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Messagepar raphaël » Samedi 24 Juin 2017 19:04

Je reviens un peu tard sur le masterplan fictif de Doué :

Notre ami Therabu avait lancé un sujet là dessus il y a quelques mois, et certaines idées se retrouvent. Voilà mon point de vue sur quelques thèmes :

- Non, la carrière actuelle des girafes n'est pas une bonne idée pour des grands singes. Aucun arbre, trop plate, trop étroite, et vous oubliez un autre paramètre également : le falun. Les grands singes, c'est très intelligent et très patient. J'imagine fort bien des bonobos ou des gorilles passer des heures contre la paroi à gratter patiemment pour faire tomber des petits bouts.
Cela dit, malgré les réticences de Pierre Gay, je l'écris et le répète, les grands singes sont des animaux ultra charismatiques, nos proches cousins, en danger critique d'extinction, et j'ai envie de dire qu'au vu des missions et de la philosophie conservatoire de Doué, c'est un devoir pour le Bioparc d'en accueillir ! Les orangs outans me paraissent l'espèce la plus adéquate. En fait, je vois bien à la place actuelle des gibbons, une sorte d'immense multi iles où les orangs cohabiteraient avec d'autres espèces.

- Je maintiens aussi que les loups a crinière peuvent être très facilement remplacés par des chiens des buissons.

-Je trouve dommage de garder la volière européenne telle quelle, la collection est déjà un peu redondante avec les autres volières (ibis, grues, hérons...)

- L'enclos des guépards n'est pas exceptionnel, de là à dire qu'il est inadapté...
Les animaux des zoos sont les ambassadeurs de leurs cousins sauvages. (Pierre Gay)
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Messagepar Baomer » Samedi 24 Juin 2017 19:37

Je ne connais pas Doué, mais les loups à crinières restent un peu plus attractifs que les chiens des buissons...
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Messagepar abel » Dimanche 25 Juin 2017 10:20

raphaël a écrit:
Cela dit, malgré les réticences de Pierre Gay, je l'écris et le répète, les grands singes sont des animaux ultra charismatiques, nos proches cousins, en danger critique d'extinction, et j'ai envie de dire qu'au vu des missions et de la philosophie conservatoire de Doué, c'est un devoir pour le Bioparc d'en accueillir ! Les orangs outans me paraissent l'espèce la plus adéquate. En fait, je vois bien à la place actuelle des gibbons, une sorte d'immense multi iles où les orangs cohabiteraient avec d'autres espèces.


Mais il n'y a pas de grands arbres dans le coin, et l'espace n'est pas très conséquent... Même en reliant entre elles les actuelles îles à gibbons vieillissantes, ce ne serait pas une grande superficie, d'autant plus qu'il faut avoir la place de construire un grand bâtiment... Non, je ne suis pas sûr que les grands singes à Doué soient une bonne idée... mis à part les gibbons, dont les îles gagneraient d'ailleurs à être refaites (je crois que c'est prévu dans le cadre du projet indonésien).

Baomer a écrit:Je ne connais pas Doué, mais les loups à crinières restent un peu plus attractifs que les chiens des buissons...


Pas sûr... Les chiens des buissons sont généralement plus actifs. De plus, il est clair que l'enclos actuel des loups à crinière est l'un des moins bons du Bioparc, et des chiens des buissons conviendraient plus à cet enclos, je pense.
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Messagepar okapi » Dimanche 25 Juin 2017 10:46

Il serait probablement plus "simple" de creuser une carrière de deux hectares, d'y déverser quelques tonnes de bonne terre et de l'aménager avec des rochers, de hautes herbes, des troncs géants, des fleurs, une cascade et un ruisseau empierré, pour y installer un groupe de gorilles...
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Messagepar zoobeauval25 » Dimanche 25 Juin 2017 12:50

okapi a écrit:Il serait probablement plus "simple" de creuser une carrière de deux hectares, d'y déverser quelques tonnes de bonne terre et de l'aménager avec des rochers, de hautes herbes, des troncs géants, des fleurs, une cascade et un ruisseau empierré, pour y installer un groupe de gorilles...


C'est pas si simple malheureusement...

raphaël, pour les grands singes qui grateraient contre le falun, je ne vois pas trop le problème... Pour moi, ce serait plutôt les risques d'évasion: les jeunes pourraient escalader assez haut...

N'oubliez pas aussi que l'idée de Pierre Gay était de mettre les girafes à proximité des okapis...

Non, pour moi, ce serait plutôt cela, un bon masterplan de Doué:

Camp des girafes: Création d'un nouveau bâtiment plus adapté aux transferts, et remplacement des zèbres par des addax ou des oryx. Création d'un bassin, et mise en place de sable, au sol.

Vivarium: désormais entièrement consacré à l'Afrique. On peut même le transformer en
nocturama ?

remplacement des lions d'Afrique par des lions d'Asie, après réaménagement total. création de ces fameuses carrières indonésiennes et malgaches. Déménagement des pandas roux et muntjacs dans la plate bande à l'entrée des "fantômes de l'Himalaya". Remplacement des loups à crinière par des chiens des buissons, après rénovation.

On peut même aller encore plus loin !
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Messagepar okapi » Dimanche 25 Juin 2017 13:11

J'imagine bien Pierre Gay tracer les plans d'un hangar pour ses girafes! Le bâtiment actuel est parfaitement adapté aux girafes et je ne vois pas très bien en quoi le fait de glisser une remorque dans le couloir de falun est un problème...
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Messagepar Therabu » Dimanche 25 Juin 2017 14:26

okapi a écrit:Il serait probablement plus "simple" de creuser une carrière de deux hectares, d'y déverser quelques tonnes de bonne terre et de l'aménager avec des rochers, de hautes herbes, des troncs géants, des fleurs, une cascade et un ruisseau empierré, pour y installer un groupe de gorilles...


Cela ne fera toujours pas pousser des arbres...

