Nouveautes 2017 dans les parcs francais

[nico]

4 d'un coup, je suis curieux de voir l'enclos.

[Philippe]

Ain : l'aménagement du Parc des Oiseaux suspendu par le tribunal administratif

Le juge des référés du tribunal administratif de Lyon (Rhône), saisi par le préfet de l'Ain, estime que l'administrateur du Parc des Oiseaux de Villars-les-Dombes n'a pas respecté la bonne procédure pour la réalisation paysagère d'une plaine africaine et suspend l'exécution des travaux.

Le juge des référés a estimé que la régie départementale Naturain, gestionnaire du Parc des Oiseaux, n'avait pas utilisé la bonne procédure pour ce marché d'un montant de 2.184.700 euro. Pour un tel montant en effet, les seuils de publicité et de mise en concurrence sont plus contraignants. Une manière de mieux protéger les deniers publics.
Le juge administratif a donc considéré que le moyen utilisé était " de nature à créer un doute sérieux sur la légalité de ce marché et a suspendu son exécution ".
Il faudra donc attendre un jugement sur le fond ce qui risque de prendre un an. Une année pendant laquelle les travaux ne pourront pas commencer.

Source : France 3 Auvergne-Rhône-Alpes.

[Philippe]

Dompierre-sur-Besbre : de nouveaux locataires terrifiants au Pal !

Le parc animalier et de loisirs de l’Allier accueillera 22 alligators du Mississippi…

La saison 2017 va commencer très fort au Pal. Le parc animalier et de loisirs de Dompierre-sur-Besbre (Allier) s’apprête à accueillir pour son ouverture au public samedi 15 avril, de nouveaux locataires, tout à fait terrifiants ! 22 alligators du Mississippi débarqueront en provenance de Normandie, d’Espagne et du Danemark. Des lieux pas vraiment réputés pour leurs crocodiles… « Les spécimens proviennent d’autres zoos d’Europe où à force de se reproduire, ils se trouvent en surpopulation », explique le parc.

2 millions d’euros d’investissement

Les alligators prendront place dans un bayou de 4.000 m² reconstitué et unique par sa dimension. « Dans la plupart des parcs, les alligators sont dans des bassins en béton et des aquariums. Au Pal, ils évoluent à ciel ouvert. Leur biotope est entièrement préservé par un écosystème avec une eau chauffée et filtrée par les plantes, lagunage, végétation, poissons, tortues… », assure la direction.

L’espace baptisé « Alligators Park » est composé d’une zone d’eau, d’un marécage, d’un bassin muni d’une vision subaquatique, d’un parcours aventure sur pilotis et de ponts suspendus, d’un air boat et de vieux bâtiments abandonnés qui complètent l’ambiance, tandis qu’à quelques mètres, des alligators guettent dans les herbes.

Pour s’offrir une telle acquisition, le PAL a cassé sa tirelire. La direction a investi deux millions d’euros dans cette nouvelle attraction. Mais elle compte bien, en échange, attirer 15 % de visiteurs en plus cette saison et dépasser les 600.000 visiteurs.

Source : Le Progrès.

[Philippe]

Arrivée des dholes à Planète Sauvage (44)

Mercredi 22v mars 2017, Planète Sauvage a accueilli de nombreux nouveaux pensionnaires : un groupe de 14 dholes, dans le cadre d’un programme d’élevage européen.
Le dhole est un canidé asiatique, classé « en danger » par l’UICN. Dans le milieu naturel, on compte moins de 2500 individus. Les principales menaces qui pèsent sur eux sont la disparition de certaines proies, la détérioration de leur habitat au profit d’activités humaines et le braconnage.

Source : page Facebook de Planète Sauvage.

[guirosama]

14 d'un coup c'est pas mal pour les interactions sociales !

[Philippe]

La montagne des singes, un sommet touristique

La 48e saison du parc animalier de la montagne des singes, à Kintzheim, a commencé samedi 25 mars : venus de toute l’Europe, des visiteurs ont pu découvrir et approcher quelques-uns des 240 macaques de Barbarie qui vivent dans ce parc de 24 hectares.

