Parc animalier et botanique de Branféré :
Visite du 29 avril 2011
C'est sous un ciel voilé et un temps frais que je me suis rendu vendredi 29 avril au parc animalier et botanique de Branféré, notamment pour découvrir les différents changements réalisés depuis ma précédente visite d'avril 2010.
Première nouveauté dès l'entrée du parc puisque le visiteur, après avoir acquis son billet et marché quelques mètres, doit franchir un ponton grillagé lui permettant l'accès à la nouveauté 2010 de l'espace animalier, l'enclos de contact des lémuriens.
Celui-ci est divisé en deux parties, une première végétalisée où les primates ont accès à plusieurs arbres, et une seconde (accessible par un petit portillon) où ils disposent d'une vaste prairie herbeuse et découverte qu'ils partagent avec une dizaine d'alpagas (Lama pacos). Un nouveau bâtiment en bois, relié à des pré-volières extérieures, a été créé pour l'occasion. L'ensemble de cet espace est occupé par trois espèces de lémuriens, le maki catta (Lemur catta), le vari noir et blanc (Varecia variegata) et le vari roux (Varecia rubra).
Entrée du nouvel enclos de contact des lémuriens
Partie végétalisée de l'enclos de contact des lémuriens
Partie découverte de l'enclos de contact des lémuriens, également occupée par des alpagas
Bâtiment des lémuriens
Maki catta (Lemur catta)
Les îles anciennement occupées par les lémuriens, vides depuis leur départ vers ce nouvel enclos de contact, sont maintenant occupés par de nouveaux pensionnaires :
la première constitue désormais le lieu de vie d'un deuxième groupe de saïmiris, espèce plus adaptée à la taille réduite de l'enclos :
Ile des saïmiris
la deuxième, plus vaste et plantée de grands arbres, a reçu courant 2010 une nouvelle espèce peu commune en captivité : le gibbon à bonnet (Hylobates pileatus). Cette espèce qui avait déjà été présentée au parc il y a plusieurs dizaines d'années, fait son grand retour à Branféré avec un couple d'animaux, les seuls hébergés dans le grand ouest français.
Ile des gibbons à bonnet
Gibbon à bonnet (Hylobates pileatus)
Cours d'eau séparant l'île des gibbons à favoris (à gauche) de celle des gibbons à bonnet
Les vieilles volières qui abritaient jusqu'en 2011 quelques aras, cariamas et ouistitis à pinceaux noirs ont été en partie détruites et réunies pour ne former plus qu'une seule et même volière de contact, actuellement en construction. Lors de son ouverture en juin 2011, les visiteurs pourront y découvrir en totale liberté plusieurs dizaines de perruches, passereaux, colombiformes mais également des touracos, des tinamous, des sarcelles, des harles couronnés...
Ancienne rangée de volières – Photo prise en avril 2010
Future volière de contact en construction
Les émeus, autrefois présentés dans un petit enclos ombragé en fin de parcours, ont rejoint la grande prairie où ils cohabitent désormais avec des cerfs du Vîet-Nam, des antilopes cervicapres et des gruidés dans un espace naturel de plusieurs hectares composé d'une zone marécageuse, d'un grand plan d'eau, d'une gigantesque prairie découverte et d'un vaste sous-bois.
Panorama de la grande prairie
Grande prairie
Emeu (Dromaius novaehollandiae), nouvel arrivant dans la grande prairie
Cerf du Viêt-Nam (Cervus nippon pseudaxis)
Jeunes antilopes cervicapres (Antilope cervicapra)
L'ancien enclos des émeus devrait prochainement être restructuré pour accueillir des insectes européens (papillons, abeilles...)
Ancien enclos des émeus, futur lieu pour insectes européens
Un couple de rennes domestiques (Rangifer tarandus) a fait son apparition courant 2010 dans un vaste enclos herbeux situé derrière la mini-ferme.
Enclos des rennes
Renne domestique (Rangifer tarandus)
Du côté de la plaine africaine, un nouvel observatoire a été réalisé à proximité du Parcabout® pour permettre aux visiteurs d'observer les girafes dans leur pré-parc bétonné lorsque le temps ne leur permet pas d'être sur la grande plaine en compagnie des autres herbivores.