La seule chose envisageable à mon avis, serait de récupérer le terrain boisé à coté des vautours pour une petite famille d'orang-outans. Mais ce n'est ni une priorité, ni une parcelle achetable à court terme.
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Messagepar okapi » Dimanche 25 Juin 2017 14:53

Certes, mais à tout prendre, les gorilles sont "moins" arboricoles que les orangs outangs... Et les parcs qui les présentent dans une parcelle forestière digne de ce nom sont à compter sur les doigts d'une main... Un hectare de forêt pour des orangs outangs, ce serait très bien, mais quel parc de l'Hexagone s'y est risqué à ce jour? Doué pourrait être le premier, mais le site ne le permet pas dans l'immédiat, donc tout ceci va rester à l'état de jolies perspectives fantasmées...
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Messagepar zoobeauval25 » Mercredi 28 Juin 2017 11:19

okapi a écrit:J'imagine bien Pierre Gay tracer les plans d'un hangar pour ses girafes! Le bâtiment actuel est parfaitement adapté aux girafes et je ne vois pas très bien en quoi le fait de glisser une remorque dans le couloir de falun est un problème...


Imaginons que l'on soit toujours obliger de passer au beau milieu des enclos pour les transferts, effectivement, ce serait très pratique...
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Messagepar Macan » Mercredi 28 Juin 2017 11:26

Ouais enfin un transfert ça arrive pas tous les jours, doué a quand même le temps de s'organiser t'inquiètes pas.
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Messagepar okapi » Mercredi 28 Juin 2017 13:08

Zoobeauval, tu es devenu spécialiste des transferts? Connais-tu l'envers du décor à Doué? Les loges de nuit des girafes notamment? En quoi, vraiment, est-ce un problème de faire passer un camion, une fois tous les deux ou trois ans, dans un tel espace?
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Messagepar zoobeauval25 » Mercredi 05 Juillet 2017 12:49

Voici (enfin), ma nouvelle création ! (j'espère que, comme moi, vous la trouverez bien meilleure que celles que j'ai déjà posté).

Il s'agit d'un "Island zoo" (island veut dire "île", en anglais). Mon zoo est donc situé sur une île, entre la terre et la mer...

Je dois vous prévenir: ce parc est loin d'être terminé, et je préfère poster une zone à la fois, avec de grandes pauses entre chaque zones, plutôt que de tout poster d'un coup, et en une création bâclée. l'écriture de toutes ces créations est d'ailleurs très longue.
(N'hésitez pas à poster vos propres créations même si je n'ai pas fini :wink: ).

Mon projet est séparé en 6 zones différentes, ambassadrices de milieux différents:

Forêts tropicales et équatoriales:

La zone sur les forêts tropicales et équatoriales sera un formidable outil de sensibilisation sur la protection des forêts: déforestation, huile de palme, braconnage...
Le fonctionnement des forêts sera ici exposé aux visiteurs. Un mot pourrait caractériser cette zone: "Surprise": Même si on ne voit pas d'animaux, on voit leurs traces, et leurs modes de vies.

Des animaux du monde entier seront présentés ici.
L'architecture sera principalement orientée autour de quatre matériaux: bois, verre, métal et végétaux...
Image
Coq de roche de Guyane
(oiseaux.net)

Royaumes floristiques et déserts:

Ces deux milieux regorgent de vies, bien qu'ils ne soient pas toujours très accueillants. Cette zone sera axée sur la biodiversité, et sensibilisera les visiteurs aux OGM, notamment. Cela permettra de mettre en place divers services dans cette zone, tel le plus grand restaurant du parc.
Cette zone sera très naturelle: murets de pierres sèches, potagers, tertres, tunnels et vallées descendants jusqu'à la mer, la composeront... Cette zone sera d'ailleurs "entre les collines et la mer"...
Image
lézard bleu des Faraglioni
(Bellanapoli.fr)

Montagnes

Cette zone sera complètement isolée du reste du parc. Étrangement, ce sera également la plus naturelle du Island zoo, avec de larges chemins végétalisés, bordants d'immenses territoires où vivent des animaux exceptionnels... Le braconnage sera le principal problème abordé dans cette zone.
Une "sous-zone" sur les grottes et cavernes sera aussi présente.
Image
babouin hamadryas
(adelaïdezoo.com)

forêts tempérées et boréales:

Cette zone, presque complètement forestière, montrera la richesse, la diversité, la beauté et la fragilité de la faune qui vit dans des forêts que l'on connait bien. La faune des forêts scandinaves, russes et nord-américaines sera représentée, mais aussi de forêts plus au sud...
Image
kiwi
(thedodo.com)

Océans

Cette zone se découpera principalement autour d'un aquarium moderne, avec des serres, des bassins gigantesques, ou encore des volières côtières. Cette zone sensibilisera les visiteurs à la beauté et à la fragilité des océans, surtout à travers l'exemple du plastique.
Cette zone est encore "très floue".
Image
fou de bassan
(photonum.net)

îles

Cette zone finira la visite, et montrera, là aussi, la beauté des îles. Le problème du réchauffement climatique sera montré au visiteurs ("montré", pas seulement "expliqué), à travers la faune extraordinaire d'îles du monde entier, qu'il y fasse chaud, ou froid...
Image
crabe des cocotiers
(http://coenobita.e-monsite.com)

:wink:
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Re: Créations

Messagepar Macan » Mercredi 05 Juillet 2017 17:09

Je reviens sur mes masterplans fictifs avec cette fois le boss français, Beauval. c'est un zoo avec une immense collection et qui commence une pseudo organisation en zones géographiques, marquant la limite entre ancien et nouveau. L'aspect esthétique n'est lui aussi pas toujours très travaillé, c'est pourquoi je vais proposer un masterplan organisé en zones géographiques, privilégiant principalement les déménagements et l'arrivée de nouvelles espèce importantes d'un point de vue de la conservation. L’aspect pédagogique n'est pas écarté et le parc proposera de nombreux stands tout au long du parcours afin d’instruire ses visiteurs. Enfin, l'immersion du visiteur sera améliorée, notament d'un point de vue végétal, mais aussi avec la création d'enclos modernes, sans barrières visibles.
Vous pourrez suivre à partir du plan actuel du parc disponible à ce lien : https://www.zoobeauval.com/preparez-votre-visite/plan-du-zooparc, et à partir des nouveaux plans par zone que j’ai créé :