Avec le château du Haut-Koenigsbourg et la Volerie des aigles située à quelques kilomètres, la Montagne des singes est l’une des destinations touristiques préférées en Alsace. « Les gens peuvent visiter les trois sites dans une même journée, s’ils le souhaitent, estime Guillaume de Turckheim, directeur du parc, la Montagne est clairement un incontournable alsacien. »

Balade dans un parc arboré, nourrissage des singes et explications sur le mode de vie de ces animaux sont proposés chaque jour aux visiteurs, jusqu’au 5 novembre 2017.

Le parc a rouvert ses portes au public ce week-end.

Source : L'Alsace.

[zoovenirs]

L'ancien enclos des panthères noires du zoo de Pessac est en plein travaux.

[Philippe]

Ambiance bayou en Auvergne : un Alligators Park créé dans l'Allier

Quinze alligators, en provenance du Danemark, ont rejoint le PAL lundi 27 mars 2017. Ce parc animalier de l'Allier crée un espace spécifique pour accueillir 22 reptiles à partir du 15 avril..

Le voyage est délicat. Les alligators sont transportés et mis à l'abri dans des tubes noirs. Ne pas stresser les animaux reste la priorité des soigneurs. Les plus gros mesurent quatre mètres de long, les plus petits entre un mètre cinquante et trois mètres.

Comme ses congénères, Suzy (2mètres10) a été placée dès son arrivée dans un bâtiment où règne une température de 25 degrés, pour s'acclimater à son nouveau lieu de vie.

A partir du 15 avril, le public pourra découvrir l'Alligators Park du PAL à Saint-Pourçain-sur-Besbre (Allier). Dans un bassin de 3.000 mètres carrés, 22 alligators du Mississippi côtoieront des poissons et des tortues de Floride.

Le public aura la possibilité d'observer les alligators au raz des marécages, depuis des passerelles ou de les voir évoluer sous l'eau grâce à une baie vitrée.

Pour Arnaud Bennet, directeur du PAL, ce nouvel espace doit permettre de " sensibiliser les visiteurs face à ces animaux qui sont souvent détestés, ou craints. Nous voulons montrer leur utilité et les protéger ".

Avec cette attraction, le PAL espère franchir le cap de 600.000 visiteurs en 2017.

Aprés un long voyage du Danemark jusqu'à l'Auvergne, les soigneurs plongent un alligator dans son nouveau lieu de vie dans l'Allier.

Source (avec reportage vidéo) : http://france3-regions.francetvinfo.fr/ ... 22353.html

[Philippe]

La saison démarre à la forêt des singes dans le Lotr

La saison touristique démarre dans plusieurs sites touristiques de la région. Le parc animalier lotois a ouvert ses portes ce week-end. Le site présente 150 primates, tous nés en captivité sur le causse de Rocamadour.

Après 4 mois et demi de fermeture hivernale, les macaques de Barbarie, également appelés magots, retrouvent leur public. Les animaux voient défiler en moyenne près de 150.000 visiteurs par an.

Les premiers singes sont arrivés dans le Lot en 1974. Les animaux vivent dans un parc de 20 hectares. Trois groupes distincts se côtoient, chacun dirigé par un mâle dominant.

La forêt des singes veut sensibiliser le grand public au sort des macaques de Barbarie, une espèce en voie de disparition dans le milieu naturel.
Cette espèce est le seul macaque vivant sur le continent africain, dans les forêts du Maroc et d'Algérie.
L'animal est aussi présent sur le rocher de Gibraltar.

Source (avec reportage vidéo) : http://france3-regions.francetvinfo.fr/ ... 22231.html

[Philippe]

Début mars 2017, le futur enclos des lions d'Asie du ZooParc de Trégomeur (Côtes d'Armor) prend forme : la clôture est posée, la végétation commence à arriver.

Source : page Facebook du ZooParc de Trégomeur.

[abel]

Ça a vraiment l'air petit quand même...

[okapi]

Surtout, ça fait très zoo à l'ancienne... Un enclos grillagé, sans recul ni imagination... Question de moyens sans doute, mais pour le coup, l'enclos des lions de Doué, avec son belvédère au-dessus du point d'eau, loin d'être un coup de génie, semble bien plus réussi alors qu'il a déjà un certain âge quand à sa conception.

