Parc animalier et botanique de Branféré
Branféré
56190 Le Guerno
FRANCE
Informations pratiques pour le bon déroulement d'une visite :
Horaires d'ouverture :
Du 6 février au 2 avril : 13 h 30. - 16 heures
Du 3 avril au 2 juillet : 10 h. - 17 heures (17h30 le week-end)
Du 3 juillet au 1er septembre : 10 h. - 18 heures
Du 2 juillet au 3 octobre : 10 h. - 17 heures
Du 4 octobre au 3 novembre : 10 h. – 16 heures
Le Parc de Branféré est ouvert tous les jours du 6 février au 3 novembre !
Tarifs d'entrée :
Adultes : 16 €
Enfants (de 4 à 12 ans inclus) : 11 €
Jeunes de 13 à 17 ans, étudiants, familles nombreuses, demandeurs d’emploi… : 14 € 50
Restauration :
Le Parc animalier et Botanique de Branféré dispose de trois espaces de restauration :
- Restaurant self-service bio accessible aux visiteurs et à la clientèle extérieure (Restauration à base de produits provenant principalement de l'agriculture biologique ou sélectionnés auprès de producteurs locaux ou issus du commerce équitable)
- Snack-Bar du platane centenaire: Sandwichs, boissons, glaces à partir d'avril
- Crêperie de la plaine africaine Sandwichs, boissons, glaces à partir d'avril
Accès\Situation géographique :
Le parc animalier et Botanique de Branféré est accessible en voiture depuis :
Rennes (par Redon) :
Prendre direction Redon, puis la D20 direction Muzillac
Rennes (par la 4 voies) :
Voie rapide direction Vannes, sortie Questembert/Muzillac
A Questembert prendre la direction la Roche Bernard
Nantes :
Voie rapide RN165, sortie Le Guerno, direction Questembert.
Vannes :
Voie rapide RN 165, après Muzillac, sortie Le Guerno
Par train : Gares SNCF à Questembert, Vannes et Rennes.
__________________________________________________________________
Le Parc animalier et botanique de Branféré en chiffres
2000 animaux appartenant à 150 espèces
70 espèces végétales
Superficie : 35 ha
Année d'ouverture : 1965
150 000 visiteurs en 2009
185 tonnes d’aliments distribués chaque année aux animaux
Durée de visite estimée : Environ 5 heures
__________________________________________________________________
Le personnel
Direction : Frédéric Jayot
Chef animalier : Yves Philippot
Chef-fauconnier : Yvan Gilbert
Secrétariat : Géraldine Geffray
Service pédagogie : Geneviève Aubert
Service communication: Jean-Luc Budex
Comptabilité : Claude Rio
Fondation Nicolas Hulot: Florence de Monclin
Fondation de France: Emmanuel Bejanin
_________________________________________________
Animations pédagogiques et nourrissages
Chaque jour, durant la haute-saison, plusieurs animations accompagnées d’un nourrissage sont présentés au public par des soigneurs animaliers. Ils concernent notamment les petits pandas, certains primates et les pélicans frisés.
Un spectacle d’oiseaux, appelé “Les Oiseaux en liberté”, durant le quel interviennent plusieurs espèces de rapaces, perroquets et échassiers, est proposé quotidienemment, et ce jusqu’à 4 fois par jour.
_________________________________________________
Pédagogie :
En plus des traditionnels panneaux informatiques, le parc animalier de Branféré a installé, devant les animaux-phares du parc, comme les pélicans, les chameaux ou les siamangs, des pôles pédagogiques spécialement conçus pour les plus jeunes visiteurs avec des anecdotes, des informations humoristiques et des dessins qui leur sont spécialement dédiés.
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Conservation
Le Parc animalier et botanique de Branféré est membre de l'EAZA (European Association of Zoos and Aquaria) et du SNDPZ (Syndicat National des Directeurs de Parcs zoologiques français).