Image
1) Suite au déménagement des lémuriens et colobes, les capucins à épaules jaunes (Cebus apella xanthosternos) emménagent sur les îles et introduisent les visiteurs dans la zone Sud américaine, et plus précisément Pantanal.
2) L’île des flamants roses (Phoenicopterus ruber), les berges de l’étang et les îles des capucins sont réaménagées et agrandies afin d’accueillir en cohabitation avec les espèces précédentes les tapirs terrestres (Tapirus terrestris) et capybaras (Hydrochaeris hydrochaeris) du zoo. L’enclos est d’ailleur agrandi sur le chemin de visite mitoyen à l’enclos 79.
3) la rivière des anatidés reste inchangée mais ne correspond pas à la zone.
4) L’enclos des manchots reste inchangée et emmène le visiteur sur les côtes péruviennes
5) Dans cette allée, les volières devenues obsolètes sont détruites au profit de 5 grandes volières modernes, au grillage souple, forme esthétique, haute et en longueur. La première reconstitue une côte, où vivent des brassemers de Magellan (Tachyeres pteneres) et des sternes incas (Larosterna inca).. La seconde accueille des aigles bleus du Chili (Geranoaetus melanoleucus) tandis que la troisième accueille les perruches de Patagonie (Cyanoliseus patagonus) et des amazones à épaulettes jaunes (Amazona barbadensis) dans un décor rocheux. La quatrième, la plus grande, est occupée par des vautours papes (Sarcoramphus papa), des aras de Lafresnayes (Ara rubrogenys), les hoccos de Daubenton (Crax daubentoni), les tamarins pinchés (Saguinus oedipus) et au sol des poudous du sud (pudu puda). Enfin la cinquième expose des aras de Buffon (Ara ambigua), des titis roux (Callicebus cupreus), des tamarins empereurs (Saguinus imperator subgrisescens), tangaras du Paradis (Tangara chilensis) des amazones vineuses (Amazona vinacea) et des coqs de roche du pérou (Rupicola peruvianus).
6) L’ensemble des volières en bordure de serre (sauf n°7) sont conservées et plongent le visiteur en amazonie. La première, en bas, héberge des conures soleil (Aratinga solstitialis) et aras à lunettes jaunes (Ara manilata), tandis que la seconde de forme octogonale accueille des ouistitis argentés (Mico argentatus). Celle des pygargues vocifères, dans l’angle de la serre héberge des sakis à face blanches (Pithecia pithecia) et des chouette à lunettes (Pulsatrix perspicillata), alors que le bloc de volière à rapace à sa droite est relié en une volière, dédiée à des margays (Leopardus wiedii).
7) Le départ des calaos rhinocéros permet la création d’une volière du pantanal accueillant des aras hyacinthes (Anodorhynchus hyancinthinus) et des jacanas noirs (Jacana jacana).
8) La serre des oiseaux est désormais serre amazonienne. La première salle est refaite afin d’accueillir plusieurs enclos dont un bassin de 300m2 pour les lamantins (Trichechus manatus) et espèces qui les accompagnent. A côté, un enclos est lui dédié à des coendous et des agoutis d’azara (Dasyprocta azarae). Les grands tatous velus (Chaetophractus villosus) et paresseux didactyles (Choloepus didactylus) conservent leurs enclos Enfin, plusieurs terrariums accueillent de reptiles et amphibiens. La seconde salle est elle conservée telle quelle mais les espèces en liberté sont modifiée. On trouve désormais des savacous huppés (Cochlearius cochlearus), sarcelles du Brésil (Amazonetta brasiliensis), tangaras du Brésil (Ramphocelus bresilius), caurales soleils (Eurypyga helias), callistes masqués (Tangara nigrocincta), paroares huppés (Paroaria coronata), amazones à dos rouge (Amazona festiva), caïques à tête noire (Plonites melanocephala), toucans tocos (Ramphastos toco) et tamarins lions dorés (Leontophitecus rosalia).
9) La nurserie est conservée et garde sa vocation.
10) La lignée de volières à rapaces est conservée mais toutes sont reliées en une seule. Ici vivent des perroquets maillés (Deroptyus accipitrinus), des aras araraunas (Ara ararauna), des toucans vitellins (Ramphastos vitellinus) et des tamarins lions noirs à tête dorée (Leontophitecus chrysomela). Les volières à perroquet n’appartiennent quant à elle pas à la zone, ne sont pas modifiée et constituent avec la nurserie une mini zone d’élevage aviaire
11) Sur ces 3 volières, seule celle de droite ( la plus grande) est conservée. Elle hébèrge désormais des caïques à ventre blanc (Plonites leucogaster), des aras chloroptères (Ara chloroptera) et des tamarins aux mains rousses (Saguinus midas). Les deux autres sont supprimées au profit d’un batiment accueillant les espèces de la volière précédente et de la n°10.
12) + 13) Toutes les volières à becs crochus et les 3 volières à chouettes sont détruites, ainsi que leurs bâtiments. Une nouvelle volière est construites et accueille des amazones à front bleu (Amazona aestiva), des aras à gorge bleue (Ara glaucogularis) et des ouistitis pygmés (Callithrix pygmaea). Une seconde héberge des amazones farineuses (Amazona farinosa) et des perruches guaroubas (Aratinga guarouba). Le chemin et le parterre à l’arrière sont végétalisés.
14) Les 3 enclos de hyènes sont désormais séparés. Le premier, ancien lieu de vie de la hyène solitaire, est réaménagé avec un grand bassin pour accueillir des loutres géantes (Pteronura brasiliensis). Le second appartient à la prochain zone et constitue le premier enclos des guépards du soudan (Acinonyx jubatus soemmerringi) tandis que le dernier est agrandi sur le terrain situé entre la plaine africaine et les volières à perroquet. Sur 7500 m2, il constitue l’enclos principal des mâles guépards. L’ancien bâtiment des hyènes a été agrandi pour l’occasion.
15) Suite au départ de ses occupants, cet enclos pentu accueille les fourmiliers géants
(Myrmecophaga tetradactyla) et nandous d’amérique (Rhea americana).
16)+17) Suite au départ des fourmiliers et décès des lions blancs, Ces enclos sont recouverts d’un filet, joints par un tunnel extérieur et enrichis en agrès. C’est ici que déménagent les jaguars (panthera onca)
28) Cet enclos fait désormais parti du sens de visite et accueille des tatous à six bandes (Tolypeutes matacus).
29) Ce bâtiment fait désormais partie du sens de visite et accueille les jaguars. Il sépare les deux enclos mais ceux ci peuvent êtres reliés par un tunnel passant au dessus des visiteurs.