[Philippe]

Ouverture de l’Espace Aventure à Pierrelatte (Drôme)

Après l’Asie du Sud-Est, la Ferme aux Crocodiles à Pierrelatte, dans la Drôme, invite ses visiteurs à découvrir la faune reptilienne de l’Amérique équatoriale. Ses visiteurs ? Plus particulièrement son jeune public, à qui est dédiée une nouvelle zone, inaugurée début avril : l’Espace Aventure. En immersion totale au cœur d’une biodiversité luxuriante et enrichie de nouvelles espèces animales pour l’occasion, les aventuriers juniors découvrent et apprennent... en s’amusant.
!
C’est le plus grand parc animalier européen dédié à la découverte des reptiles et de leurs proches cousins. La Fermeaux Crocodiles à Pierrelatte, au cœur de la Drôme provençale, n’en finit pas d’enrichir sa collection et de présenter, saison après saison, de nouvelles espèces méconnues du grand public, souvent menacées, toujours impressionnantes. En 2014, les varans ont fait leur entrée sous la serre du site ; en 2015 et 2016, c’était au tour des pythons d’Asie du Sud-Est d’investir les lieux
; cette année, place à la faune d’Amérique équatoriale et tropicale, ses iguanes, caïmans, serpents, oiseau et autres anacondas !

Une trentaine de nouveaux pensionnaires et une cinquantaine de piranhas (du jamais vu depuis l’ouverture de la Ferme aux Crocodiles en 1994) sont attendus ces prochaines semaines, à la conquête de l’Espace Aventure, une toute nouvelle zone pensée et aménagée pour la découverte ludique des plus jeunes. Embarquement début avril !

Drôles de noms pour drôles de bêtes !

De la couleur, des animaux inscrits au palmarès de ceux qui impressionnent et véhiculent le plus d’idées reçues, de nouveaux enclos et terrariums investis
: en 2017, la Ferme aux Crocodiles continue de se peupler ! Parmi les nouveaux pensionnaires attendus dans le nouvel Espace Aventure, les iguanes rhinocéros (oui, oui
: rhinocéros !) pourraient bien créer la surprise. Classé « vulnérable » par l’Union internationale pour la conservation de la nature, ce drôle de saurien doit son nom aux petites cornes osseuses présentes sur sa gueule. L’enclos, qui abritera une dizaine de spécimens, sera également occupé par une dizaine d’autres iguanes, verts et de
Cuba.
Des caïmans et des tortues charbonnières arriveront également dans la Drôme en ce début avril. plendide avec son plumage aux riches couleurs, un ara ararauna rappellera, dès son arrivée fin avril, la proximité dans l’évolution entre les oiseaux et les reptiles. Sans doute, et peu le savent, trouve-t-on un ancêtre commun aux nouveaux anacondas et boas, et à ce représentant de la famille des perroquets. L’ara attendu dans quelques semaines complètera une collection de pensionnaires à plumes déjà riche.Il rejoindra notamment Elvis, le calao aux joues argentées (africain, lui) à qui les soigneurs ont donné le prénom du King du fait d’un potentiel scénique et vocal... redoutable !
Pour parfaire cet enrichissement comme jamais le parc n’en a vécu depuis son
ouverture en 1994, une cinquantaine de piranhas seront présentés en aquavision.

L’aventure en pratique : jouer, rire, s’amuser, s’éclater... pour mieux découvrir

Sur près de 300 m2, l’Espace Aventure présente de nouvelles espèces endémiques d’Amérique équatoriale et tropicale, mais enrichit surtout son parcours de visite de nombreux jeux et ateliers destinés aux plus jeunes, à qui le propos zoologique, historique et environnemental est délivré dans le fun et une ambiance immersive plébiscitée par le public de la Ferme aux Crocodiles.
Ainsi, revenons-en à nos ancêtres communs, une zone de fouilles paléonthologiques a été aménagée, qui permet aux jeunes explorateurs de se familiariser, au milieu des enclos et terrariums, avec les fossiles des parents des pensionnaires de la Ferme aux Crocodiles, qui ont survécu à la préhistoire et à la vague d’extinction massive d’espèces. Plus près de nous dans le temps, un mur de dessins préhistoriques invite les enfants à venir s’exprimer, comme le faisaient les habitants d’Amérique du Sud en -13 000.
Un bassin d’orpaillage plonge les juniors dans les problématiques contemporaines de pollutions massives au mercure, en Guyane notamment, et rappelle combien les écosystèmes dans lesquels évoluent les reptiles, oiseaux et poissons d’Amérique équatoriale et tropicale sont fragiles et menacés. Découvrir en s’amusant, c’est
bien. S’amuser tout court, c’est sympa également !
L’Espace Aventure propose toboggan, mini labyrinthe en filet et pont de singe... parce que le jeune explorateur aventurier ne peut pas consacrer tout son temps à sauver la faune et la flore menacées.

