L'organisatrice du mouvement, Barbara Schäfer, n'aurait jamais pensé pouvoir mobiliser autant de sympathisants: « Je m'attendais à maximum 200 personnes. » René Strickler est lui aussi impressionné : « Ce soutien me donne des forces pour continuer à me battre. »
Signatures et dessins d'enfants
« Les animaux sont là depuis si longtemps et maintenant ils doivent s'en aller », regrette un père de famille. « Les bêtes sont bien ici. Pourquoi devraient-elles déménager et commencer une nouvelle vie ailleurs ? », s'émeut une autre sympathisante au parc. Une mère d'un petit garçon s'interroge : « Que se passera-t-il avec les fauves? Certains sont vieux et habitués à cet endroit... »
Le but du rassemblement de dimanche était de récolter de l'argent et des signatures pour une nouvelle pétition, explique Barbara Schäfer qui compte déposer les paraphes dans quatre semaines auprès du Conseil d'Etat soleurois. Elle exige que le canton ainsi que la Confédération s'activent pour le maintien et l'agrandissement du parc. Barbara Schäfer souhaite aussi que les autorités fédérales et cantonales soutiennent financièrement le projet. Elle compte déposer la pétition accompagnée de dessins d'enfants : « Je veux que les petits aient aussi leur mot à dire parce qu'ils accordent beaucoup d'importance au parc. »
Deux terrains en vue
Quant à René Strickler, il ne perd pas espoir : « Les pétitions servent toujours à quelque chose. De notre côté, nous avons créé une task force qui fera tout pour sauver le parc d'ici juillet. » Le propriétaire ne pense pas pouvoir quitter les lieux d'ici là : « J'ai deux propositions de terrains, mais ils doivent encore être aménagés pour pouvoir accueillir les animaux. »
Environ 300 adultes et 600 enfants ont suivi un appel lancé sur Facebook et se sont rendus dimanche (20 mars 2016) à Subingen (SO) au parc des fauves de René Strickler.
Ils ont fait le déplacement pour soutenir l'ancien dompteur qui lutte depuis 2007 contre son expulsion.
Source : 20 Minutes.« Ce soutien me donne des forces pour continuer à me battre », a expliqué René Strickler à 20 Minuten.
Source : Le Matin.Un Romand veut sauver ses fauves
L’étau se resserre autour du dompteur René Strickler à Subingen (SO). Mais un Vaudois croit au miracle.
Le 14 juillet n’est pas une date festive pour le dompteur René Strickler et ses 17 fauves. A cette date, il devra avoir évacué son parc de Subingen (SO). Des initiatives pour lui venir en aide existent bien, notamment une fan qui, sur Facebook, a récolté 3.560 signatures pour demander aux autorités cantonales de trouver une solution évitant l’euthanasie des animaux. Il y a aussi un gestionnaire d’entreprise à la retraite qui a créé une société anonyme. Car il faut des investisseurs pour réunir les 11,5 millions nécessaires au rachat de la parcelle et de celle nécessaire à une extension.
Mais l’espoir vient surtout d’un ingénieur à La Tour-de-Peilz qui s’investit pour sensibiliser les Romands. « Il faut sauver les fauves de René Strickler », martèle Haiko Thoele. Son engagement pour la cause animale se double d’une relation à distance avec le dompteur : il a en effet grandi à Rapperswil-Jona, berceau du cirque où René Strickler a dressé des tigres en 1976. « Le soir, j’étais placeur dans le cinéma de sa maman », précise Haiko Thoele. De plus, avant de devenir toiletteuse pour chiens, sa fille a fait un stage chez René Strickler. Mais l’engagement de Haiko Thoele n’est pas qu’un renvoi d’ascenseur : « Je crains pour la survie de ses fauves, tellement ils sont habitués à lui », confie le vidéographe romand.
Récolter des signatures, dénicher un mécène « en évitant une mainmise étrangère », ou un terrain « entre Fribourg et Berne », intégrer les fauves dans un parc public projeté à Luterbach (SO), élaborer un concept « avec des salles de conférences » : Haiko Thoele se démène pour, dit-il, « romandiser » le combat du dompteur alémanique. La partie relève d’une mission quasi impossible : « Le temps presse », admet Haiko Thoele. A Subingen, dans le parc qu’il gère depuis douze ans, René Strickler (66 ans) n’imagine pas une séparation d’avec des fauves qui sont toute sa vie. Et encore moins l’euthanasie générale évoquée par le Daily Mail.
