
Une fois l’entrée franchie, le visiteur découvre sur sa droite l’enclos des manchots du Cap. Celui-ci est composé d’un grand bassin et surtout d’une haute berge naturelle, faite de buissons et de cachettes aménagées dans les rochers. Un joli groupe de ces oiseaux l’habite, et lors de leur baignade, la proximité avec le visiteur est importante.



En montant sur l’allée de droite, on arrive devant l’enclos des éléphants asiatiques, situé en contrebas par rapport au visiteur. Bien qu’ancien et de taille restreinte, le parc est assez joli car situé sous le couvert végétal.

Toujours en montant, on débouche dans la zone ancienne du parc, où les enclos des animaux sont en fait organisés en cercle autour d’un grand faux rocher central qui sert de bâtiment. Le premier enclos est celui des hippopotames nains et des céphalophes bleus. Bien que naturel et ombragé, l’enclos est trop petit pour les hippopotames, avec un bassin assez limité.



Sur la droite, le même style d’enclos abrite un groupe de tapirs terrestre, animaux plus adaptés à ce type d’espace. Il est à espérer qu’un de ces jours, les hippos déménageront et céderont ainsi leur espace aux tapirs.

En continuant le tour du cercle dans le sens inverse des aiguilles d’une montre, le visiteur entre dans le bâtiment abritant la maison des orangs-outans. Ici, une famille de ces pongidés partage avec quelques siamangs un petit espace intérieur, de taille très restreinte et à l’aménagement assez sommaire. Cette installation, sans accès extérieur pour les grands singes, est vraiment le point noir du Burger’s zoo.



En retrouvant l’air libre, on découvre sur notre gauche l’enclos contigu à celui des hippos nains : il s’agit d’un enclos sableux de bonne taille, aménagé de troncs morts, abritant une famille de phacochères.


On a donc fini le premier cercle, comprenant donc les enclos des hippos, tapirs, orangs-outans et phacochères.
Un bel enclos naturel, séparé du public par du faux rocher, présente un groupe de suricates :

on attaque alors un deuxième complexe d’enclos en cercle autour d’un bâtiment central en faux rocher. Le premier enclos, prairie basique, héberge 2 rares espèces africaines : les bongos et les céphalophes à dos rouge :


dans le sens inverse des aiguille d’une montre, on remonte alors le cercle. Deux phoques annelés vivent dans un vieux bassin à l’air libre, au style ancien :


une ancienne fosse à tigres de Sumatra a été comblée lors du transfert des fauves vers la nouvelle zone Rimba, et présente maintenant des coatis :
ancien enclos des tigres

enclos des coatis :

le cercle se finit alors et on peut à nouveau voir les bongos :

on arrive alors devant un duo d’enclos de conception récente. L’architecture, notamment l’utilisation des filets autour des arbres pour gagner du volume disponible aux animaux, montre que le Burgers utilise les méthodes de pointe pour leur présentation.

l’enclos de gauche présente de très discrets léopards du Sri Lanka. Leur enclos leur permettant de se soustraire du regard du public, ils se reproduisent régulièrement à Arnhem.

a droite, un enclos moins dense en végétation présente de rares chacals à chabraque :


Dans le prolongement, juste avant d’accéder à la nouvelle zone Rimba, le visiteur découvre sur sa droite un plateau sableux, lieu de vie assez ancien d’une famille de rares rennes de forêt, qui se reproduisent :



Il est alors temps d’accéder à Rimba, premier ecodisplay, ou présentation des espèces dans leur biotope, réalisé en extérieur par le Burger’s zoo. Celui-ci se consacre aux animaux du Sud-Est asiatique :
