Créations

[zoobeauval25]

Merci beaucoup !

[zoobeauval25]

Est-ce qu'il y a des saimiris au Pantanal ?

[okapi]

Une zone comme celle-ci pose quand même la question de la reconstitution, du sens et de la crédibilité: si définir une zone géographique, c'est aligner quelques espèces concernées dans des enclos variés, liés uniquement par un panneau d'entrée, c'est mince. Le Pantanal, c'est beaucoup de zones très humides... Transformer la plaine en un immense marécage, voilà qui serait sexy, mais je ne sais pas pourquoi, j'y crois moyen...

[Vinch]

Est-ce qu'il y a des saimiris au Pantanal ?

Je te suggère d'y aller faire un tour pour voir s'il y en a, au lieu de ne pas nous croire, ou de te procurer et de lire ce bouquin, très intéressant.

[Simon38]

Je trouve surtout assez dommage d'aménager avec faux rochers et éléments artificiels lourds l'ancienne plaine des tapirs. Surtout que les manchots n'ont pas la plus mauvaise des installations. La plaine inondée à l'entrée, ça aurait de l'allure mais j’émets aussi des réserves sur cette collection très élargie. Dendrobates, singes amazoniens et paresseux dans une grande prairie inondée...

[zoobeauval25]

Je trouve surtout assez dommage d'aménager avec faux rochers et éléments artificiels lourds l'ancienne plaine des tapirs. Surtout que les manchots n'ont pas la plus mauvaise des installations. La plaine inondée à l'entrée, ça aurait de l'allure mais j’émets aussi des réserves sur cette collection très élargie. Dendrobates, singes amazoniens et paresseux dans une grande prairie inondée...

Après, il y a toujours le moyen d'élargir la collection dans d'autres contextes, en créant par exemple une zone "l'Amérique du sud et l'eau", ou bien "Amazonie: entre l'eau et la forêt"...

[Therabu]

Après, il y a toujours le moyen d'élargir la collection dans d'autres contextes, en créant par exemple une zone "l'Amérique du sud et l'eau", ou bien "Amazonie: entre l'eau et la forêt"...

Tu as raison, il n'y a pas vraiment de règles, mais la cohérence se construit et il faut mettre en évidence "le fil rouge".

[zoobeauval25]

j'ai vu qu'il y avait des toucans au Pantanal, j'aimerai savoir quels espèces ?

[Vinch]

j'ai vu qu'il y avait des toucans au Pantanal, j'aimerai savoir quels espèces ?

Une recherche rapide ( et pas compliquée) sur Google permet de voir que les principales espèces de toucans rencontrées dans le Pantanal sont Ramphastos toco et Pteroglossus castanotis.

[zoobeauval25]

Merci ! C'est tout pour les demandes !

[zoobeauval25]

As-tu sollicité l'autorisation de l'agence qui a conçu le projet initial de Vincennes? Le minimum serait peut-être de mentionner les crédits lorsque tu recycle des images concept, non?

Pardon pour le retard, mes images d'art du PZP viennent de TN+...

[lagirafedu25]

Bonjour, je rouvre ce post pour vous faire part d'une idée de réaménagement de Touroparc.
Je vous ai mis le plan de 2017 pour vous référer à lui durant mes explications.
Pour ces réaménagements, les espèces qui devront partir seront les 2 éléphants d'Asie, l'ours malais, l'orang-outan, les flamants du Chili, les lycaons ainsi que le petit groupe de zèbres de Chapman.

Pour commencer, les enclos des chameaux, zèbres de Grévy et chèvres naines/cochons vietnamiens sont tous reliés et réaménagés ensemble pour former une plaine africaine. Le bâtiment en faux rocher des chameaux est détruit et un tout neuf y est construit. Cette plaine accueille donc le groupe de girafes de Kordofan, les zèbres de Grévy (plus logique qu'avec les Chapman), les potamochères, des oies d'Egypte ainsi que de nouvelles espèces : pintades vulturines et oryx algazelle.

Les antilopes cervicapre déménagent sur la plaine asiatique (à suivre), leur enclos est donc alloué aux vigognes, nandous américains et un groupe de maras issus de la plaine des tapirs. L'ancien enclos des sangliers des Visayas, lui est réaménagé pour accueillir les coatis roux et agrandir le groupe, ainsi que des chiens de buissons (un peu comme à Peaugres). Ces déménagements vise à regrouper les animaux d'Amérique latine.