Ex-situ, il possède :
- 15 espèces en programmes européens d’élevages (EEP) : le maki macac, le maki vari, le saïmiri à tête noire, le tamarin pinché, le loup à crinière, le tapir terrestre, le gibbon à favoris blancs, le panda roux, la grue à cou blanc, le cerf sika du Viêt-Nam, l’oryx algazelle, la girafe « du Niger » et l’hippopotame pygmée.
- 6 espèces en studbook européen (ESB) : le maki catta, le gibbon à mains blanches, le siamang, le damalisque à front blanc, la grue de paradis et le marabout.
In-situ, il participe à la protection du gibbon par le biais de l’association Kalaweit (avec une boîte à dons mise à disposition).
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Historique…ou le rêve de voir les animaux sans barreaux :
Le premier écrit portant le nom de Branféré date de 1427. Après être passé entre les mains de plusieurs propriétaires, le domaine, comprenant un magnifique château et une trentaine d’hectares de jardins paysagers, est acquis en 1884 par un certain Casimir Jourde.
Paul Jourde, son petit-fils, hérite d'une fortune considérable à la mort de son père en 1932 . Il va pouvoir enfin réaliser son rêve le plus cher : voyager.
Dès la fin de l'année 1933, il s'embarque pour l'Inde où il est reçu par le Maharadjah de Kutch, relation de sa mère. Ce dernier lui fait les honneurs de son immense domaine et de ses réserves de chasse dans lesquelles les animaux, protégés, ont cessé de redouter la présence humaine. Paul peut ainsi approcher de très près des bêtes que l'on dit sauvages. Il est alors saisi d'un émerveillement qui déterminera le reste de son existence. Il décide de créer, lui aussi, à Branféré, un espace où les animaux, venus de partout, vivront en liberté, en harmonie avec la nature et l'homme : un véritable paradis terrestre.
De retour en France en 1935, il épouse Elena Castori (qui deviendra Hélène Jourde), aristocrate italienne. Celle-ci est peintre. D'abord essentiellement portraitiste, elle découvre, au cours de ses voyages avec son époux, la magnificence de la flore et de la faune exotique qui deviendront peu à peu la base de son inspiration.
Les voyages s'accumulent et le couple Jourde ne rentre en France qu'en 1948. Paul n'a pas oublié ses projets. Il a noué des relations avec de nombreux directeurs de parcs zoologiques aux quatre coins du globe et veut maintenant se consacrer à la création de son "éden".
Il prend conseil de nombreux spécialistes, en France et à l'étranger, et son expérience commence à intéresser les scientifiques qui trouvent à Branféré, outre un accueil chaleureux, une occasion d'observer des animaux rares en situation de quasi liberté. François de La Grange, animateur de l'émission télévisée "Les animaux du monde", et Konrad Lorenz, célèbre éthologue, deviennent des habitués. De ces voyages, le couple importe des animaux rarement vus en captivité, comme ce toucan, ce tapir ou ce wallaby.
En 1965, encouragés par les autorités, il décide d'ouvrir le parc, véritable paradis où les animaux, plus ou moins connus, vivent en liberté autour d’un château : Les visiteurs se promènent dans un cadre idyllique, et, comme le voulait M. Jourde, après plusieurs minutes de patience, peuvent approcher des wallabys, des maras mais également, peitt à petit, des zèbres, des nilgauts et des watussis en totale liberté : du jamais vu. Le succès est évidemment immédiat. La notion d'écologie commence à émerger, on prend conscience de la nécessité du respect de la nature et de la protection des espèces animales ; le concept de Branféré s'insère tout naturellement dans cette mouvance.
Paul Jourde se résoud à fermer le parc en 1972 suite à un conflit qui s'éternise avec le fisc. Et c'est là que la renommée de Branféré, qui dépasse largement le cadre de la Bretagne et même de la France, se fait sentir. Les courriers affluent de toutes parts, émanant non seulement des scientifiques qui craignent de perdre un terrain d'observation unique en France mais aussi de simples particuliers qui témoignent de l'émerveillement qu'ils ont ressenti au cours de leurs visites. Devant l'ampleur des réactions et la virulence des campagnes de presse, le Ministre des Finances de l'époque trouve une solution très favorable pour Branféré et le parc accueille à nouveau des visiteurs dès la saison suivante. A cette époque, le talent d'Hélène Jourde, comme peintre animalier, se confirme et sa notoriété s'impose peu à peu en Europe et sur le continent américain.
