Nouveautés 2020 dans les parcs français

[Thibaut]

C'est la que je comprends pas. Le centre Athenas a d'excellent résultat avec les lynx. Pourtant aucun partenariat est fait avec eux. Il devrait avoir des levées de fonds pour financer leurs actions. Quel dommage qu'ils aient rejoint les extrémistes de Rewild. En France plein de zoos présentent des lynx mais on sait pas vraiment pourquoi. Très peu de pédagogie, mise en avant des menaces en France etc...

[Antoine]

Au CERZA, en plus des autres nouveautés annoncées, le parc va accueillir des binturongs. Ils seront visibles dans un enclos du circuit jaune et les visiteurs pourront les voir évoluer en hauteur grâce à une nouvelle passerelle métallique (qui coupera ce même circuit).
Source : https://www.zoonaute.net/2020/02/11/cerzaouverture/

[Philippe]

La Vallée des Singes rouvre samedi 15 février à Romagne (Vienne)

La pause hivernale touche à sa fin pour le site animalier du sud de la Vienne et ses 450 animaux. Il rouvre ses portes le samedi 15 février 2020, avec une offre spéciale réservée aux habitants du département.

Une nouvelle saison démarre ce samedi 15 février 2020 pour la Vallée des Singes à Romagne. Toute l'équipe est dans les starting-blocks et s'apprête à accueillir les visiteurs. Depuis 1998, année de sa création, le parc animalier a beaucoup évolué : de 18 espèces à 34 aujourd'hui, après trois agrandissements, de 8 à 22 hectares. Il a également enregistré de nombreuses naissances. On en compte plus de 800, dont des premières en France : pour les singes laineux, les bonobos mais aussi des premières en Europe pour les singes titis. Ces naissances sont le meilleur signe de bien-être des animaux.

L'expertise des équipes de la Vallée des Singes reconnue au-delà de nos frontières

L’hiver qui n'est pas terminé a été ponctué de nouvelles naissances toujours tout aussi exceptionnelles et attendues par les soigneurs : 1 bébé bonobo, c’est le 8e né à la Vallée des Singes qui présente le plus grand groupe au monde avec 26 individus. 9 animaux de ce groupe, dont le bébé, partiront prochainement pour le zoo de Rhenen, aux Pays-Bas.

En effet, l’expertise des équipes poitevines est reconnue par ses confrères bien au-delà de nos frontières. L’équipe de la Vallée des Singes a été en charge de constituer et soigner ce groupe dans l’attente de la fin des travaux du parc hollandais.

Le singe au cœur qui saigne

Le parc a vécu aussi la naissance d'un bébé gélada. Cette espèce est originaire d’Ethiopie, les mâles
sont dotés d’une cape de longs poils et d’une tâche rouge sur la poitrine en forme de sablier, d’où leur surnom de « singe au cœur qui saigne ». Sans oublier un bébé tamarin à mains rousses. Outre ses jolies mains orange et le pelage de son dos lui permettant de se camoufler, le tamarin à mains rousses se distingue des autres tamarins par son régime alimentaire, composé à parts égales de fruits et d’insectes, ce qui en fait le tamarin le plus insectivore.

Avec un bébé saki, c'est un surprenant petit singe qui porte sur son visage comme un joli masque blanc. Et ce n’est pas 1, ni 2 mais 3 bébés colobes qui sont nés en ce début d’année. Ils cohabitent avec les gorilles à la hauteur des arbres. Ils sont dotés d’un pelage noir orné d’une cape de longs poils blancs. Mais à la naissance, les bébés sont tout blanc comme un mouton !

Des nouveautés pour la saison 2020

La Vallée des Singes accueillera cette saison de nouvelles espèces mais qui ne sont pas des primates. En particulier en mars prochain, des tortues étoilées, endémiques de Madagascar et qui vont partager le territoire des lémuriens.