Les lémurs macaco déménagent sur les îles à lémuriens vers l'entrée du parc et les flamants du Chili sont remplacés par des flamants roses communs, ces derniers sont mis sous volière et sont rejoins par des oiseaux déjà présentés sur le parc (gris du Gabon,
grues couronnées et ibis sacrés) ainsi que des nouveaux (dendrocygne voeuf, canard à bosse...)

Suite au départ de l'ours malais et le déménagement des coatis, les enclos sont reliés et les servals sont transférés ici.

Suite au départ des lycaons et des servals, les 2 enclos vides permettent d'agrandir ceux des lions et tigres blancs. L'enclos des servals profitent aux tigres blancs mais peut permettre d'isoler les individus, un bassin y est creusé. L'enclos des lycaons lui est totalement relié à celui des lions et permet l'accueil d'une nouvelle femelle.

L'enclos des émeus, pademelons et wallabys est ouvert sur le bassin des cygnes noirs permettant la création d'une jolie plaine australienne. Les oies céréopse y sont ajoutées pour profiter du bassin.

Les enclos des éléphants, girafes et rhinocéros (nouvel enclos) sont tous reliés, réaménagés et les bâtiments de ces animaux sont détruits pour en reconstruir un unique, neuf, plus petit mais mieux adapté pour des rhinocéros indiens et petits ruminants.
Cette plaine asiatique sera donc l'habitat du groupe de rhinos indiens, des antilopes cervicapres et de nouveaux animaux (cerfs-cochon, tadorne de Radjah et grues antigone) des zones de replis sont crées pour les petits animaux.

Le premier enclos des rhinos indiens (celui de Fanindra au début) est associé à celui des hippopotames, quelques réaménagements sont faits (ajout de terre et de sables pour éviter les pataugeoires ainsi que zone de replis pour antilopes) mais le bassin reste pour les hippos. Des sitatungas les rejoignent, ils ont accès aux parties enherbées autour du premiers bassin des hippos.

Les îles à aras et la volière des aras sont détruites et une immense volière est érigée sur ces anciennes installations, elle devient l'habitat des cacatoès de la petite volière vers la mini-ferme, accueille également les sangliers de Visayas et de nouveaux oiseaux (éperoniers Napoléon et calao papous).

La petite volière vers la mini-ferme est vidée de ses occupants (également les ouistitis de Geoffroy) et devient le lieu de vie des koukaburras vivant avec les bucorves.

Suite au déménagement des oies céréopse sur la plaine australienne, l'enclos est transformé en volière et les bucorves y sont transférés.

L'enclos des sangliers des Visayas redevient l'enclos des chèvres naines et cochons vietnamiens et celui des potamochères devient l'enclos des chiens de prairies.

La grande volière des bucorves devient la grande volière des aras. Tous les aras qui vivaient sur les îles et dans la volière près des rhinos y sont transférés et ainsi permettre le vol à tous ces oiseaux.

Suite au départ de la dernière femelle orang-outan, son île devient l'agrandissement de celle des chimpanzés, d'ailleurs les 2 îles subissent de lourd travaux afin que le tout soit plus naturel et les agrès plus modernes. Les enclos intérieurs sont également remis à neuf.

Dans le bâtiment intérieur, les ouistitis et le douroucoulis déménagent ailleurs (à suivre). Leurs espaces sont utilisés pour des petits animaux africains : à la place des ouistitis pygmés, des caméléons et à la place des douroucoulis, le retour des damans de Rhodésie avec cette fois tout un groupe.

Suite au départ des chiens de prairie et lémurs macacos, une rénovation importante de l'île puis elle redevient celle des saîmiris avec un grand groupe.

L'île des atèles noirs de Colombie subit aussi un bon lifting.

L'enclos des pandas roux lui aussi subit un bonne rénovation et accueille également des muntjacs et des loutres naines.

Dans la grande serre tropicale, la totalité des oiseaux présentés ne seront désormais plus que des oiseaux sud-américains (ibis rouges, spatules roses, agamis trompette, conures soleil etc..) et les petits primates y sont relogés et vivent en liberté (ouistitis pygmé et de Geoffroy, douroucoulis).

