J'ai eu l'occasion de visiter en été 2015 plusieurs zoos et aquariums de la côte ouest des Etats-Unis. C'est dans ce sujet que seront postés mes comptes-rendus au fur et à mesure de leur création, autant dire que cela prendra un petit bout de temps !
Sur ce, voici le compte-rendu du Zoo de San Diego et si vous avez des questions ou des remarques, n'hésitez surtout pas.
Bonne lecture ...
The San Diego Zoo
La visite commence avec le secteur le plus imposant du parc nommé Lost Forest. Ce complexe visitable sur plusieurs niveaux abrite une multitude d'oiseaux, de félins, de reptiles et de primates, dont six espèces de grands singes, dans un décor recréant les forêts tropicales d'où ils sont originaires. En premier lieu se trouve l'enclos des orangs-outans, assez réduit et exposé au soleil, mais suffisamment enrichi d'agrès pour leur permettre d'y passer beaucoup de temps.
Enclos des orangs-outans de Sumatra (Pongo abelii), des orangs-outans de Bornéo (Pongo pygmaeus) et des siamangs (Symphalangus syndactylus)
Volière des semnopithèques à coiffe (Trachypithecus cristatus cristatus)
Ensuite vient la Parker Aviary qui est une volière pénétrante axée sur l'Amérique du Sud hébergeant des araçaris de Beauharnais (Pteroglossus beauharnaesii), des sternes incas (Larosterna inca), des motmots houtoucs (Momotus momota), des cassiques huppés (Psarocolius decumanus), des cabézons tachetés (Capito niger), des coqs-de-roche péruviens (Rupicola peruvianus), des papegeais maillés (Deroptyus accipitrinus accipitrinus), des caurales soleils (Eurypyga helias), des canards à collier noir (Callonetta leucophrys), des geais acahés (Cyanocorax chrysops) et des toucans tocos (Ramphastos toco).
Parker Aviary
Volière adjacente contenant des coqs-de-roche péruviens (Rupicola peruvianus), des hoccos à pierre (Pauxi pauxi pauxi), des aras de Coulon (Primolius couloni), des cassiques huppés (Psarocolius decumanus) et des coracines chauves (Perissocephalus tricolor)
Coq-de-roche du Pérou (Rupicola peruvianus)
Toucan toco (Ramphastos toco)
A la sortie de la Parker Aviary se trouvent des rangées de volières contenant, entre autre, plusieurs espèces de paradisiers, de garrulaxes, de calaos et de ptilopes. Malheureusement, les mailles du grillage étaient très serrées pour éviter de passer ses doigts à l'intérieur, ce qui rendait très difficile voire même impossible la photographie de certaines volières ou oiseaux.
Complexe de volières pour paradisiers de Raggi (Paradisaea raggiana)
Volière pour martins-chasseurs de Guam (Todiramphus cinnamominus)
Volière pour calaos à casque rouge (Rhyticeros corrugatus)
Volière pour gouras couronnés (Goura cristata), paradisiers superbes (Lophorina superba) et ptilopes magnifiques (Ptilinopus magnificus)
Paradisier superbe (Lophorina superba)
Il y a deux volières géantes dans le parc, l'une des deux se nomme Owens Aviary et est construite à flanc de colline. Cette gigantesque installation, originairement construite pour des aigles et des condors, héberge des garrulaxes hoamys (Garrulax canorus), des carpophages de Müller (Ducula mullerii), des otidiphaps nobles (Otidiphaps nobilis aruensis), des crabiers malais (Ardeola speciosa), des loris des Fidji (Phigys solitarius), des pigeons à gorge blanche (Columba vitiensis), des gallicolombes pampusanes (Alopecoenas xanthonura), des malcohas rouverdins (Phaenicophaeus curvirostris), des langrayens à ventre blanc (Artamus leucoryn), des anserelles de Coromandel (Nettapus coromandelianus), des rolles orientaux (Eurystomus orientalis), des cacatoès soufrés (Cacatua sulphurea), des scissirostres des Célèbes (Scissirostrum dubium), des jardiniers à poitrine fauve (Chlamydera cerviniventris), des nicobars à camail (Caloenas nicobarica), des gouras de Victoria (Goura victoria), des loriquets iris (Psitteuteles iris), des martins de Rothschild (Leucopsar rothschildi), des colombines turverts (Chalcophaps indica), des irènes vierges (Irena puella), des stournes luisants (Aplonis metallica), des argus géants (Argusianus argus argus), des étourneaux à cou noir (Gracupica nigricollis), des bulbuls à semi-collier (Spizixos semitorques semitorques), des bulbuls à oreillons blancs (Pycnonotus leucotis), des loriots de Chine (Oriolus chinensis), des shamas à croupion blanc (Kittacincla malabarica interposita), des bulbuls noirs (Hypsipetes leucocephalus), des garrulaxes à joues blanches (Garrulax chinensis), des garrulaxes ocellés (Garrulax ocellatus), des carpophages paulines (Ducula aenea), des grands éclectus (Eclectus roratus), des carpophages d'Albertis (Gymnophaps albertisii), des ptilopes des Mariannes (Ptilinopus roseicapilla), des garrulaxes à queue rouge (Trochalopteron milne), des garrulaxes à plastron (Garrulax pectoralis), des ptilopes turgris (Ptilinopus melanospilus) ainsi que des martins-chasseurs de Smyrne (Halcyon smyrnensis).
Owens Aviary
Nids de stournes luisants (Aplonis metallica)
Colombine turvert (Chalcophaps indica)
Jardinier à poitrine fauve (Chlamydera cerviniventris)
La visite continue avec deux des plus grosses attractions du parc, soit les enclos des gorilles et des bonobos. Ils présentent tous deux un assez fort dénivelé dû aux fossés parfois remplis d'eau.
Enclos des bonobos (Pan paniscus)
Enclos des gorilles des plaines de l'Ouest (Gorilla gorilla gorilla)
Sur le chemin pour la Scripps Aviary, l'autre volière géante du parc, nous trouvons de nombreux enclos dédiés à la faune habitant les forêts d'Asie du Sud-Est ainsi que les marais et la jungle d'Afrique équatoriale. Plusieurs d'entre eux font cohabiter des animaux de façon assez originale.
Enclos des potamochères roux (Potamochoerus porcus), des loutres à cou tacheté (Hydrictis maculicollis), des cercopithèques noirs et verts (Allenopithecus nigroviridis) et des cercopithèques ascagnes (Cercopithecus ascanius schmidti)
Enclos des okapis (Okapia johnstoni) et des céphalophes noirs (Cephalophus niger)
Bassin des hippopotames amphibies (Hippopotamus amphibius)
Volière des chats viverrins (Prionailurus viverrinus)
Bassin des gavials du Gange (Gavialis gangeticus), des géoclemmydes d'Hamilton (Geoclemys hamiltonii), des émydes de Chine (Mauremys sinensis) et des tortues à long cou (Chelodina expansa)
Volière des ptilopes jambous (Ptilinopus jambu), des brèves à ailes bleues (Pitta moluccensis), des otidiphaps nobles (Otidiphaps nobilis nobilis), des pomatorhins à dos marron (Pomatorhinus montanus) et des bulbuls à semi-collier (Spizixos semitorques)
Enclos des tapirs à chabraque (Tapirus indicus)
Volière des faisans prélats (Lophura diardi), des tantales blancs (Mycteria cinerea), des cigognes de Storm (Ciconia stormi), des carpophages blancs (Ducula bicolor), des harles de Chine (Mergus squamatus), des carpophages de Müller (Ducula mullerii), des marmaronettes marbrées (Marmaronetta angustirostris), des canards mandarins (Aix galericulata), des loris cardinaux (Chalcopsitta cardinalis), des canards à faucilles (Mareca falcata), des garrulaxes à joues blanches (Garrulax chinensis), des loriots de Chine (Oriolus chinensis), des loris des Fidji (Phigys solitarius), des vanneaux soldats (Vanellus miles miles), des grives de Doherty (Geokichla dohertyi), des étourneaux à cou noir (Gracupica nigricollis) et des martins-chasseurs de Smyrne (Halcyon smyrnensis)
Enclos des tigres de Malaisie (Panthera tigris jacksoni)
