Entrée du Zoo Osnabrück, parc de l'Ouest de l'Allemagne ouvert en 1936, et qui accueille aujourd'hui 2300 animaux de 330 espèces réparties sur 23 hectares, composés d'une zone centrale datant du siècle dernier, et d'extensions thématiques plus modernes inaugurées ces dernières années.
Enclos des flamants :
Unterirdischer Zoo (« Zoo Sous la Terre »), nocturama unique de 500 m² plongeant le visiteur au cœur des souterrains à la découverte des petits mammifères, principalement des rongeurs, vivant à plusieurs mètres de profondeur sous nos pas. A travers un parcours de 120 mètres de long, dans une ambiance obscure de terre et de racines artificielles, les visiteurs découvrent des galeries vitrées reconstituant des tunnels dans les quelles sont présentés des coruros, des hamsters européens, des campagnols communs, des lemmings des steppes, des rats-taupes de Mechow, des rats bruns, ainsi qu'un groupe reproducteur de rats-taupes nus (en partie importés d'Afrique du Sud).
Samburu est la véritable première extension thématique ouverte par le Zoo d'Osnabrück, nommée en l'honneur du célèbre parc national du Kenya. Quelques-uns des représentants les plus célèbres des plaines africaines y sont hébergés.
Intérieur du bâtiment des girafes :
Loges intérieures des girafes (groupe reproducteur de la sous-espèce réticulée) :
Enclos intérieur et volière extérieure des damans des rochers :
Enclos extérieur des girafes, plaine de deux hectares visible depuis différents pontons surélevés, au cœur de la quelle sont également présentés des impalas, des élands du Cap, des zèbres de Grévy et des autruches, qui peuvent également se rendre s'ils le souhaitent dans une zone inaccessible aux girafes :
Enclos des lions d'Afrique :
Double-enclos des lycaons, l'un forestier, l'autre plus ouvert et broussailleux :
La zone africaine se poursuit avec « Takamanda », complexe de 5,5 hectares inauguré en 2010. Accessible depuis une longue passerelle en bois surplombant la plaine des girafes, il permet, au travers d'un parcours d'un kilomètre, de découvrir 80 pensionnaires plus ou moins connus, originaires des savanes ou des forêts du continent noir. 10 millions d'euros (en partie financés par l'Union Européenne) ont été nécessaires à sa construction.
Ile des phacochères d'Afrique du Nord et du groupe reproducteur de mangabeys couronnés :
Enclos des babouins hamadryas, occupé par une vingtaine d'individus originaires du Dierenpark Emmen :
Enclos des mangoustes rayées :
Aire de jeux « Makatanda » :
Enclos des potamochères, hippotragues noirs, grands koudous et pélicans blancs :
Installation des chimpanzés, vaste enclos extérieur herbeux de 4000 m² relié à un bâtiment d'où le public peut observer, à travers une large baie vitrée, leur loge intérieure paysagée de 500 m². C'est l'espèce phare de la zone, autrefois présentée depuis de longues années dans une petite cage de la maison des singes.
Enclos des chacals dorés de Roumanie, importés du zoo de Sofia :
Enclos des servals :
Enclos des hyènes tachetées (espèce qui, comme la plupart de celles hébergées dans Takamanda, s'est reproduite moins d'un an après être arrivé au parc) :
Vues générales de la zone Takamanda :
Forêt des loups gris, surplombée par une passerelle en bois :
Enclos des renards polaires :
Enclos des dhôles de Chine, arrivés en 2005 en provenance du SerengetiPark Hodenhagen :
Volières des rapaces nocturnes, où devrait voir le jour dans les 5 prochaines années une zone dédiée aux animaux nords-américains :
Volière de contact des hiboux moyen-ducs, effraies des clochers et chouettes hulottes :
Début de la zone sud-américaine, vestige des premiers temps du parc (1988), avec l'enclos des tapirs terrestres et des capybaras :
Enclos des nandous américains et des guanacos :
Maison sud-américaine, petit bâtiment de 100 m² à la température maintenue à 27°C dans le quel sont hébergés les tapirs terrestres dans un long enclos intérieur relié à des loges individuelles non-visibles du public :
Enclos intérieur des paresseux didactyles et des ouistitis de Geoffroy, relié à l'extérieur à une volière végétalisée :
Serre tropicale sud-américaine, pyramide vitrée de 230 m² où sont présentés en liberté dans la végétation exotique tamarins empereurs, cassiques, toucans, tangaras et columbiformes :
Rocher des macaques à queue de cochon, en cours de rénovation pour le transformer en temple cambodgien :
Maison des singes, série d'enclos intérieurs vitrés reliés à des cages à l'air libre où vivent cercopithèques ascagnes, capucins bruns, atèles de Colombie, callithricidés et agoutis :
Enclos des ours, ancienne installation à fauves réaménagée pour deux vieilles femelles brunes d'Europe :
Installation des orangs-outans (une femelle de Bornéo et un mâle hybride), amenée à être détruite en 2013 pour laisser place à une zone asiatique dédiée aux anthropoïdes et aux tigres :
Enclos des loutres naines d'Asie :
Partie de l'aqua-vivarium dédiée aux poissons d'eau douce tropicale :
Bacs d'eau de mer (principalement pour de petits poissons coralliens) :
Zone de l'aquarium dédiée aux reptiles (serpents constricteurs, caïmans et sauriens communs en captivité) :
Enclos des iguanes :
Enclos des varans ornés du Nil :
Série de volières pour oiseaux d'eau, calaos africians et psittacidés :
Volière des calaos à joues grises :
Volière des ibis, hérons garde-boeuf, aigrettes et goélands :
Enclos des manchots de Humboldt :
Enclos des phoques veaux-marins :
Bassin des otaries de Californie, ayant accès à une petite partie herbeuse :
Enclos marécageux des petits koudous et des cobs de Mrs Gray, ouvert en 2007 :
Cet enclos africain sert d'introduction à la dernière zone thématique du parc, le « Tal der Grauen Riesen », litérallement « La Vallée des géants gris » avec le rhinocéros blanc comme espèce phare. Leur ancien enclos sableux, où ils ont été présentés pendant plus de 20 ans, a été conservé, mais il a été relié à un second parc de 2000 m² plus naturel avec arbustes et rochers, permettant également de séparer le groupe de 4 individus en cas de besoin. Des damalisques à front blanc et un second groupe de potamochères sont présentés avec eux.
L'éléphant africain, l'autre « Géant gris », est hébergé plus loin dans une installation couvrant une superficie totale de 3000 m², composée de différents enclos : deux, ouverts en 1999, pour les femelles, et un troisième, inauguré en 2005, pour le mâle. Un bassin, des zones ombragées et une zone sableuse agrémentent l'installation, reliée à un bâtiment où les pachydermes sont hébergés dans un enclos commun de 500 m² visible depuis de larges baies vitrées. 3 éléphants (1.2) sont présentés à Osnabrück.
Une petite maison désertique, sur le thème des zones sableuses d'Afrique et du Moyen-Orient, conclut cette zone africaine mais également la visite du zoo, avec des macroscélides à oreilles courtes, présentés dans un terrarium paysagé, et des chats des sables, hébergés dans un double-enclos intérieur et extérieur végétalisé.