Les visiteurs sont toujours accueilli par les îles à perroquets. La première d'entre eux héberge un couple de rare aras de Buffon qui ne sont malheureusement plus reproduits depuis longtemps.
Par contre dans la volerie, les mainates de Bali ont relancé leur reproduction après un seul succès il y a plusieurs années. Une seconde nichée était peut être même attendue dans la foulée !
Par contre toujours pas de signe chez les deux espèces de calaos (trompette et bicorne).
Cette année, j'ai essayé de diversifier mes clichés en adoptant de nouveaux points de vues, notamment plus près du sol pour accentuer la proximité et ne pas écraser les sujets. A la Palmyre, la difficulté provient de la présence importante des fonds des enclos souvent artificiels et de l'aspect étriqué des enclos. Voici un exemple de ce que j'ai essayé de faire chez les loutres avec une série. Au lieu de prendre depuis la fosse bétonnée, j'ai pris au niveau du bassin juste avant que les animaux ne plonge. On peut toujours regretter l'aspect artificiel de l'eau. C'est difficile puisque la glace est épaisse et il y a de nombreuses traces d'eau. Surtout, en journée, il y a beaucoup de visiteurs. Pour avoir un fond naturel il ne faut personne en arrière-plan au risque de se retrouver avec des marcels rouges et des robes à fleurs en arrière-plan. Il faut donc attendre tard le soir, et les basses lumières... Autant vous dire que pour figer une bande de loutres excités, le taux de déchets est élevé !
De même chez les manchots
La plaine sud-américaine est toujours aussi peu évocatrice du milieu d'origine des animaux. Quelques capybaras y cohabite avec un couple de tapirs et leur jeunes ainsi que quatre nandous dont deux sont blancs
Un peu plus loin, les fennecs prennent le soleil au petit matin, avant que les gens n'arrivent en masse.
Pour la première fois, je me suis réellement intéressé au groupe de loups de Mackenzie. Jusqu'ici, leur enclos minable m'avait désinciter à travailler dessus.
Par contre j'aime toujours autant passer du temps avec les lycaons. Quels animaux splendides et passionnants !
Une des espèces les plus rares, menacées et belle à voir évolue non loin dans une cage hors d'âge même si c'est surement l'une des mieux aménagées pour les singes du zoo. Cette année, un petit lémur aux yeux turquoises est né dans cette installation. retiré de sa mère car trop faible puis élevé à la nurserie, il n'a malheureusement pas survécu. Espérons que l'année prochaine soit une réussite !
En attendant je ne me lasse pas de leur regard ! Tout comme celui des pandas roux, très exposés dans leur jardin à bonzaï. Mais en début et fin de journée ils sont actifs et sympas à voir.
Cela fait plusieurs années que le groupe de cercopithèque de l'Hoest est moins prolifique.Peut être est-ce du à la composition du groupe.
Par contre ça gaze bien chez les sud-américains, que ce soit ce capucin à poitrine jaune qui surveille avec sagesse son groupe ou ce tamarin empereur plus cabotin.
La naissance de cercopithéque de Hamlyn est par contre une excellente nouvelle pour tout l'EEP qui en a sacrément besoin ! Un petit portrait à travers les barreaux en attendant Doué...
La collection de callitrichidés est par contre toujours aussi fourni et les succès de reproduction au rendez-vous (Tamarins bicolores notamment).
Pas de naissances cette année chez les guépards du Soudan puisque toutes les femelles ont des jeunes en voie d'émancipation (deux ont notamment été envoyés à Pessac). En théorie la saison prochaine devrait être assez intéressante sur ce plan là.
Sa majesté
Jeune montant dans les arbres. A l'aise pour grimper... moins pour descendre.
Depuis son promontoire, le jeune guépard doit observer de près les oryx beisas qui évoluent dans la plaine sableuse proche.
A l'arrêt ou en course, ils sont toujours élégants
Tout comme leurs colocataires les zèbres qui en fin de journée créent des nuages de poussière en courant dans le sable. Une ambiance très sympathique !
Mais malgré leur pitreries, ils n'arrivent pas à désintéresser le public de la véritable star des lieux !
. Du coup j'ai juste eu le temps d'apercevoir un individu (Nyuki ?), avant de passer un bon moment au sec, devant la femelle et les 2 juvéniles. A confirmer, mais il me semble bien que le panneau précisait NOTRE femelle, ce qui signifierait qu'il n'en reste qu'une. 