Volière des veuves de paradis (Vidua paradisaea), des pluvians fluviatiles (Pluvianus aegyptius), des cordonbleus cyanocéphales (Uraeginthus cyanocephalus), des poulettes de roches (Ptilopachus petrosus), des colious huppés (Urocolius macrourus), des tourtelettes demoiselles (Turtur brehmeri), des républicains sociaux (Philetairus socius), des barbions à croupion jaune (Pogoniulus bilineatus), des étourneaux améthystes (Cinnyricinclus leucogaster), des souimangas à longue queue (Cinnyris pulchellus), des cordonbleus violacés (Granatina ianthinogaster), des euplectes ignicolores (Euplectes orix), des tourtelettes masquées (Oena capensis capensis) et des beaumarquets melbas (Pytilia melba)
Voici la Scripps Aviary, la plus grande volière du parc, qui est axée sur les espèces d'oiseaux africains. Elle est aussi visitable sur deux étages grâce à une passerelle qui serpente dans la volière. Elle héberge des touracos géants (Corythaeola cristata), des pigeons ramerons (Columba arquatrix),des irrisors moqueurs (Phoeniculus purpureus), des ombrettes africaines (Scopus umbretta), des corvinelles noir et blanc (Urolestes melanoleucus), des ibis du Cap (Geronticus calvus), des becs-ouverts africains (Anastomus lamelligerus), des couas huppés (Coua cristata), des colombars waalias (Treron waalia), des perroquets gris-du-Gabon (Psittacus erithacus), des spatules d'Afrique (Platalea alba), des tisserins baglafechts (Ploceus baglafecht reichenowi), des touracos à ventre blanc (Criniferoides leucogaster), des choucadors pourprés (Lamprotornis purpureus), des choucadors à oreillons bleus (Lamprotornis chalybaeus), des choucadors iris (Lamprotornis iris), des choucadors superbes (Lamprotornis superbus), des étourneaux améthystes (Cinnyricinclus leucogaster), des bulbuls des jardins (Pycnonotus barbatus), des colious huppés (Urocolius macrourus), des merles africains (Turdus pelios), des loriots dorés (Oriolus auratus), des marouettes à bec jaune (Zapornia flavirostra), des alectos à tête blanche (Dinemellia dinemelli), des euplectes franciscains (Euplectes franciscanus), des tourtelettes demoiselles (Turtur brehmeri), des francolins à cou jaune (Pternistis leucoscepus), des tourterelles maillées (Streptopelia senegalensis senegalensis), des tourtelettes tambourettes (Turtur tympanistria), des cossyphes à calotte blanche (Cossypha albicapillus albicapillus), des tourterelles à collier (Streptopelia semitorquata), des vanneaux à tête blanche (Vanellus albiceps), des érismatures maccoas (Oxyura maccoa), des dendrocygnes veufs (Dendrocygna viduata), des calaos à huppe blanche (Tropicranus albocristatus albocristatus) et des fuligules nyrocas (Aythya nyroca).
Scripps Aviary
Calao à huppe blanche (Tropicranus albocristatus albocristatus)
Coua huppé (Coua cristata)
Dernière partie de la zone Lost Forest, le Monkey Trail héberge une multitude de primates majoritairement africains dans des volières spacieuses et végétalisées visitables via une passerelle ainsi que par un chemin au niveau du sol. Mais avant d'y arriver, il faut serpenter entre plusieurs enclos abritant des céphalophes ainsi que des babiroussas.
Enclos des céphalophes noirs (Cephalophus niger) et des céphalophes à dos jaune (Cephalophus silvicultor)
Enclos des babiroussas des Célèbes (Babyrousa celebensis)
Volière des colobes d'Angola (Colobus angolensis palliatus) et des mangabeys noirs (Lophocebus aterrimus)
Volière des cercopithèques de Brazza (Cercopithecus neglectus)
Volière des cercopithèques de Wolf (Cercopithecus wolfi wolfi)
Bassin des faux-gavials d'Afrique (Mecistops cataphractus)
Bassin et volière des hippopotames nains (Hexaprotodon liberiensis) et des cercopithèques de Wolf (Cercopithecus wolfi wolfi). Saurez-vous retrouver l'hippo qui se cache sur la seconde photo ?