Image
18) Cet enclos, premier de la zone Afrique, plus précisément corne de l’afrique, se voit vidé de ses occupants pour constituer sur 9000 m2 une grande plaine éthiopienne. Le bâtiment principal est détruit au profit d’un bâtiment moderne et intégré sous un des nombreux aménagements rocheux disposés dans l’enclos. C’est ici que vivent désormais les ânes de somalie (Equus africanus somaliscus), oryx beisa (Oryx beisa), cobes de Lechwe (Kobus lechwe) et pintades cummunes (Numida meleagris), au côtés de géladas (Theropithecus gelada), oréotragues (Oreotragus oreotragus) et bouquetins de nubie (Capra nubiana). Au bout de la plaine est construite une volière accueillant des colious striés (Colius striatus), des spréos superbes (Lamprotornis superbus) et des petits calaos de Van den Decken (Tockus deckeni).
19) L’enclos des tortues est supprimé au profit d’une grande volière rocheuse dont le contour a été paysagé. Ici vivent des aigles huppés (Lophoaetus occipitalis).
20) Le bâtiment est supprimé et reconstruit. Le visiteur passe dans un tunnel rocheux où il pourra observer les loges intérieures, ainsi que quelques terrariums qui accueillent des rats du natal (Mastomys natalensis), des elephantulus rufescens, des pythons de Seba (Python sebae), des vipères heurtantes (Bitis arietans) et des Varanus albigularis ionidesi.
21) Ces deux enclos sont totalement réaménagés pour accueillir des damans des rochers (Procavia capensis).
22), 23) et 24) Suite au décès des tigres blancs et au déménagement des serval, ces trois enclos sont regroupés avec les chemin de visite, qui sera retracé sous forme de passerelle dans cet enclos de contact. Le tout est couvert d’un filet léger. En effet, au vu de la hauteur des arbres et de la proximité de la route, les risques d’évasion des makis cattas (Lemur catta), varis roux (Varecia rubra), varis à ceinture blanche (Varecia variegata subcincta) et lémurs a ventre roux (Eulemur rubriventer) qui vivent ici seraient trop élevés. Le parc peut ainsi accueillir quelques oiseaux parmis lesquels des grands vasas (Coracopsis vasa), ainsi que des tortues géantes d’aldabra (Aldabrachelys gigantea). Par ailleur, un chemin est créé entre les enclos 22 et 17 pour contourner l’enclos de contact, premier de la sous zone malgache, en cas de fermeture de celui ci (notamment si le parc accueille trop de visiteurs).
33) Suite au déménagement des jaguars, des fossas (Cryptoprocta ferox) prennent possession de leur enclos.
34), 35), 37) et 76) Le départ des espèce occupant ces enclos signe leur destruction. A la place, un grand espace pédagogique contenant plusieurs stands permanents couverts présentant les projets beauval nature et d’autres causes défendables, des jeux pédagogique… Lors des grosses périodes, des employés sont postés afin d'informer le visiteur, de lui proposer des ateliers...
36) Le départ des grues de sibérie libère cet enclos, désormais dédié aux servals (Leptailurus serval).
Le sens de visite change, le visiteur se dirige désormais vers l’extension africaine

89) Cette volière accueille désormais des messager sagittaire (Sagittarius serpentarius) et des vautour charognard (Necrosyrtes monachus).
et introduit le visiteur dans la sous zone Sud africaine.
84) + 88) Ces enclos sont reconnectés et sont occupés par des petits koudous (Tragelaphus imberbis), des gazelles de Thomson (Gazella thomsonii) et des pintades huppées (Guttera pucherani).
85) La volière des hippopotames (Hippopotamus amphibius) voit l’ouverture partielle (en fonction de la cohabitation) de l’enclos des nyalas (Tragelaphus angasii) après la création d’un préparc.
86) Ces enclos ne changent pas.
87) Cet enclos ne change pas.
Le visiteur arrive désormais dans la zone d’extension du parc encore non aménagée