Enfin, l'enclos laissé vide suite au départ des nandous et des vigognes devient celui du couple de chameaux. L'enclos est légèrement réaménagé avec l'ajout de troncs et de rochers et un nouveau bâtiment tout neuf leur est construit. Un petit groupe de yack s'y installe également.

Voilà pour la fin de ce projet qui vous aura peut-être séduit étant donné le nombre important d'installations peu adaptées aux animaux dans ce parc.

[Simon38]

Merci pour ce projet ! Finalement tu proposes un turn-over important sur pratiquement toutes les installations du parc et ça met à jour le peu d'enclos adaptés et la nécessité de repenser absolument tout... Justement, c'est dommage de se cantonner aux espèces déjà présentes plutôt que de revoir en profondeur la collection. On pourrait facilement virer les espèces domestiques mais surtout les tigres blancs une fois les individus présents paisiblement endormis pour toujours. Le site n'est pas non plus immense et je ne pense pas qu’il soit raisonnable d'entasser autant de grands herbivores. Après rapide coup d’œil sur le site internet, il semble que touroparc soit actif ex-situ principalement en Asie du Sud-est, Niger, Brésil et Madagascar. Ça serait très sympa d'orienter la visite sur ces quatre axes, dotant que chacun possède quelques espèces phares, un fort potentiel pédagogique et laissent à voir, ensemble, l'idée d'un zoo-monde. Après il y a une inconnue importante dans l'équation. Contrairement au Pal, l'espace attraction semble bien plus imbriqué dans l'espace zoologique et ça laisse à voir une philosophie bien plus axée sur le markeeting et l'animal pour le décor qu'un zoo en espace scientifique. Qu'à cela tienne, voici une version :



Espace Africain : principalement axé sur les zones semi-arides du Sahel et de Madagascar. L’on y retrouve différentes espèces pour lesquelles le parc s’implique dans la conservation : félins du Niger, girafe du Niger, lémuriens et calaos terrestres. Le modèle de base est la savane africaine de Lyon à savoir que les différents biomes sont imbriqués les uns aux autres de manière à apporter une continuité paysagère et une impression d’écosystème global.

1-Vaste enclos pour herbivores d’environ 1 hectare : phacochères, zèbres, girafes et autres espèces selon l’espace disponible. L’on observe les animaux depuis l’esplanade d’entrée derrière un fossé sec et un chemin surélevé ou en longeant le point d’eau depuis une passerelle.
2-Iles à lémuriens conservées et densément végétalisées : espèces variables avec une préférence pour le grand hapalémur et les espèces des forêts humides.
3-Bâtiment des herbivores et des lions : les loges sont grandes, hautes sous plafond et lumineuses ainsi qu’aménagées paysagèrement avec rochers et végétation. Les espaces libres sont peuplés par une myriade de petites espèces : rat taupe, python, lézard, galago du Sénégal, etc… Le volume du bâtiment permet le vol libre de quelques espèces interagissant avec les herbivores : pique-bœufs, tisserins, guêpiers, hérons garde-bœuf, etc.
4-Savane à hautes herbes des lions avec marigot, kopjes et buttes. Cet espace peut accueillir, au choix, une troupe africaine et être intégré à la zone sahélienne, ou bien un couple asiatique et s’imbriquer dans la zone indienne derrière.
5-Grande volière pénétrante recréant un delta et un milieu semi-ouvert : flamants, jabirus, marabouts, ibis, bucorves, etc.
6-Plaine herbeuse pour une troupe de lycaons.

Zone asiatique : divisée en deux grands ensembles orientés autour de deux espèces rares déjà présentes au zoo et qu’il serait dommage de ne pas mettre davantage en valeur : le rhinocéros unicorne, pour le complexe indien, et l’ours malais, pour l’Asie du Sud-Est.