Volière des gibbons à joues jaunes (Nomascus gabriellae)
La visite commence avec le secteur le plus imposant du parc nommé Lost Forest. Ce complexe visitable sur plusieurs niveaux abrite une multitude d'oiseaux, de félins, de reptiles et de primates, dont six espèces de grands singes, dans un décor recréant les forêts tropicales d'où ils sont originaires. En premier lieu se trouve l'enclos des orangs-outans, assez réduit et exposé au soleil, mais suffisamment enrichi d'agrès pour leur permettre d'y passer beaucoup de temps.
Enclos des orangs-outans de Sumatra (Pongo abelii), des orangs-outans de Bornéo (Pongo pygmaeus) et des siamangs (Symphalangus syndactylus)
Volière des semnopithèques à coiffe (Trachypithecus cristatus cristatus)
Ensuite vient la Parker Aviary qui est une volière pénétrante axée sur l'Amérique du Sud hébergeant des araçaris de Beauharnais (Pteroglossus beauharnaesii), des sternes incas (Larosterna inca), des motmots houtoucs (Momotus momota), des cassiques huppés (Psarocolius decumanus), des cabézons tachetés (Capito niger), des coqs-de-roche péruviens (Rupicola peruvianus), des papegeais maillés (Deroptyus accipitrinus accipitrinus), des caurales soleils (Eurypyga helias), des canards à collier noir (Callonetta leucophrys), des geais acahés (Cyanocorax chrysops) et des toucans tocos (Ramphastos toco).
Parker Aviary
Volière adjacente contenant des coqs-de-roche péruviens (Rupicola peruvianus), des hoccos à pierre (Pauxi pauxi pauxi), des aras de Coulon (Primolius couloni), des cassiques huppés (Psarocolius decumanus) et des coracines chauves (Perissocephalus tricolor)
Coq-de-roche du Pérou (Rupicola peruvianus)
Toucan toco (Ramphastos toco)
A la sortie de la Parker Aviary se trouvent des rangées de volières contenant, entre autre, plusieurs espèces de paradisiers, de garrulaxes, de calaos et de ptilopes. Malheureusement, les mailles du grillage étaient très serrées pour éviter de passer ses doigts à l'intérieur, ce qui rendait très difficile voire même impossible la photographie de certaines volières ou oiseaux.
Complexe de volières pour paradisiers de Raggi (Paradisaea raggiana)
Volière pour martins-chasseurs de Guam (Todiramphus cinnamominus)
Volière pour calaos à casque rouge (Rhyticeros corrugatus)
Volière pour gouras couronnés (Goura cristata), paradisiers superbes (Lophorina superba) et ptilopes magnifiques (Ptilinopus magnificus)
Paradisier superbe (Lophorina superba)
Il y a deux volières géantes dans le parc, l'une des deux se nomme Owens Aviary et est construite à flanc de colline. Cette gigantesque installation, originairement construite pour des aigles et des condors, héberge des garrulaxes hoamys (Garrulax canorus), des carpophages de Müller (Ducula mullerii), des otidiphaps nobles (Otidiphaps nobilis aruensis), des crabiers malais (Ardeola speciosa), des loris des Fidji (Phigys solitarius), des pigeons à gorge blanche (Columba vitiensis), des gallicolombes pampusanes (Alopecoenas xanthonura), des malcohas rouverdins (Phaenicophaeus curvirostris), des langrayens à ventre blanc (Artamus leucoryn), des anserelles de Coromandel (Nettapus coromandelianus), des rolles orientaux (Eurystomus orientalis), des cacatoès soufrés (Cacatua sulphurea), des scissirostres des Célèbes (Scissirostrum dubium), des jardiniers à poitrine fauve (Chlamydera cerviniventris), des nicobars à camail (Caloenas nicobarica), des gouras de Victoria (Goura victoria), des loriquets iris (Psitteuteles iris), des martins de Rothschild (Leucopsar rothschildi), des colombines turverts (Chalcophaps indica), des irènes vierges (Irena puella), des stournes luisants (Aplonis metallica), des argus géants (Argusianus argus argus), des étourneaux à cou noir (Gracupica nigricollis), des bulbuls à semi-collier (Spizixos semitorques semitorques), des bulbuls à oreillons blancs (Pycnonotus leucotis), des loriots de Chine (Oriolus chinensis), des shamas à croupion blanc (Kittacincla malabarica interposita), des bulbuls noirs (Hypsipetes leucocephalus), des garrulaxes à joues blanches (Garrulax chinensis), des garrulaxes ocellés (Garrulax ocellatus), des carpophages paulines (Ducula aenea), des grands éclectus (Eclectus roratus), des carpophages d'Albertis (Gymnophaps albertisii), des ptilopes des Mariannes (Ptilinopus roseicapilla), des garrulaxes à queue rouge (Trochalopteron milne), des garrulaxes à plastron (Garrulax pectoralis), des ptilopes turgris (Ptilinopus melanospilus) ainsi que des martins-chasseurs de Smyrne (Halcyon smyrnensis).