Après la fermeture hivernale, le Raubtierpark a rouvert dans l’illégalité, suite à des décisions judiciaires. Depuis huit ans, la société propriétaire du terrain essaie de le déloger.
Source : La Tribune de Genève.Un parc aux fauves contraint de déménager
Canton de Soleure. Le parc de Subingen abrite une vingtaine de fauves. Le TF oblige l'exploitant et ses animaux à quitter les lieux. Replacer les animaux prendra du temps.
L'exploitant d'un parc aux fauves situé à Subingen (SO) est contraint de quitter les lieux, dont il n'est que locataire. Le Tribunal fédéral (TF) a rejeté son recours contre un ordre d'évacuation.
Inauguré en 2003, le parc abrite une vingtaine de fauves, dont des lions, des tigres, des pumas ainsi que d'autres animaux plus petits, parmi lesquels des chiens, des chèvres et des cochons. En bisbille avec la bailleresse, l'exploitant du parc avait accepté de quitter les lieux fin 2015.
En janvier dernier, constatant que le parc animalier se trouvait toujours sur son terrain, la propriétaire avait obtenu en sa faveur le prononcé d'un ordre d'évacuation et le déplacement par étapes des animaux jusqu'au 16 juillet dernier. Le Tribunal cantonal avait confirmé cette sentence.
Saisi d'un ultime recours de l'exploitant du parc, le TF ne voit aucune raison de retarder l'évacuation. Il rappelle que l'intéressé a pu bénéficier d'un délai de trois à quatre mois. En lui accordant ce répit, les autorités soleuroises ont fait « un large usage de leur pouvoir d'appréciation » en sa faveur, selon les juges de Mon Repos.
Placer les fauves
L'avenir immédiat des fauves est incertain. L'évacuation d'un parc animalier est un cas auquel les autorités d'exécution ont rarement été confrontées. La préfecture a indiqué mercredi 10 aopût 2016 qu'on songeait d'abord à placer les plus petits animaux, et qu'ensuite on s'occuperait des fauves. Les préparatifs pourraient encore prendre des semaines, voire des mois. Mais tout sera fait dans l'intérêt des animaux et il est exclu juridiquement de songer à les endormir.
Une autre affaire de fauves agite le canton de St-Gall, où une association de défense des animaux a déposé une plainte pénale contre un cirque.
Le «Circus Royal» aurait fait preuve de cruauté envers les animaux, notamment en proposant un spectacle «illégal» de dressage de lions. Dans ce numéro, les lions « sont contraints à adopter des comportements contraires aux règles de l'art et humiliants », écrit l'association TIR dans son communiqué.
Source : Le Matin.Des tigres et des lions sans avenir
L’organisation de défense des animaux "Quatre pattes" se déclare "très inquiète" pour les fauves du parc animalier du dompteur René Strickler, à Subingen (Soleure).
Après le rejet par le Tribunal fédéral du recours du dompteur René Strickler contre l’ordre d’expulsion de la parcelle occupée par son parc animalier, ses fauves doivent être évacués. La décision est sans appel et la première date d’évacuation fixée au 14 juillet 2016 est déjà passée.
" La date de départ des animaux et leur prochain lieu de vie restent incertains à ce jour ", s'inquiète "Quatre pattes. Laquelle lance un appel " à toutes les parties impliquées afin de chercher des solutions durables pour les animaux ".
« Notre objectif absolu reste le sauvetage et le bien-être des animaux en détresse.Les parties concernées doivent enfin trouver une solution », affirme Julie Stillhart, responsable l'organisation suisse.
"Quatre pattes" affirme chercher le contact avec le dompteur depuis 2014 en s'impliquant " dans l’élaboration commune d’un plan de secours des animaux dans le cadre d’une mesure d’évacuation obligatoire du parc ". L'objectif, c'est d'éviter une euthanasie générale. " Je ferai tout pour l'éviter ", a toujours affirmé le dompteur.
Le Tribunal fédéral s’est prononcé contre une nouvelle prolongation du délai. René Strickler est contraint d’évacuer le terrain qu’il occupe à une date qui na pas encore été fixée. Son souhait, c'est d'obtenir un délai supplémentaire auprès de la société immobilière propriétaire de la parcelle située en zone industrielle. " Il s’agit dorénavant de trouver rapidement un nouveau foyer pour les 18 grands félins, les ours et les petits animaux ", conclut "Quatre pattes".