Jusqu'à la fin de leur vie, les époux Jourde sillonnent le monde dans le but d'enrichir toujours leur parc. Ayant renoncé à une descendance, Paul et Hélène ont consacré leur existence à la réalisation d'un rêve. C'est pour assurer la pérennité de leur oeuvre qu'ils décident de léguer le domaine à la Fondation de France. Paul meurt subitement en 1986. Hélène s'éteint à son tour en 1988 mais tous deux survivent dans la réalisation et dans la philosophie de Branféré.
Aujourd'hui, les vastes prairies, petites îles et sous-bois du Parc de Branféré permettent à chacune des 150 espèces de cohabiter pacifiquement et de bénéficier d'un bien-être maximal.
Mais l’action du parc animalier de Branféré ne s’arrête pas à un simple lieu où les animaux sont en liberté :
A la veille de la journée internationale de la biodiversité, Branféré voit l’aboutissement d’un projet d’envergure : l’École Nicolas Hulot pour la Nature et l’Homme.
Pour que les hommes, et plus particulièrement les enfants, puissent devenir des citoyens pleinement responsables et acteurs de leur environnement, il est nécessaire de leur transmettre les clés pour mieux comprendre le monde vivant qui les entoure.
L'École Nicolas Hulot, véritable pierre angulaire du développement du pôle éducatif de Branféré, est un concept unique en France: rassembler en un même lieu un parc animalier et botanique, terrain d’observation et d’émerveillement, et un centre de sensibilisation et d'éducation à l'environnement, dont les outils pédagogiques permettront une meilleure compréhension du monde vivant.
(c) Certaines photos ont été tirées de guides officiels du parc et de son site internet
Branféré
56190 Le Guerno
FRANCE
Informations pratiques pour le bon déroulement d'une visite :
Horaires d'ouverture :
Du 6 février au 2 avril : 13 h 30. - 16 heures
Du 3 avril au 2 juillet : 10 h. - 17 heures (17h30 le week-end)
Du 3 juillet au 1er septembre : 10 h. - 18 heures
Du 2 juillet au 3 octobre : 10 h. - 17 heures
Du 4 octobre au 3 novembre : 10 h. – 16 heures
Le Parc de Branféré est ouvert tous les jours du 6 février au 3 novembre !
Tarifs d'entrée :
Adultes : 16 €
Enfants (de 4 à 12 ans inclus) : 11 €
Jeunes de 13 à 17 ans, étudiants, familles nombreuses, demandeurs d’emploi… : 14 € 50
Restauration :
Le Parc animalier et Botanique de Branféré dispose de trois espaces de restauration :
- Restaurant self-service bio accessible aux visiteurs et à la clientèle extérieure (Restauration à base de produits provenant principalement de l'agriculture biologique ou sélectionnés auprès de producteurs locaux ou issus du commerce équitable)
- Snack-Bar du platane centenaire: Sandwichs, boissons, glaces à partir d'avril
- Crêperie de la plaine africaine Sandwichs, boissons, glaces à partir d'avril
Accès\Situation géographique :
Le parc animalier et Botanique de Branféré est accessible en voiture depuis :
Rennes (par Redon) :
Prendre direction Redon, puis la D20 direction Muzillac
Rennes (par la 4 voies) :
Voie rapide direction Vannes, sortie Questembert/Muzillac
A Questembert prendre la direction la Roche Bernard
Nantes :
Voie rapide RN165, sortie Le Guerno, direction Questembert.
Vannes :
Voie rapide RN 165, après Muzillac, sortie Le Guerno
Par train : Gares SNCF à Questembert, Vannes et Rennes.