Owens Aviary
Nids de stournes luisants (Aplonis metallica)
Colombine turvert (Chalcophaps indica)
Jardinier à poitrine fauve (Chlamydera cerviniventris)
La visite continue avec deux des plus grosses attractions du parc, soit les enclos des gorilles et des bonobos. Ils présentent tous deux un assez fort dénivelé dû aux fossés parfois remplis d'eau.
Enclos des bonobos (Pan paniscus)
Enclos des gorilles des plaines de l'Ouest (Gorilla gorilla gorilla)
Sur le chemin pour la Scripps Aviary, l'autre volière géante du parc, nous trouvons de nombreux enclos dédiés à la faune habitant les forêts d'Asie du Sud-Est ainsi que les marais et la jungle d'Afrique équatoriale. Plusieurs d'entre eux font cohabiter des animaux de façon assez originale.
Enclos des potamochères roux (Potamochoerus porcus), des loutres à cou tacheté (Hydrictis maculicollis), des cercopithèques noirs et verts (Allenopithecus nigroviridis) et des cercopithèques ascagnes (Cercopithecus ascanius schmidti)
Enclos des okapis (Okapia johnstoni) et des céphalophes noirs (Cephalophus niger)
Bassin des hippopotames amphibies (Hippopotamus amphibius)
Volière des chats viverrins (Prionailurus viverrinus)
Bassin des gavials du Gange (Gavialis gangeticus), des géoclemmydes d'Hamilton (Geoclemys hamiltonii), des émydes de Chine (Mauremys sinensis) et des tortues à long cou (Chelodina expansa)
Volière des ptilopes jambous (Ptilinopus jambu), des brèves à ailes bleues (Pitta moluccensis), des otidiphaps nobles (Otidiphaps nobilis nobilis), des pomatorhins à dos marron (Pomatorhinus montanus) et des bulbuls à semi-collier (Spizixos semitorques)
Enclos des tapirs à chabraque (Tapirus indicus)
Volière des faisans prélats (Lophura diardi), des tantales blancs (Mycteria cinerea), des cigognes de Storm (Ciconia stormi), des carpophages blancs (Ducula bicolor), des harles de Chine (Mergus squamatus), des carpophages de Müller (Ducula mullerii), des marmaronettes marbrées (Marmaronetta angustirostris), des canards mandarins (Aix galericulata), des loris cardinaux (Chalcopsitta cardinalis), des canards à faucilles (Mareca falcata), des garrulaxes à joues blanches (Garrulax chinensis), des loriots de Chine (Oriolus chinensis), des loris des Fidji (Phigys solitarius), des vanneaux soldats (Vanellus miles miles), des grives de Doherty (Geokichla dohertyi), des étourneaux à cou noir (Gracupica nigricollis) et des martins-chasseurs de Smyrne (Halcyon smyrnensis)
Enclos des tigres de Malaisie (Panthera tigris jacksoni)
Volière des veuves de paradis (Vidua paradisaea), des pluvians fluviatiles (Pluvianus aegyptius), des cordonbleus cyanocéphales (Uraeginthus cyanocephalus), des poulettes de roches (Ptilopachus petrosus), des colious huppés (Urocolius macrourus), des tourtelettes demoiselles (Turtur brehmeri), des républicains sociaux (Philetairus socius), des barbions à croupion jaune (Pogoniulus bilineatus), des étourneaux améthystes (Cinnyricinclus leucogaster), des souimangas à longue queue (Cinnyris pulchellus), des cordonbleus violacés (Granatina ianthinogaster), des euplectes ignicolores (Euplectes orix), des tourtelettes masquées (Oena capensis capensis) et des beaumarquets melbas (Pytilia melba)