Image
a) Le visiteur découvre premièrement a sa gauche la gare du téléphérique qui l’emmène jusqu’au bas du parc. Celle ci est camouflée dans une grande case africaine pour éviter la présence d’un hangar.
b) Il rencontre premièrement plusieurs petits enclos qui accueillent quelques petites espèces africaines parmis lesquelles les otocyon (Octocyon megalotis), qui cohabitent avec les mangoustes naines (Helogale parvula) du parc, et porc épic (Hystrixcristata). Une volière accueille quant à elle des ibis sacrés (Threskiornis aethiopica), tantales ibis (Mycteria ibis) et des cordonbleus (Uraeginthus cyanocephalus).
c) face aux petits mammifères, un enclos de 3000m2 permet de déménager les hyènes tachetées (Crocuta crocuta) et complète la zone des carnivores avec terre des lions. L’enclos est aménagé de sorte que les animaux puissent voir la grande plaine qui se trouve à l’arrière.
d) Une volière accueille des aigles vocifères (Haliaeetus vocifer) et des calaos terrestres (Buceros leadbeateri).
e) Le visiteur accède désormais à une passerelle qui surplombe la nouvelle plaine africaine de plus de 2,5 hectares. Cette plaine remplace l’ancienne mais conserve les espèces a savoir : gnous bleus (Connochaetes taurinus), hippotragues noirs (Hippotragus niger), damalisques à front blanc (Damaliscus dorcas phillipsi), zèbres de Grévy (Equus grevy), girafes (Giraffa camelopardalis), oies d'Egypte (Alopochen aegyptiacus), autruches (Struthio camelus), marabouts africains (Leptoptilos crumeniferus), rhinocéros blancs (Ceratotherium simum simum) auxquels s’ajoutent des grands koudous (Tragelaphus strepsiceros), sitatungas (Tragelaphus spekii), grues caronculées (Grus carunculatus), et quelques autres espèces. L’espace situé entre l’enclos des hyènes et la passerelle n’est pas accessible aux rhinocéros et girafes et un bassin accueille les pélicans blancs (Pelecanus onocrotalus) du parc.
f) le visiteur continue son expédition africaine dans la sous zone sahélienne et traverse un désert ou vivent Dromadaires (Camelus dromedarius), Gazelles de Morrh (Gazella dama), Gazelle dorcas (Gazella dorcas), Oryx algazelle (Oryx dammah), Gerenuk (Litocranius walleri), Dick-dick (Madoqua kirkii) et grues couronnées (Balearica pavonina).
g) après la passerelle, plusieurs petits enclos présentent des petits animaux tel que des fennecs (Vulpes zerda), chats des sables (Felis margarita), gerbilles à queue grasse (Pachuyromys duprasi) et une volière pour grand duc ascalaphe (Bubo ascalaphus).
h) la sous zone Afrique équatoriale commence avec cet enclos entre le sous bois qui a été conservé et la zone ouverte à côté. Ici vit la troupe de bongo (Tragelaphus eurycerus), dans un enclos plus adapté à l’espèce.
i) Le visiteur arrive face à deux grandes îles d'environ 5000m2 et 4000m2. Ces deux îles sont consacrées aux deux groupes de grands singes africains qui héberge le parc, à savoir les gorilles (Gorilla gorilla gorilla), qui cohabitent avec les colobes (Colobus guereza kikuyensis) et patas (Erythrocebus patas), et les chimpanzés (Pan troglodytes). Les deux groupes peuvent interchanger d’île afin d’enrichir leur quotidien.
j) Face aux grands singes, un enclos séparable en deux accueille les okapis (Okapia johnstoni) dans des condition enfin adaptées.
k) Le visiteur se trouve désormais face au grand dôme, dont le parc a revu la constitution et la localisation (de justesse) afin de s’intégrer dans cette politique de division géographique. Celui ci est dévoué aux forêts équatoriales et est séparé en deux parties par un filet. Dans la première, le visiteur découvre quatres grandes îles dont deux de 1000m2, une de 800 m2 et une de 500m2, contenant chacunes plusieurs agrès en faux troncs, en bois et en cordes. Sur ces quatres îles évoluent à tour de rôle la famille de gorilles, les chimpanzés, le bachelor de gorilles qui cohabite avec les mones de Campbell (Cercopithecus campbelli campbelli) et le couple de panthères de perse (Panthera pardus saxicolor). Les coulisses contiennent plusieurs loge d’isolement et des loges individuelles. La seconde partie est une zone traversée par une passerelle en hauteur et où vivent en liberté les cercopithèques dianes (Cercopithecus diana diana), les moustacs (Cercopithecus cephus), des touracos géants (Corythaeola cristata), des gris du Gabon (Psittacus erithacus), des calaos trompettes (Bycanistes bucinator), des euplectes vorabés (Euplectes afer), des euplectes veuve noire (Euplectes ardens), des touracos de Lady Ross (Musophaga rossae), des barbicans à poitrine rouge (Lybius dubius), des paons du Congo (Afropavo congensis) et des rolliers à ventre bleu (Coracias cyanogaster). Au sol, deux enclos accueillent des hippopotames nains (Hexaprotodon liberiensis), deux autres des okapis, un pour des potamochères (Potamochoerus larvatus), et des céphalophes bleu (Philantomba monticola) ont accès à l’ensemble de la zone. Enfin, dans l’ensemble de la serre plusieurs vivarium accueillent des reptiles et amphibiens. Par ailleurs, une terrasse surplombant la serre prolonge le restaurant qui se trouve à l'intérieur.
l) En sortant du dôme, le visiteur découvre à sa gauche une île fraîchement végétalisée, à l’herbe haute et aux nombreux agrès. Cette île peut accueillir à tour de rôle le bachelor de gorilles ou le couple de panthères. Il continue ainsi sur un chemin paysagé avant de rejoindre la passerelle le ramenant au niveau des jaguars.
38) L'arène des otaries (Zalophus californianus) ne change pas et n’appartient à aucune zone, puisqu’il s’agit d’un spectacle.