7-Grande plaine indienne pour un couple de rhinocéros unicornes, pouvant être séparés, cerfs du Duvaucel, antilopes cervicapres et muntjacs indiens. Les canaux sont habités par une famille de loutres à pelage lisse et une île permet l’isolement d’une troupe de macaques ouandérous qui peuvent cohabiter avec les herbivores.
8-Espace marécageux d’un couple de tigres. La sous espèce est à déterminée mais les tigres blancs sont bannis au profit d’individus à l’intérêt conservatoire infiniment supérieur. Grâce à des buttes les prédateurs peuvent observer les herbivores en face.
9-Volière tropicale densément végétalisée abritant un melting-pot d’espèces des îles de l’Asie du Sud-est. La cohérence géographique est volontairement écartée au profit d’une large gamme d’espèces et d’un appareil pédagogique identifiant chaque île et sa faune spécifique. Nouvelle Guinée : électus, méliphages à oreillons bleus et pademelons, Philippines : éperonniers et calaos tarictis, Indonésie : Irène vierges, brèves, tchitrecs, nicobars, pltilopes, etc.
10-Pavillon asiatique, produit de la fusion du vivarium et d’un nouveau bâtiment. Les rhinos y sont hébergés l’hiver dans des conditions exemplaires tandis que l’espace en vol libre et la végétation accueille une multitude d’oiseaux tropicaux. Des vivariums hébergent quant à eux faux-gavials malais, varans de Komodo, pythons, tortues d’eau-douce, etc.
11-Espace des orangs-outans. Un couple vit dans une installation sans filet, encadrée entre quatre palissades de bois et un fossé d’eau. Le dénivelé, qui laisse le visiteur en contrebas, les bosquets denses et les structures d’escalades offrent un grand nombre d’évolutions aux grands singes qui possèdent aussi leurs loges végétalisées et tout en hauteur dans le pavillon conjoint.
12-Enclos des ours malais. Un couple bénéficie d’un espace vallonné et massivement planté. Une tour d’observation en bois permet d’observer les ursidés et leurs voisins primates à hauteur de canopée.

Zone sud-américaine : la plus petite des trois qui s’axe autour des projets menés au Brésil pour la conservation du tapir terrestre et du grand tatou.

13-Espace de contact avec un groupe de saïmiris/hurleurs/capucins selon l’orientation thématique de la zone.
14-Espace des tapirs terrestres et tamanoirs : boisé ou marécageux selon la thématique : les forêts primaires d’Amazonie ou le Pantanal.
15- ??(si vous avez des idées je suis preneur parce que je ne sais pas quoi faire de cet espace)
16-Grande serre amazonienne : la très grande hauteur et la végétation tropicale exubérante permettent un circuit sur trois niveaux : sol, canopée et cimes afin d’observer les dizaines d’espèces d’oiseaux, mammifères, reptiles et amphibiens de la structure. Parmi les plus imminents locataires de la serre : paresseux, oustitis, douroucoulis, savacous, caurales, aras, agamis, etc.

Les trois ensembles sont extrêmement travaillés paysagèrement : flore locale et exotique sont associées, l’enrochement est utilisé lorsque nécessaire et les ambiances travaillées de manière à créer contraste et complémentarité entre les trois zones.

Voilà ! J'ai fait ça vite fait par amusement et envie de jouer mais mes souvenirs de ce parc demeurent assez flous...

[zoobeauval25]

Bonjour, je rouvre ce post pour vous faire part d'une idée de réaménagement de Touroparc.
Je vous ai mis le plan de 2017 pour vous référer à lui durant mes explications.
Pour ces réaménagements, les espèces qui devront partir seront les 2 éléphants d'Asie, l'ours malais, l'orang-outan, les flamants du Chili, les lycaons ainsi que le petit groupe de zèbres de Chapman.

Pour commencer, les enclos des chameaux, zèbres de Grévy et chèvres naines/cochons vietnamiens sont tous reliés et réaménagés ensemble pour former une plaine africaine. Le bâtiment en faux rocher des chameaux est détruit et un tout neuf y est construit. Cette plaine accueille donc le groupe de girafes de Kordofan, les zèbres de Grévy (plus logique qu'avec les Chapman), les potamochères, des oies d'Egypte ainsi que de nouvelles espèces : pintades vulturines et oryx algazelle.

Les antilopes cervicapre déménagent sur la plaine asiatique (à suivre), leur enclos est donc alloué aux vigognes, nandous américains et un groupe de maras issus de la plaine des tapirs. L'ancien enclos des sangliers des Visayas, lui est réaménagé pour accueillir les coatis roux et agrandir le groupe, ainsi que des chiens de buissons (un peu comme à Peaugres). Ces déménagements vise à regrouper les animaux d'Amérique latine.