Dans un communiqué diffusé ce matin [jeudi 11 août 2016], "Quatre pattes" estime qu'" une seule personne ne doit pas être autorisée à avoir l’entière responsabilité d’un parc animalier comme celui de Subingen dans lequel vivent 18 grands félins et de nombreux autres animaux ". Mais deux points lui paraissent critiques: " La société anonyme nouvellement créée ne dispose pas d’un terrain adéquat et, en soi, ne peut pas garantir une solution durable respectueuse des animaux. "
S’efforçant de sauver son parc animalier, René Strickler n’a fondé la société anonyme qu’en date du 29 juillet 2016 : " Celle-ci devait acheter un terrain et veiller au bon fonctionnement du parc animalier ", rappelle l'organisation de défense des animaux.
" La détention de grands félins est exigeante et doit correspondre aux besoins de leur espèce. Elle n’est en somme acceptable, pour nous, que dans des zoos et des centres d’accueil bien gérés d’un point de vue scientifique », poursuit poursuit Julie Stillhart.
Le cas du parc animalier à Subingen montre à ses yeux qu’" il peut y avoir des situations d’urgence dans lesquelles les animaux doivent être déplacés ou même abattus ".
"Quatre pattes" gère le refuge pour grands félins Lionsrock en Afrique du Sud, le centre pour grands félins Felida aux Pays-Bas et un centre pour grands félins Tierart en Allemagne.L'organisation affirme connaître des partenaires capables d’accueillir des grands félins, mais souligne que " les demandes de sauvetage des grands félins en souffrance sont importantes ".
Le Siky Ranch de Crémines va fusionner avec le Raubtierpark
Pour assurer leur survie, les Siky Ranch et le Raubtierpark ont décidé de fusionner. Le zoo jurassien bernois sera agrandi pour accueillir les fauves du parc soleurois.
Le Siky Ranch de Crémines et le Raubtierpark de Subingen ( Soleure) unissent leurs forces. Etant donné que le Siky Ranch, situé dans le Jura bernois, rencontre des difficultés financières et que le zoo Raubtierpark rencontre des difficultés d'espace et d'emplacement, les deux zoos ont décidé de fusionner prochainement.
Le zoo de Subingen déménagera à Crémines. D'importants investissements seront entrepris au Siky Ranch pour accueillir les fauves du Raubtierpark (tigres, lions, pumas) et remettre le zoo en état, assurant ainsi le sauvetage du Siky Ranch, de sa fauconnerie et de ses 300 pensionnaires.
La réunion au sein d'un même parc des fauves du Raubtierpark, des rapaces et animaux indigènes du Siky Ranch, permettrait de garantir la survie du zoo du Jura bernois, qui est aujourd’hui dans une situation financière tendue.
Source : RJB.Vers un retour des fauves au Siky Ranch?
L'avenir du Siky Ranch pourrait s'éclaircir dans les mois à venir. En difficultés financières, le zoo de Crémines est actuellement en discussion pour s'associer avec la société Parc aux fauves de Subingen (Soleure) de René Strickler. En proie à des difficultés d'espace et d'emplacement, le Raubtierpark cherche un nouveau terrain pour accueillir ses tigres, lions et autres pumas. Il en va d'une question de survie pour les deux institutions.
Des négociations encore en cours
Pour l'heure, le Parc aux fauves est en pleine négociation pour acquérir l’emplacement actuel sur lequel il se trouve, mais les tractations n’ont pas encore abouti avec le propriétaire des lieux. Le zoo est donc obligé de chercher un plan B pour garantir le futur de ses animaux. Plusieurs sites potentiels en Suisse ont été évalués, parmi lesquels celui de Crémines.
Quel avenir en cas de réalisation du projet ?
Si le projet de fusion se concrétise, les fauves et autres animaux de Subingen déménageraient dans la commune du Cornet pour y côtoyer les rapaces et les animaux indigènes du Siky Ranch. Christophe Keller, directeur du Siky Ranch, explique que d'importants investissements seraient entrepris pour remettre le zoo bernois en état, notamment la construction d'une maison de nuit, de nouveaux enclos, et la mise en place de barrières de sécurité pour les animaux... et le public.
La société Raubtierpark a en outre annoncé « tenir un dialogue constructif avec la municipalité de Crémines et le canton de Berne afin d’établir une base durable pour la conception et la planification d’un tel parc ».
Une fusion capitale pour le Siky Ranch
En proie à des difficultés financières, le zoo de Crémines compte sur cette association. Pour Christophe Keller, « il vaut mieux se réunir pour mieux régner. En nous unissant au zoo de Subingen, cela permettrait le sauvetage du Siky Ranch ».
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