Billets coupe-file : plus rapide = plus fun !
Dès avril, les billets réservés en ligne donnent accès à une file dédiée, plus rapide.

Source : communiqué de presse.

[Philippe]

Maubeuge (59) : à la découverte des nouveautés du parc zoologique

Le zoo rouvre ses portes ce samedi 1er avril et accueillera de nombreux visiteurs jusqu’au 12 novembre. Fort de 176 500 entrées en 2016, le zoo devrait poursuivre son ascension avec l’arrivée de nouvelles espèces, des travaux et des bébés en vue.

1. Deux nouvelles espèces d’oiseaux

Le zoo sambrien accueille cette saison deux nouvelles espèces, portant leur nombre à soixante parmi les mammifères, les oiseaux et les reptiles. Deux couples de calaos terrestres d’Abyssinie font leur apparition dans la grande volière d’immersion.

Ce sont de grands oiseaux, dotés d’un long bec courbe. On distingue mâle et femelle grâce à la couleur de la peau du cou : rouge chez lui et bleue chez elle. Jimmy Ebel, le directeur du zoo, confie une anecdote à leur sujet. « Le mâle offre souvent des présents à la femelle pendant la période nuptiale mais parfois aussi aux visiteurs. C’est marrant de voir la tête des gens quand le mâle leur apporte une souris morte ! »

Deux couples d’oies de Magellan viennent aussi agrandir la famille du zoo. Originaires de Patagonie, ces oiseaux sont très attachés à leur territoire. Les mâles sont blancs et gris tandis que les femelles tirent plutôt vers le roux, gris et noir.

2. Le départ d’une jeune panthère

Deux panthères femelles sont nées au zoo en 2014. « Cette naissance était extraordinaire, rappelle Nathalie Gomes, l’adjointe en charge du du parc zoologique, car leur père, Wil Pattu, était assez âgé, il est mort deux ans plus tard à l’âge de 20 ans. Ces deux femelles sont sa seule descendance. »

Actuellement, le zoo compte encore trois panthères du Sri Lanka : la maman, Yalla, et ses deux filles, Singha et Matara. Le directeur vient d’apprendre que Singha allait s’envoler dès la première quinzaine d’avril pour se reproduire en République tchèque. Cette triste nouvelle est compensée par une bonne : un mâle reproducteur va bientôt venir tenir compagnie à Matara. « On axe tout sur la reproduction. La maman restera si la cohabitation à trois se passe bien. Si ce n’est pas le cas, elle partira aussi », précise Jimmy.

3. La nouvelle maison des hippopotames

Le projet avance à grands pas. Les travaux de la nouvelle maison des hippopotames devraient commencer en octobre. Elle offrira plus de sécurité et de confort pour les animaux et leurs soigneurs. « Et elle sera vitrée pour permettre aux visiteurs de voir l’intérieur, ce qui est bien utile quand les animaux ne veulent pas montrer le bout de leur nez ! », ajoute Nathalie.

4. Des bébés fortement espérés

Le bébé vautour né l’année dernière se porte bien dans la volière d’immersion. Ses parents ont quant à eux rejoint la volière de reproduction où ils couvent actuellement un œuf. Un nouveau-né est donc espéré pour mai-juin.

Côté kangourous géants, le directeur pense qu’une des femelles est gestante. Croisons les doigts !

5. De nouvelles animations et un grand projet

Cette année, les enfants vont être choyés. Une grande chasse aux œufs va être organisée pour la première fois dans l’enceinte du parc les 16 et 17 avril, de 9 h à 10 h, avant l’ouverture du parc au public. « Le but de cette opération est de découvrir le zoo autrement, selon une approche ludique, résume le directeur. Et bien entendu, tous les œufs en chocolat sont garantis sans huile de palme ! » Le nombre de places sera limité et il est nécessaire de s’y inscrire en amont, en contactant le service pédagogique du zoo au 03 27 53 43 79. La chasse aux œufs sera comprise dans le prix du billet d’entrée ces jours-là.