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39) + 42) Les deux îles sont refaites et introduisent le visiteur dans la zone australienne. Il commence dans les côtes du queensland (en haut à gauche) avec l’enclos des wallabys agiles (Macropus agilis) et des wallaby bicolores (Wallabia bicolor), traversé par le visiteur. Une seconde sous zone tasmanienne permet au visiteur de voir premièrement des kookaburas (Dacelo novaeguineae), des kéas (Nestor notabilis) et des cacatoès à huppe jaune (Cacatua galerita), puis des diables de tasmanie (Sarcophilus harrisii), et pourrait être complété par l’enclos précédent avec les wallabies de bennet (Macropus rufogriseus) à la place des espèces citées. En sortie de serre, un troisième enclos emmène le visiteur dans le désert avec les kangourous roux (Macropus rufus) et deux enclos accueillant des reptiles. Au fond de l’enclos, une volière héberge des cacatoès de Leadbeater (Cacatua leadbeateri) et des cacatoès rosalbins (Eolophus roseicapillus). Un dernier petit enclos n’appartenant pas à cette zone et sera visible plus tard.
40) + 41) Suite au départ des gorilles et des lamantins, la serre est aménagée de sorte à amener le visiteur sur les côtes du queensland dans la forêt puis sur la barrière de corail. Les cages des gorilles sont premièrement détruites. A la place le visiteur découvre trois grandes loges végétalisées ou vivent désormais les koalas (Phascolarctos cinereus adustus) en compagnie de phalangers volants (Petaurus breviceps). Un second enclos visibles aussi en nocturama est occupé par des échidné à nez court (Tachyglossus aculeatus). En face, trois loges accueillent les dendrolagues de Goodfellow (Tachyglossus aculeatus) et ceux de Matschie (Dendrolagus matschiel). Un petit enclos est quant à lui occupé par des rakalis (Hydromys chrysogaster). Le bassin des lamantins est transformé en barrière corallienne et accueille de nombreuses espèces de poissons dont ceux présentés dans les aquariums de l’ancienne serre. Enfin, volent en liberté dans la serre des cacatoès à oeil nu (Cacatua sanguinea), des cacatoès de Banks (Calyptorhynchus magnificus), des microglosses (Probosciger aterrimus), des grands eclectus (Eclectus roratus), des loris arc en ciel (Trichoglossus haematodus), des loris à collier jaune (Lorius chlorocercus), des kookaburas à ailes bleues (Dacelo leachii), des diamants à bavette (Poephila cincta), des diamants azuverts (Erythrura tricolor) et des colombes diamants (Geopelia cuneata).
Le sens de visite change et continue vers les okapis

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72), 73) et 74) Ces enclos ne sont plus occupés par les okapis et sont dédiés à d'autres espèces menacées, qui lancent la zone d’élevage.
69) + 70) Ces enclos ne changent pas et gardent leur espèce, l’éléphant d’afrique (Loxodonta africana). Les vivariums du bâtiment accueillent des.
68) La ferme ne change pas mais peut être modifiée en cas de nécessité pour accueillir d’autres espèces menacées.
Le visiteur emprunte une nouvelle passerelle à côté de la mini ferme pour se diriger vers une zone d’extension du parc

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m) Le premier enclos de cette zone Nord Américaine plonge le visiteur dans le désert de l’ouest, et accueille des mouffettes (Mephitis mephitis), à côté d’un petit enclos qui héberge des souris des cactus (Peromyscus eremicus).
o) Face au visiteur, un enclos de 3000m2 accueille des mouflons du désert (Ovis canadensis) et des pécaris à collier (Pecari tajacu), qui partagent leur loge de nuit avec les takins.
p) De l’autre côté du chemin, un enclos de 2000m2 sert lui à reloger décemment les pumas (puma concolor).
q) devant les pumas, un petit enclos permet de déménager les coatis à nez blanc (Nasua narica).
r) le visiteur découvre une volière qui accueille des et des écureuils antilope de Harris (Ammospermophilus harrisii), des merlebleus de l'Ouest (Sialia mexicana), des amazones à joues vertes(Amazona viridigenalis) et des cardinaux rouges (Cardinalis cardinalis), tandis que deux petits vivariums hébergent des monstre de gila (Heloderma suspectum) et des crotales du texas (Crotalus atrox)
s) Le visiteur arrive devant un grand enclos, qui permet de reloger les ours bruns (Ursus arctos) sur 6000m2. Ceux ci partagent leur enclos avec des loups du mackenzie (Canis lupus occidentalis) et leur bâtiment avec les pumas. Il démarre ainsi la sous zone canadienne.
t) Face aux ours, une volière accueille des pygargues à tête blanche (Halieetus leucocephalus) et harfangs des neiges (Nyctea scandiaca).
u) Un enclos héberge quant à lui les ratons laveurs (Procyon lotor), qui cohabitent avec des oursons coqueau (Erethizon dorsata).
64) Le plus grand enclos de cette zone correspond à l’ancien des dromadaires et watusis (partis), agrandi sur le chemin de visite, et est occupé par des bisons des forêts (Bison bison athabascae) et des caribous des bois (Rangifer tarandus caribou).
91) Une volière héberge des chouettes lapones (Strix nebulosa).
90) L’enclos des macaques ouanderou a été remplacé par un point de restauration et des WC, et le petit bois derrière la volière accueille une aire de jeux pour enfants.

