Après s’être acquitté du droit d’entrée de 12,50 € (pour un adulte), le visiteur traverse une petite pelouse ornée de sculptures de reptiles et autres dinosaures avant de pénétrer dans la première serre.
La partie zoologique (je n’ai pas eu le temps de visiter les jardins et les extérieurs du parc) se compose en effet de deux serres accolées : l’une tropicale, l’autre évoquant les milieux désertiques.
La visite débute par un bassin abritant 3 ou 4 alligators du Mississipi (Alligator mississippiensis) de taille modeste et quelques grosses tortues de Floride (Trachemys scripta elegans).
Puis on découvre un grand vivarium abritant des pythons molure (Python molurus) avant de pénétrer dans la serre aux papillons.
Malheureusement, j’ai seulement aperçu un morpho bleu en vol - sans doute en raison de la date de ma visite - et me semble-t-il un papillon cobra (Attacus atlas). D’après les panneaux, la serre abrite le morpho bleu (Morpho peleides), le voilier vert (Graphium agamemnon), le tigre bleu (Danaus limniace) et une quatrième espèce dont le nom m’échappe.
Cette serre abrite également plusieurs vivariums hébergeant les espèces suivantes (pas de « cohabitation » évidemment) : anaconda jaune (Eunectes notaeus), dragon d’eau (Physignathus cocincinus), python vert (Morelia viridis), varan de Mac Rae (Varanus macraei) et couleuvre asiatique à queue rayée (Orthriophis taeniura freisei). Une partie de la serre est délimitée par l’une des vitres bordant de bassin de crocodiles nains d’Afrique de l’Ouest (Osteolaemus tetraspis) dont j’ai vu deux spécimens.
Le parcours se poursuit par le vivarium des basilics à plumes (Basiliscus plumifrons).
Après avoir franchi le petit pont séparant les bassins des crocodiles et des alligators (sous lequel se trouvent les pompes), le visiteur découvre une nouvelle rangée de cinq vivariums destinés aux espèces que voici : boa constricteur (Boa constrictor), encore le dragon d’eau (Physignathus cocincinus), vipère de Schlegel (Bothriechis schlegelii), serpent à sonnette sud-américain (Crotalus durissus terrificus) et vipère des cent pas (Deinagkistrodon acutus).
Ensuite, un vivarium héberge un petit caïman nain de Cuvier (Paleosuchus palpebrosus). Deux individus plus grands se trouvent dans un espace disposant d’un plus grand bassin recouvert de lentilles d’eau.
Puis sur la droite, deux vivariums abritent de pythons royaux (Python regius) et – sauf erreur de ma part – des pythons molure albinos. En face, deux autres vivariums accueillent des mambas verts de l’Est (Dendroaspis angusticeps).
Avant de revenir longer le bassin des alligators, le public découvre une vipère du Gabon (Bitis gabonica) puis le vivarium des pythons de Bredl (Morelia bredli).
Après avoir admiré sous un autre angle la vipère du Gabon, on découvre deux nouveaux vivariums accueillant gecko géant diurne de Madagascar (Phelsuma madagascariensis grandis) et vipère de bambou (Trimeresurus popeiorum).
Le parcours repasse alors près de l’entrée de la serre tropicale et d’un vaste vivarium destiné à des lézards à crête d’Indonésie (Hydrosaurus sp.).
Trois derniers vivariums terminent la partie tropicale avec serpent ratier des cavernes (Orthriophis taeniurus ridleyi), gecko géant de Nouvelle-Calédonie (Rhacodactylus leachianus) et grenouille cornue de Bell (Ceratophrys ornata).
À noter qu’en repassant dans la serre tropicale après la visite de la serre du désert et en direction de la sortie, les visiteurs découvrent un assez grand enclos vitré abritant un groupe d’une bonne dizaine de ouistitis à toupet blanc (Callithrix jacchus).
A suivre...