Autre attention à destination des enfants : une toile tendue de 200m2 vient d’être installée au-dessus de l’aire de pique-nique, près de l’aire de jeux. Cet abri couvert permettra désormais d’organiser au sein du zoo des ateliers de lecture, en partenariat avec les librairies et la médiathèque, l’objectif étant de diversifier l’offre pédagogique sur le parc.

Jimmy Ebel et Nathalie Gomes ont en outre fait part d’un grand projet de réorganisation. Jusqu’à maintenant, l’entrée et la sortie se faisaient au même endroit, ce qui occasionnait parfois quelques difficultés lors des grandes affluences. Par ailleurs, la boutique actuelle, trop petite et mal située en plein milieu du zoo, posait également problème. Alors, pour faire d’une pierre deux coups, il a été décidé de créer une nouvelle sortie qui se situera dans la nouvelle boutique, plus grande et idéalement située à la fin du sens de visite. Ce projet devrait être mené à bien pour l’ouverture 2018.

L’une des deux jeunes panthères va prochainement quitter le zoo pour aller se reproduire en République tchèque.

Source : La Voix du Nord.

[Philippe]

Au regard de la proximité de cet établissement avec le territoire hexagonal, j'ai pensé judicieux de partager cet article dans cette liste.

De nouvelles espèces pour l'ouverture d'Aran Park

Reprise de la saison à Aran Park, ce samedi 1er avril 2017. Installé depuis le printemps 2013 sur le versant espagnol du col du Portillon, sur une superficie de 20 hectares, le parc animalier démarre une nouvelle saison avec en nouveauté, l'arrivée de loups gris des Pyrénées. L'occasion de dresser un bilan de l'année écoulée et de prendre des nouvelles des oursons nés l'an dernier avec Patrice Armengol, le directeur du parc.

Comment se portent vos oursons ?

Ils vont très bien. Le petit mâle, Indu, et les deux femelles, Misha et Truna, ont grandi et le 21 mars dernier, ils nous ont quitté pour rejoindre le parc animalier d'Argelès-Gazost. Luna, la maman et Ben, le papa, ont donc retrouvé la tranquillité dans leur enclos.

Vous accueillez de nouveaux animaux ?

Chaque année, nous faisons le nécessaire afin de présenter au public de nouvelles espèces. C'est pour nous une façon de faire découvrir la biodiversité de nos Pyrénées et permettre à nos visiteurs de mieux comprendre la faune et la flore qui nous entoure. Cette année, aux côtés des loups blancs, le public pourra découvrir une meute de loups gris des Pyrénées, une espèce emblématique de notre massif. Ils sont arrivés d'Argelès-Gazost il y a environ trois mois et poursuivent leur adaptation dans leur nouvel environnement.

Quelles espèces le public peut-il découvrir ?

Nos visiteurs peuvent observer quatorze espèces différentes : ours, lynx, chevreuils, marmottes, loups blancs, cerfs, hiboux… Ils peuvent se promener dans le parc en suivant un circuit d'environ deux heures et découvrir les animaux dans leur milieu. D'ailleurs, c'est un plaisir d'observer nos marmottes qui au sortir de l'hiver, profitent déjà des premiers rayons de soleil du printemps.

Souhaitez-vous faire découvrir encore beaucoup d'espèces ?

Nous y travaillons régulièrement. Nous aimerions avoir un grand tétras mais aussi tout ces petits rongeurs dont on entend parler mais que l'on ne voit pas, comme les blaireaux, les martres, les écureuils… Nous allons continuer nos efforts dans ce sens.

Vous êtes satisfait du bilan de l'année écoulée ?

Oui, nous avons atteint les 45.000 entrées, nous sommes en progression par rapport à l'année précédente. Je pense que le Parc est arrivé à un seuil de maturité dans son exploitation. C'est plutôt pas mal.

Vos jours d'ouverture ?

Le parc, ouvre ses portes donc samedi 1 avril et ce, tous les jours jusqu'au 1er novembre, de 9h 30 à 18h 00 et de 9h 30 à 19h 00 durant les deux mois de juillet et août.

Nous disposons d'une aire de pique-nique ainsi que d'un snack-bar à mi parcours, ouvert tous les week-ends, jours fériés et vacances.

Source : La Dépêche.