Les suricates font leur entrée, un animal à fort capital sympathie. Un nouvel espace ludique notamment pour les plus jeunes au niveau de la petite ferme et de l’aire de jeux des chimpanzés complètera l'offre à partir du mois d’avril.

Source :La Nouvelle République du Centre-Ouest.

[Therabu]

Je pensais que les pinchés étaient les plus "carnivores" des tamarins.

[super'Doué]

Comment le nombre annuel de visiteurs s'inscrit-il depuis la dernière nouveauté incluant des primates ?

[Philippe]

L’Indonésie s’invite au parc de Cerza

Le zoo de Cerza, à Hermival-les-Vaux (Calvados), va renforcer la partie Asie de son parc en intégrant de nouveaux animaux. Afin de les accueillir, tout un espace « Indonésie-Malaisie » est en construction, cet hiver.

Les babiroussas sont encore en quarantaine, en attendant l’entrée dans leur nouvel enclos, en ce mois de février 2020. Ces petits cochons sauvages originaires de Sulawesi font partie des animaux qui figureront dans le casting du parc de Cerza, à Hermival-les-Vaux. Ils seront bientôt accompagnés par un couple de loutres d’Asie, des gibbons à favoris roux et des binturongs, un mammifère à mi-chemin entre le chat et l’ours. Tous ces animaux ont comme point de commun de vivre à l’état sauvage en Indonésie et en Malaisie, le nouveau thème du parc.

Ce passage à l’heure indonésienne se traduit par l’installation d’un village au cœur du parc. Les maisons en bois, typiques de Bali, accueilleront les nouveaux hôtes et une partie des animaux déjà présents à Hermival. Leur construction et celle d’une nouvelle passerelle ont coûté près de 800.000 € au zoo.

Le village indonésien est actuellement en travaux. Il devrait ouvrir pendant les vacances de Pâques.

Source : Ouest-France.

[Philippe]

Et un second article d'Ouest-France consacré à la prochaine saison du Cerza.

Le parc zoologique de Cerza poursuit ses gros travaux, cet hiver, malgré sa réouverture le 1er février 2020, à Hermival-les-Vaux. À Pâques, une zone ayant pour thématique l’Indonésie et la Malaisie va voir le jour et accueillir de nouvelles espèces.

Quel grand changement est opéré cet hiver ?

Les visiteurs du parc zoologique de Cerza, pendant ce mois de février 2020, pourront constater l’avancée des travaux du nouvel espace « Indonésie/Malaisie ». Au milieu du parc et alors que les ours sortent à peine de l’hibernation, cinq constructions en bois ont déjà pris forme. Inspirés de l’habitat indonésien, les structures chauffées seront au cœur du « village indonésien ». Outre un snack et un local technique, trois bâtiments accueilleront les animaux dans ce nouvel ensemble.

Pourquoi avoir choisi l’Indonésie ?

« On voulait montrer ce qu’il y a sur cette zone », explique le cofondateur et directeur du parc, Thierry Jardin. Menacé par la déforestation, le bestiaire de l’archipel indonésien est unique en son genre. Des espèces sont mêmes visibles que sur une poignée d’îles.

Quels animaux y seront intégrés ?

Le parc compte introduire quelques nouveautés dès le mois de Pâques et quelques animaux sont déjà arrivés. En quarantaine pour le moment, un couple de babiroussas, qui a fui l’Angleterre et le Brexit, attend son intégration dans son nouvel enclos. Ce mammifère proche du cochon ne vit à l’état sauvage que sur l’Île de Sulawesi, l’une des îles principales d’Indonésie. « Il y en a environ 35 en Europe, mais il n’y en a pas d’autres en France », annonce fièrement le directeur.

Un couple de loutres d’Asie, des gibbons à favori roux et des binturongs intègrent aussi le casting du parc. Ces derniers, à mi-chemin entre le chat et l’ours, devraient être les nouvelles stars du zoo. Toutes ces espèces cohabiteront avec d’autres déjà présentes au parc, comme les macaques, qui vont simplement déménager.