Voici la Scripps Aviary, la plus grande volière du parc, qui est axée sur les espèces d'oiseaux africains. Elle est aussi visitable sur deux étages grâce à une passerelle qui serpente dans la volière. Elle héberge des touracos géants (Corythaeola cristata), des pigeons ramerons (Columba arquatrix),des irrisors moqueurs (Phoeniculus purpureus), des ombrettes africaines (Scopus umbretta), des corvinelles noir et blanc (Urolestes melanoleucus), des ibis du Cap (Geronticus calvus), des becs-ouverts africains (Anastomus lamelligerus), des couas huppés (Coua cristata), des colombars waalias (Treron waalia), des perroquets gris-du-Gabon (Psittacus erithacus), des spatules d'Afrique (Platalea alba), des tisserins baglafechts (Ploceus baglafecht reichenowi), des touracos à ventre blanc (Criniferoides leucogaster), des choucadors pourprés (Lamprotornis purpureus), des choucadors à oreillons bleus (Lamprotornis chalybaeus), des choucadors iris (Lamprotornis iris), des choucadors superbes (Lamprotornis superbus), des étourneaux améthystes (Cinnyricinclus leucogaster), des bulbuls des jardins (Pycnonotus barbatus), des colious huppés (Urocolius macrourus), des merles africains (Turdus pelios), des loriots dorés (Oriolus auratus), des marouettes à bec jaune (Zapornia flavirostra), des alectos à tête blanche (Dinemellia dinemelli), des euplectes franciscains (Euplectes franciscanus), des tourtelettes demoiselles (Turtur brehmeri), des francolins à cou jaune (Pternistis leucoscepus), des tourterelles maillées (Streptopelia senegalensis senegalensis), des tourtelettes tambourettes (Turtur tympanistria), des cossyphes à calotte blanche (Cossypha albicapillus albicapillus), des tourterelles à collier (Streptopelia semitorquata), des vanneaux à tête blanche (Vanellus albiceps), des érismatures maccoas (Oxyura maccoa), des dendrocygnes veufs (Dendrocygna viduata), des calaos à huppe blanche (Tropicranus albocristatus albocristatus) et des fuligules nyrocas (Aythya nyroca).
Scripps Aviary
Calao à huppe blanche (Tropicranus albocristatus albocristatus)
Coua huppé (Coua cristata)
Dernière partie de la zone Lost Forest, le Monkey Trail héberge une multitude de primates majoritairement africains dans des volières spacieuses et végétalisées visitables via une passerelle ainsi que par un chemin au niveau du sol. Mais avant d'y arriver, il faut serpenter entre plusieurs enclos abritant des céphalophes ainsi que des babiroussas.
Enclos des céphalophes noirs (Cephalophus niger) et des céphalophes à dos jaune (Cephalophus silvicultor)
Enclos des babiroussas des Célèbes (Babyrousa celebensis)
Volière des colobes d'Angola (Colobus angolensis palliatus) et des mangabeys noirs (Lophocebus aterrimus)
Volière des cercopithèques de Brazza (Cercopithecus neglectus)
Volière des cercopithèques de Wolf (Cercopithecus wolfi wolfi)
Bassin des faux-gavials d'Afrique (Mecistops cataphractus)
Bassin et volière des hippopotames nains (Hexaprotodon liberiensis) et des cercopithèques de Wolf (Cercopithecus wolfi wolfi). Saurez-vous retrouver l'hippo qui se cache sur la seconde photo ?
Volière des gibbons à joues jaunes (Nomascus gabriellae)