Les lémurs macaco déménagent sur les îles à lémuriens vers l'entrée du parc et les flamants du Chili sont remplacés par des flamants roses communs, ces derniers sont mis sous volière et sont rejoins par des oiseaux déjà présentés sur le parc (gris du Gabon,
grues couronnées et ibis sacrés) ainsi que des nouveaux (dendrocygne voeuf, canard à bosse...)

Suite au départ de l'ours malais et le déménagement des coatis, les enclos sont reliés et les servals sont transférés ici.

Suite au départ des lycaons et des servals, les 2 enclos vides permettent d'agrandir ceux des lions et tigres blancs. L'enclos des servals profitent aux tigres blancs mais peut permettre d'isoler les individus, un bassin y est creusé. L'enclos des lycaons lui est totalement relié à celui des lions et permet l'accueil d'une nouvelle femelle.

L'enclos des émeus, pademelons et wallabys est ouvert sur le bassin des cygnes noirs permettant la création d'une jolie plaine australienne. Les oies céréopse y sont ajoutées pour profiter du bassin.

Les enclos des éléphants, girafes et rhinocéros (nouvel enclos) sont tous reliés, réaménagés et les bâtiments de ces animaux sont détruits pour en reconstruir un unique, neuf, plus petit mais mieux adapté pour des rhinocéros indiens et petits ruminants.
Cette plaine asiatique sera donc l'habitat du groupe de rhinos indiens, des antilopes cervicapres et de nouveaux animaux (cerfs-cochon, tadorne de Radjah et grues antigone) des zones de replis sont crées pour les petits animaux.

Le premier enclos des rhinos indiens (celui de Fanindra au début) est associé à celui des hippopotames, quelques réaménagements sont faits (ajout de terre et de sables pour éviter les pataugeoires ainsi que zone de replis pour antilopes) mais le bassin reste pour les hippos. Des sitatungas les rejoignent, ils ont accès aux parties enherbées autour du premiers bassin des hippos.

Les îles à aras et la volière des aras sont détruites et une immense volière est érigée sur ces anciennes installations, elle devient l'habitat des cacatoès de la petite volière vers la mini-ferme, accueille également les sangliers de Visayas et de nouveaux oiseaux (éperoniers Napoléon et calao papous).

La petite volière vers la mini-ferme est vidée de ses occupants (également les ouistitis de Geoffroy) et devient le lieu de vie des koukaburras vivant avec les bucorves.

Suite au déménagement des oies céréopse sur la plaine australienne, l'enclos est transformé en volière et les bucorves y sont transférés.

L'enclos des sangliers des Visayas redevient l'enclos des chèvres naines et cochons vietnamiens et celui des potamochères devient l'enclos des chiens de prairies.

La grande volière des bucorves devient la grande volière des aras. Tous les aras qui vivaient sur les îles et dans la volière près des rhinos y sont transférés et ainsi permettre le vol à tous ces oiseaux.

Suite au départ de la dernière femelle orang-outan, son île devient l'agrandissement de celle des chimpanzés, d'ailleurs les 2 îles subissent de lourd travaux afin que le tout soit plus naturel et les agrès plus modernes. Les enclos intérieurs sont également remis à neuf.

Dans le bâtiment intérieur, les ouistitis et le douroucoulis déménagent ailleurs (à suivre). Leurs espaces sont utilisés pour des petits animaux africains : à la place des ouistitis pygmés, des caméléons et à la place des douroucoulis, le retour des damans de Rhodésie avec cette fois tout un groupe.

Suite au départ des chiens de prairie et lémurs macacos, une rénovation importante de l'île puis elle redevient celle des saîmiris avec un grand groupe.

L'île des atèles noirs de Colombie subit aussi un bon lifting.

L'enclos des pandas roux lui aussi subit un bonne rénovation et accueille également des muntjacs et des loutres naines.

Dans la grande serre tropicale, la totalité des oiseaux présentés ne seront désormais plus que des oiseaux sud-américains (ibis rouges, spatules roses, agamis trompette, conures soleil etc..) et les petits primates y sont relogés et vivent en liberté (ouistitis pygmé et de Geoffroy, douroucoulis).

Enfin, l'enclos laissé vide suite au départ des nandous et des vigognes devient celui du couple de chameaux. L'enclos est légèrement réaménagé avec l'ajout de troncs et de rochers et un nouveau bâtiment tout neuf leur est construit. Un petit groupe de yack s'y installe également.