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Le Parc animalier et botanique de Branféré en chiffres
2000 animaux appartenant à 150 espèces
70 espèces végétales
Superficie : 35 ha
Année d'ouverture : 1965
150 000 visiteurs en 2009
185 tonnes d’aliments distribués chaque année aux animaux
Durée de visite estimée : Environ 5 heures
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Le personnel
Direction : Frédéric Jayot
Chef animalier : Yves Philippot
Chef-fauconnier : Yvan Gilbert
Secrétariat : Géraldine Geffray
Service pédagogie : Geneviève Aubert
Service communication: Jean-Luc Budex
Comptabilité : Claude Rio
Fondation Nicolas Hulot: Florence de Monclin
Fondation de France: Emmanuel Bejanin
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Animations pédagogiques et nourrissages
Chaque jour, durant la haute-saison, plusieurs animations accompagnées d’un nourrissage sont présentés au public par des soigneurs animaliers. Ils concernent notamment les petits pandas, certains primates et les pélicans frisés.
Un spectacle d’oiseaux, appelé “Les Oiseaux en liberté”, durant le quel interviennent plusieurs espèces de rapaces, perroquets et échassiers, est proposé quotidienemment, et ce jusqu’à 4 fois par jour.
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Pédagogie :
En plus des traditionnels panneaux informatiques, le parc animalier de Branféré a installé, devant les animaux-phares du parc, comme les pélicans, les chameaux ou les siamangs, des pôles pédagogiques spécialement conçus pour les plus jeunes visiteurs avec des anecdotes, des informations humoristiques et des dessins qui leur sont spécialement dédiés.
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Conservation
Le Parc animalier et botanique de Branféré est membre de l'EAZA (European Association of Zoos and Aquaria) et du SNDPZ (Syndicat National des Directeurs de Parcs zoologiques français).
Ex-situ, il possède :
- 15 espèces en programmes européens d’élevages (EEP) : le maki macac, le maki vari, le saïmiri à tête noire, le tamarin pinché, le loup à crinière, le tapir terrestre, le gibbon à favoris blancs, le panda roux, la grue à cou blanc, le cerf sika du Viêt-Nam, l’oryx algazelle, la girafe « du Niger » et l’hippopotame pygmée.
- 6 espèces en studbook européen (ESB) : le maki catta, le gibbon à mains blanches, le siamang, le damalisque à front blanc, la grue de paradis et le marabout.
In-situ, il participe à la protection du gibbon par le biais de l’association Kalaweit (avec une boîte à dons mise à disposition).
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Historique…ou le rêve de voir les animaux sans barreaux :
Le premier écrit portant le nom de Branféré date de 1427. Après être passé entre les mains de plusieurs propriétaires, le domaine, comprenant un magnifique château et une trentaine d’hectares de jardins paysagers, est acquis en 1884 par un certain Casimir Jourde.
Paul Jourde, son petit-fils, hérite d'une fortune considérable à la mort de son père en 1932 . Il va pouvoir enfin réaliser son rêve le plus cher : voyager.
Dès la fin de l'année 1933, il s'embarque pour l'Inde où il est reçu par le Maharadjah de Kutch, relation de sa mère. Ce dernier lui fait les honneurs de son immense domaine et de ses réserves de chasse dans lesquelles les animaux, protégés, ont cessé de redouter la présence humaine. Paul peut ainsi approcher de très près des bêtes que l'on dit sauvages. Il est alors saisi d'un émerveillement qui déterminera le reste de son existence. Il décide de créer, lui aussi, à Branféré, un espace où les animaux, venus de partout, vivront en liberté, en harmonie avec la nature et l'homme : un véritable paradis terrestre.
De retour en France en 1935, il épouse Elena Castori (qui deviendra Hélène Jourde), aristocrate italienne. Celle-ci est peintre. D'abord essentiellement portraitiste, elle découvre, au cours de ses voyages avec son époux, la magnificence de la flore et de la faune exotique qui deviendront peu à peu la base de son inspiration.