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65) Le visiteur démarre la zone asiatique, plus précisément sur les hauteurs de chine, par la volière présentant des pygargues de Steller (Haliaeetus pelagicus).
66) Cet enclos ne change pas et garde les takins du Sichuan (Budorcas taxicolor).
67) Cet enclos ne change pas et garde les panthère des neiges (Uncia uncia).
62) + 63) Ces enclos ne changent pas et gardent les pandas (Ailuropoda melanoleuca).
61) Cet enclos ne change pas et garde les petits pandas (Ailurus
fulgens) et les muntjacs de Chine (Muntiacus reevesi).
60) cet enclos ne change pas et garde les chats pêcheurs (Prionailurus viverrinus) mais démarre la sous zone indienne.
59) Les langurs hanuman laissent place à des rossignols du Japon (Leiothrix lutea), des merles à poitrine noire (Turdus dissimilis) et des étourneaux à tête grise (Sturnus malabaricus).
58) Le départ des tapirs et autres espèces permet d’accueillir ici, après sécurisation de l’espace, une troupe de dhôles (Cuon alpinus).
57) La plaine asiatique ne change pas et garde les rhinocéros indiens (Rhinoceros unicornis), nilgauts (Boselaphus tragocamelus), antilopes cervicapres (Antilope cervicapra), cerfs axis (Axis axis), oies à tête barrée (Anser indicus), des grues demoiselles (Anthropoides virgo) et grues antigones (Grus antigone).
56) La maison des rhinocéros ne change pas
55) et 54) La serre est totalement revue en serre indienne et celle ci est totalement végétalisée. deux premier enclos accueillent des gavials du gange (Gavialis gangeticus), une enclos est lui occupé par des pangolins chinois (Manis pentadactyla), un nocturama héberge des loris lents (Nycticebus coucang). En liberté dans la serre, on pourra observer les langurs hanuman (Semnopithecus entellus), des verdins de Hardwick (Chloropsis hardwickii), des martins chasseurs à collier blanc (Todiramphus chloris), des irénés fées (Irena puella), des colombines turverts (Chalcophaps indica), pigeons de Nicobar (Caloenas nicobarica), des étourneaux des pagodes (Sturnia pagodarum), des martins tristes (Acridotheres tristis) et des verdins à front d’or (Chloropsis aurifrons)
53) Cet volière, vidée des ses occupants, sert désormais de vestige. L’enclos extérieur des koalas est modifié en espace pédagogique.
51) et 52) Les panthères nébuleuses (Neofelis nebulosa) bénéficient maintenant de l’enclos des langurs de Java en plus du leur.
50) L’enclos des kangourous roux héberge désormais les carfs cochons (Axis porcinus porcinus).
43), 44), 47) et 48) La serre des grands singes est totalement remaniée pour se consacrer à l’Asie du Sud Est. Le vivarium est lui aussi supprimé et les espèces sont intégrées dans les nouveaux espaces, ou quittent le parc (alligators notamment). Avant de rentrer, le visiteur découvre sur sa gauche un premier enclos dédié aux dragons de komodos (Varanus komodoensis), à l’emplacement de l’ancienne île des orang outans. Une fois dans la serre, une première volière en forme de L se trouve face au visiteur et à la place du vivarium. Sur 500m2, elle constitue la loge de nuit des orangs outans (Pongo pygmaeus). Une autre se trouve en coulisse à côté de loges individuelles. De l’autre côté du chemin se trouve l’enclos des varans de komodo. Il continue sa visite au coeur de la végétation et découvre plusieurs vivariums où vivent des reptiles et amphibiens. Un enclos accueille des chevrotains malais (Tragulus javanicus). En liberté volent plusieurs oiseaux parmis lesquels des cacatoès des Philippines (Cacatua haematuropygia), des cacatoès à huppe orange (Cacatua sulphurea citrinocristata), des carpophages d'Albertisi (Gymnophaps albertisi), des dendrocygnes de Java (Dendrocygna javanica), des ptilopes turgris (Ptilinopus melanospila), des paddas de Java (Padda oryzivora), des roulrouls couronnées (Rollulus roulroul), des étourneaux de Bali (Leucopsar rotschildi), des loriquets papous(Chamosyna papou stellae), des carpophages d'Albertisi (Gymnophaps albertisi), des gallicolombes poignardées (Gallicolumba luzonica),, des loris écarlates (Eos bornea), des loris flamméches (Chalcopsitta sintillata), des gouras couronnés (Goura cristata), des garrulax à joues blanches (Garrulax chinensis), des garrulax à queue rouge (Garrulax milnei), des stournes bronzés (Aplonis panayensis), des étourneau mandarin (Sturnia sinensis), des perroquets de Pesquet (Psittrichas fulgidus) et des étourneaux resplendissants (Aplonis payanensis). Trois volière au fond accueillent des calaos rhinocéros (Buceros rhinoceros sylvestris), des cacatoès des Molluques (Cacatua moluccensis) et des loriquets jolis (Charmosyna placentis), et des gouras de Victoria (Goura victoria), et qui ont accès aux anciens enclos des petits singes sud américains.
45) Le départ des chimpanzés libère l’enclos, qui nécessite quelques aménagements. L’enclos est agrandi sur le chemin entre l’île et la route, qui n’existe plus et où un mur empêche les évasions. Le chemin à droite de l’île est lui aussi supprimé et remplacé par un cour d’eau mitoyen avec l’ancienne île des gorilles, remplacent donc celui des orangs et celui des gorilles. Enfin, l’île est est énormément enrichie de troncs d’arbres, lianes, faux arbre (comme au Bronx) et beaucoup de végétation basse et à pousse rapide (bambou). Cette nouvelle île héberge désormais les orang outans, tapir malais (Tapirus indicus), loutres naines (Aonyx cinerea) et gibbon (remplacé à sa mort par des gibbons agile (Hylobates agilis)).
46) Le départ des gorilles signe l’assèchement du cours d’eau. Une clôture est posée sur le tour de l’enclos, agrandi sur une partie de l’enclos 79 (carré entre les pré parcs et l’île), des piquets sont plantés dans le cours d’eau le séparant de l’île des orang outans (cf les enclos des carnivores africains de pairi daiza) et la végétation est enrichie. La passerelle des gorilles est conservée mais une mare située à ses pieds empêche les tigres de sumatra (Panthera tigris sumatrae) vivant sur cet enclos de 3500 m2 de monter.
75) Le départ des singes vivants sur ces îles permet l’emménagement du groupe de langurs de Java sur les deux de droite, et du groupe de cercopithèques de Brazza (Cercopithecus
neglectus) (qui clôturent la zone africaine) sur les deux de gauches.
77) Cet enclos est vidé de ses occupants, agrandi sur les chemin visiteur (supprimé) entre les cloches et l’enclos, coupé en deux après le plan d’eau qui est d’ailleur rétréci. Ici vivent désormais un couple de babiroussas (Babyrousa babyrussa celebensis) et, si la cohabitation ne pose pas problème, des anoas des plaines (Bubalus depressicornis).