Voilà pour la fin de ce projet qui vous aura peut-être séduit étant donné le nombre important d'installations peu adaptées aux animaux dans ce parc.

Déjà, le mot que mérite toute création: Bravo !

Ensuite:

La serre amazonienne, c'est une bonne idée, mais j'y aurais aussi mis les tatous et des paresseux, je trouve que c'estt une espèce qui irait parfaitement bien à l'intérieur.

l'orang outan, tu ne peux pas le déménager dans l'immédiat, car il est trop vieux, ce serait un gros risque... Mais bon, c'est de l'imagination tout ça !

Les sitatungas en cohabitation avec les hippopotames, j'ai un peu peur pour les sitatungas... De plus, je penses que des hippopotames pygmées conviendraient bien mieux au parc, même si la surface est agrandie... Toutefois, je trouve tes idées très bonnes en ce qui concerne le réaménagement de l'enclos !

Il faudrait aussi prévoir un enclos pour le mâle rhinocéros, qui doit être isolé du reste du groupe...

J'aime bien ta plaine australienne !

Par contre: que devient le vivarium ?

Quand à ta nouvelle zone sud-américaine, elle est bien, mais je vois un défaut ( ): les coatis. N'agrandis pas le groupe, et même, n'en présente plus, car c'est une espèce plus trop aimée de l'EAZA (voir plus haut) ( )...
Et tu n'as pas gardé les tapirs terrestres ?

Les Yaks tout seuls, je trouve que c'est dommage...

Et je ne penses pas que de garder des tigres blancs soient très judicieux... Tu pourrais accueillir des tigres de Sumatra en surplus dans les parcs européens, ou des tigres de Tonga ?!

Les potamochères dans la plaine africaine... Là aussi, j'ai un doute sur la cohabitation, de plus, il faut que les potamochères puissent fouiller...

Voilà ! Mais bravo pour tes idées !

Simon38: pour le n 15, pourquoi pas des jaguars ou des pumas ? ou des loups à crinière ?

[lagirafedu25]

Simon38 c'est un sacré beau projet que tu présentes là ! Mais je pense que pour un petit parc comme le touroparc il faut plutôt s'orienter vers de simples réaménagements d'enclos et des déménagements de certaines espèces. Ton projet est bien pensé et ambitieux mais justement peut-être un peu trop car il faudrait vraiment tout raser et refaire le parc de A à Z.

zoobeauval25 :
-pour les tatous je préfère les voir à l'extérieur donc il resterait dans leur enclos de base. En parc je trouve que c'est une espèce qui ne sort pas très souvent.

-je ne sais pas quelle âge a la femelle orang-outan mais bon on peut très bien attendre son décès, ou alors je l'aurais bien imaginé aller à Pairi aiza pour remplacer la femelle d'Heidelberg décédée avant son départ.

-pour les sitatungas je pense qu'il n'y a pas trop de danger, les hippopotames du Touroparc sont 2 femelles donc moins territoriales que des mâles. De plus à la Teste il existe une cohabitation hippo et grand koudou, et n'oublions pas que les sitatungas auront une zone de replis !

-pour le rhino mâle on peut imaginer le laisser sur l'enclos des éléphants qui bénéficie d'un bassin et laisser les femelles sur le nouvel enclos et celui des girafes.

-le vivarium reste tel quel.

-par contre pour les coatis j'ai pas compris... C'est une espèce trop représentée je pense non ? On peut les remplacer par des coatis à nez blanc au pire.

-les tapirs reste sur leur enclos avec les capybaras et maras, on pourrait même y ajouter des kamichis à collier et avec les vigognes des oies de Magellan.

-les yacks seront avec les chameaux comme je l'ai dit tu as dû mal lire.

-oui on attend le décès des tigres blancs parce que c'est quand même une espèce qui marche bien et on les remplace plus tard par des tigres de Tonga.

-pour les potamochères, ça va se faire au parc animalier d'Auvergne avec un bachelor de girafes, des zèbres de Hartmann et divers antilopes donc pas impossible comme cohabitation, sinon on leur fait un petit enclos à part qui paraîtra intégrer à la plaine. Mais c'est une cohabitation qui ne se fait pas beaucoup donc c'est original.