Les voyages s'accumulent et le couple Jourde ne rentre en France qu'en 1948. Paul n'a pas oublié ses projets. Il a noué des relations avec de nombreux directeurs de parcs zoologiques aux quatre coins du globe et veut maintenant se consacrer à la création de son "éden".
Il prend conseil de nombreux spécialistes, en France et à l'étranger, et son expérience commence à intéresser les scientifiques qui trouvent à Branféré, outre un accueil chaleureux, une occasion d'observer des animaux rares en situation de quasi liberté. François de La Grange, animateur de l'émission télévisée "Les animaux du monde", et Konrad Lorenz, célèbre éthologue, deviennent des habitués. De ces voyages, le couple importe des animaux rarement vus en captivité, comme ce toucan, ce tapir ou ce wallaby.
En 1965, encouragés par les autorités, il décide d'ouvrir le parc, véritable paradis où les animaux, plus ou moins connus, vivent en liberté autour d’un château : Les visiteurs se promènent dans un cadre idyllique, et, comme le voulait M. Jourde, après plusieurs minutes de patience, peuvent approcher des wallabys, des maras mais également, peitt à petit, des zèbres, des nilgauts et des watussis en totale liberté : du jamais vu. Le succès est évidemment immédiat. La notion d'écologie commence à émerger, on prend conscience de la nécessité du respect de la nature et de la protection des espèces animales ; le concept de Branféré s'insère tout naturellement dans cette mouvance.
Paul Jourde se résoud à fermer le parc en 1972 suite à un conflit qui s'éternise avec le fisc. Et c'est là que la renommée de Branféré, qui dépasse largement le cadre de la Bretagne et même de la France, se fait sentir. Les courriers affluent de toutes parts, émanant non seulement des scientifiques qui craignent de perdre un terrain d'observation unique en France mais aussi de simples particuliers qui témoignent de l'émerveillement qu'ils ont ressenti au cours de leurs visites. Devant l'ampleur des réactions et la virulence des campagnes de presse, le Ministre des Finances de l'époque trouve une solution très favorable pour Branféré et le parc accueille à nouveau des visiteurs dès la saison suivante. A cette époque, le talent d'Hélène Jourde, comme peintre animalier, se confirme et sa notoriété s'impose peu à peu en Europe et sur le continent américain.
Jusqu'à la fin de leur vie, les époux Jourde sillonnent le monde dans le but d'enrichir toujours leur parc. Ayant renoncé à une descendance, Paul et Hélène ont consacré leur existence à la réalisation d'un rêve. C'est pour assurer la pérennité de leur oeuvre qu'ils décident de léguer le domaine à la Fondation de France. Paul meurt subitement en 1986. Hélène s'éteint à son tour en 1988 mais tous deux survivent dans la réalisation et dans la philosophie de Branféré.
Aujourd'hui, les vastes prairies, petites îles et sous-bois du Parc de Branféré permettent à chacune des 150 espèces de cohabiter pacifiquement et de bénéficier d'un bien-être maximal.
Mais l’action du parc animalier de Branféré ne s’arrête pas à un simple lieu où les animaux sont en liberté :
A la veille de la journée internationale de la biodiversité, Branféré voit l’aboutissement d’un projet d’envergure : l’École Nicolas Hulot pour la Nature et l’Homme.
Pour que les hommes, et plus particulièrement les enfants, puissent devenir des citoyens pleinement responsables et acteurs de leur environnement, il est nécessaire de leur transmettre les clés pour mieux comprendre le monde vivant qui les entoure.
L'École Nicolas Hulot, véritable pierre angulaire du développement du pôle éducatif de Branféré, est un concept unique en France: rassembler en un même lieu un parc animalier et botanique, terrain d’observation et d’émerveillement, et un centre de sensibilisation et d'éducation à l'environnement, dont les outils pédagogiques permettront une meilleure compréhension du monde vivant.
(c) Certaines photos ont été tirées de guides officiels du parc et de son site internet