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31) Les volières en cloches sont toutes détruites, ainsi que leur bâtiment. Le chemin entre le snack et la première volière est élargi sur celle ci et aménagé en pente douce. La nouvelle plate bande permet l'agrandissement de l’enclos 77 d’un côté, et du chemin de visite de l’autre. Au centre, quelques vivariums de plein air accueille des espèces européennes, marquant ainsi le début de la zone européenne et plus précisément Alpine.
25) Le départ des tigres permet l’arrivée de lynx boréaux (Lynx lynx).
26), 27), 30) et 32) L’ensemble de ces cages obsolètes sont détruites, ainsi que leurs bâtiments, ce qui laisse place à une grande volière accueillant des vautours fauves (Gyps fulvus), des vautours de l'Himalaya (Gyps himalayensis), des marmottes des alpes (Marmota marmota) et des écureuils roux (Sciurus vulgaris).
78) une passerelle est créée depuis la nouvelle volière, passant au dessus des anciennes cloches, de la seconde partie de l’enclos 77 aménagée pour de visons d’europe (Mustela lutreola), pour relier la passerelle faisant le tour de cet enclos. Celui ci est désormais repeuplé par des castors (Castor fiber), qui démarrent avec les visons la sous zone occidentale.
79) Dans la même sous zone, un petit groupe de cerfs élaphe (Cervus elaphus) et de chevreuils (Capreolus capreolus) peuplent désormais cet enclos, en compagnie de cigognes blanches (Ciconia ciconia). Celui ci est d’ailleur surmonté par une seconde passerelle, dans le prolongement de la première et le long du ruisseau, et qui rejoint celle surmontant l’enclos 81.
80) Ce stand garde sa fonction. Un bâtiment est créé à l’arrière pour les tapirs.
81) Cet enclos est séparé au niveau de la haie centrale. Le premier accueille des élans d’europe (Alces alces), tandis que le second accueille des gloutons (Gulo gulo gulo). La séparation pourrait être levée pour tenter une cohabitation. Il représente avec le prochain la sous zone scandinave.
82) L’enclos des fourmiliers accueille désormais des martres des pins (Martes martes).

Voila pour ma présentation, merci d’avoir lu. Ce masterplan a pour but d’être plus ou moins réalisable, sans trop modifier la structure actuelle (notamment une partie des volières auxquelles semble tenir Mme Delord). Si vous avez des remarques et suggestions, n’hésitez pas !
Macan
 
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Messagepar zoobeauval25 » Mercredi 05 Juillet 2017 17:58

Macan a écrit:
Voila pour ma présentation, merci d’avoir lu. Ce masterplan a pour but d’être plus ou moins réalisable, sans trop modifier la structure actuelle (notamment une partie des volières auxquelles semble tenir Mme Delord). Si vous avez des remarques et suggestions, n’hésitez pas !


Désolé, mais là, tu as changé quasiment tout ce que veut garder Mme Delord ! :mrgreen:

Je dis (quand même) bravo, bien que je ne suis pas du tout d'accord avec ce masterplan (désolé :wink: ): mais il est tout de même très intéressants, avec de belles idées...

Plusieurs choses sont irréalisables, et pas du tout écologiques:

Déjà: Les hyènes sont déjà séparés. Ensuite, la "hyène solitaire" (Babrak), ne l'est pas: elle est accompagnée d'un mâle.
Ensuite, dans toute la zone des grands singes, tu n'as pas du tout pris compte des grands arbres ? Idem dans tout le parc ! Ce serait tout de même dommage de couper ces beaux saules pleureurs...
Les lamantins perdraient énormément au change, si ils déménageaient dans la serre des oiseaux, et surtout dans un bassin de seulement 300m2, sachant que leur bassin actuel fait 400m2, et qu'ils sont 6 (il me semble). Mieux vaut respecter le projet de Beauval de les déménager dans un espace beaucoup plus grand.
Les nyalas devaient être en cohabitation avec les hippopotames auparavant, mais cela n'a pas marché...
Je trouves dommage de loger des guépards du Soudan dans un enclos forestier...
Tu ne peux pas te permettre de mettre autant d'espèces dans la serre des oiseaux, car celle-ci est bien trop petite (entre 1500 et 2000m2)
Pour le décès des lions blancs, tu va encore attendre longtemps, et pareil: que devient ta "hyène solitaire", si tu investit son enclos ?
La cohabitation herbivores et géladas, je ne penses pas qu'elle marche...
L'enclos des jaguars n'est pas du tout adapté pour accueillir des fossas: le risque d'évasion serait trop grand.
"des okapis dans des conditions enfin adaptés" !!!! excuse moi, mais l'enclos actuel a quand même été créé par des professionnels, qui ont réfléchis l'enclos pour créer un véritable centre de reproduction, donc, non. Cet enclos est adapté, bien qu'il ne soit pas forestier.
Ensuite, je veux bien que ce soit très utile de séparer le dôme en deux, mais c'est vraiment dommage.
Les watussis sont deux vieilles femelles, bien trop vieilles pour partir... Elles ne sortent d'ailleurs plus de leurs préparcs...
tu la met où la maison des dholes ?
La serre australasienne ne fait que 600m2, bien trop petite pour toutes ces espèces...
Pauvres martres des pins...
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Re: Créations

Messagepar Therabu » Mercredi 05 Juillet 2017 18:19

Il faut aussi revoir toute les cohabitations entre tamarins et oiseaux a mon avis. Je sais que certains parc le font mais les oeufs doivent pas arriver a maturité.
Pourquoi des noms aux sous zones? En vrac le Pantanal commence avec les capucins a poitrine jaune, l'Afrique du sud avec des petits koudous...
Je trouve que cet immense jeu de chaises musicales n'a guère d'intérêt.
Therabu
 
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