Y a-t-il d’autres travaux à cette période ?

Les deux mois de fermeture, chaque hiver, servent à l’entretien ou la rénovation du parc. Certains changements sont mineurs ou à l’abri des regards, d’autres modifient la physionomie du lieu. Les visiteurs pourront découvrir, par exemple, la passerelle de 100 m de long qui surplombe la vallée d’Asie. Celle-ci passera au-dessus des enclos des animaux. « Le chemin qui contourne l’enclos est conservé pour ceux qui ont le vertige », prévient toutefois Thierry Jardin.

Est-ce un investissement coûteux pour le parc ?

« C’est du même ordre que l’espace des ours polaires créé il y a deux ans, note le directeur du parc. Avec la passerelle, on est à peu près à 800.000 €. » Les nouveaux animaux, quant à eux, ne sont pas comptabilisés dans ce montant puisqu’ils ne sont pas valorisés. En effet, ils sont envoyés en Normandie en raison de la capacité du parc à les accueillir et leur compatibilité avec les autres espèces. Dans leur cas, le zoo ne paye donc que les frais de transport et le frais de dossiers.

Thierry Jardin est le cocréateur et directeur du parc.

La nouvelle passerelle, d’une longueur de 100 m, surplombe plusieurs enclos.

[Antoine]

Merci Philou !
Franchement, cette passerelle au-dessus de la maison des tapirs malais gâche vraiment le paysage. C'est très moche et cela me fait furieusement penser à Beauval !

[maxime]

Zoo de Pescheray : Arrivée de suricates au printemps. 5 ou 6 individus sont espérés.

Source : https://www.ouest-france.fr/pays-de-la- ... dce95b60ba

Domaine des fauves : Un nouvel enclos pour les suricates, "plus vaste et dans une ambiance africaine". Arrivée d'un aigle bleu du Chili dans le spectacle de rapaces.

Source : https://www.isere-tourisme.com/equipeme ... des-fauves

[snockot]

C'est l'année des suricates ! Pescheray, le domaine des fauves, Doué, la vallée des singes...

[gibbon]

Merci Philippe pour les partages d'articles.

nouvel espace « Indonésie/Malaisie ».

« On voulait montrer ce qu’il y a sur cette zone »

[...]des gibbons à favori roux[...]

Des quoi ?

[...]des gibbons à favori roux[...]

Ah, d'accord...

[Vinch]

Une petite erreur de casting. Mais pourtant, comme candidats « indonésiens » ils avaient déjà des lars et des siamangs.

[kelloche53]

Les gibbons à favoris roux aussi sont déjà dans le parcs, mais le relogement ne sera pas un mauvais points, ils avaient accès a des arbres immenses mais niveau surface ça rester pas bien grand

[Vinch]

Mais attends, Kelly, à moins que je ne me trompe, les gibbons gabriellae seraient une nouvelle espèce chez eux. Ils avaient déjà siamangs, lar et leucogenys. Ça leur ferait donc quatre espèces.
EDIT: vu sur Zootierliste: ils ont bien les 3 premières mais pas encore les gabriellae.

[didier]

Page facebook du zoo de Paris :

Deux nouvelles espèces d'amphibiens sont présentées dans le vivarium Europe !

La grenouille de Lessona (Pelophylax lessonae) est la plus petite grenouille verte vivant en France. Elle mesure seulement 4 cm à l'age adulte ! Elle est listée comme « quasi menacée » sur la Liste rouge nationale.

Le crapaud vert (Bufotes viridis) est principalement présent en Moselle, Bas-Rhin et Haut-Rhin. C'est une espèce de basse altitude qui affectionne principalement les friches et les gravières, habitats très menacés par l'urbanisation.

Ces deux espèces font l'objet d'un programme de conservation ex-situ en Suède mené par le Zoo de Nordens Ark, d'où viennent les animaux présentés au Parc.