Nouvel observatoire devant le pré-parc des girafes
Pré-parc des girafes
Girafe du Soudan (Giraffa camelopardalis antiquorum)
A proximité de la plaine africaine, l'ancienne île de la vieille femelle siamang (Voir plus-bas) est en cours de rénovation pour accueillir une nouvelle espèce de primate dans les semaines à venir, un membre de la famille des cercopithèques.
Future île des cercopithèques
Un nouveau sentier (en partie sur pilotis) est également en réalisation autour de cette île. Il permettra, outre le fait de s'approcher au plus près des cercopithèques, de s'enfoncer dans un sous-bois et de mettre en valeur les arbres exceptionnels de la forêt, avant de rejoindre l'enclos des hippopotames nains.
Nouveau sentier forêstier en cours de réalisation
La vieille femelle siamang précédemment décrite, qui ne peut cohabiter avec le groupe familial, a rejoint les deux anciennes îles des gibbons à mains blanches, où elle termine ses jours seule.
Double-îles de la vieille femelle siamang
Une vaste prairie naturelle, jusqu'alors inexploitée, a été totalement rénovée courant 2010-2011 pour laisser place à deux des grandes nouveautés 2011 du parc animalier de Branféré. La première, c'est la nouvelle installation des gibbons à mains blanches, autrefois présentés sur les deux îles décrites ci-dessus. Leur nouveau lieu de vie, deux fois plus vaste, est composé d'un bâtiment en bois flambant neuf relié à l'extérieur à une île herbeuse et végétalisée par la présence de nombreux arbres qui leur sont entièrement accessibles. Un petit ponton en bois permet au public de les observer au plus près.
Ancienne prairie inexploitée – Photo prise en avril 2010
Nouvelle île des gibbons à mains blanches
Nouvelle île des gibbons à mains blanches vue de dos
Sentier longeant l'île des gibbons
La seconde nouveauté réalisée à cet emplacement, juste en face de l'île des gibbons, c'est le grand plan d'eau des oiseaux, composé d'une prairie découverte, d'un bras d'eau et d'une zone forêstière. Il constitue le lieu de vie de kamichis à collier, de grues cendrés qui pourraient appartenir à la sous-espèce de Lilford et de grues du Paradis. Les différentes espèces d'anatidés présentées en totale liberté dans le parc, des plus petits, comme le canard mandarin, les dendrocygnes ou les harles, jusqu'aux plus grands, tels les cygnes coscorobas, les oies empereurs ou les ouettes, y ont également libre accès. L'arrivée de nandous de Darwin, espèce peu courante en captivité, serait prévue dans cet espace.
Plan d'eau des oiseaux
Grue cendrée pouvant appartenir à la sous-espèce de Lilford (Grus grus lilfordi)
En fin de parcours, l'ancienne île des makis cattas, transférés vers l'enclos de conatct des lémuriens, s'est vue devenir le lieu de vie d'un petit groupe de colobes guérézas (Colobus guereza).
Ile des colobes guérézas
Deux bassins naturels ont également été érigés à proximité pour accueillir différents chéloniens aquatiques : le premier accueille deux espèces présentes de façon naturelle en France, la cistude d'Europe (Emys orbicularis), et l'émyde lépreuse (Mauremys leprosa). Le second fait office de bassin de récupération pour tortues de Floride (Trachemys scripta elegans), une espèce invasive qui menace les occupants du bassin voisin. Un aspect pédagogique qui met en opposition directe les espèces et qui sensibilise le public à l'introduction des tortues de Floride en France.
Bassins des tortues (de Floride à gauche, des cistudes et des émydes à droites)
Les guanacos, actuellement présentés dans un enclos peu mis en valeur à la toute fin du parc, devraient prochainement rejoindre les tapirs, nandous et cabiais de plaine sud-américaine et laisser leur enclos à un groupe de 4 ânes sauvages de Somalie en juin 2011.
Futur enclos des ânes sauvages de Somalie
Passé ce récapitulatif des différentes nouveautés observées depuis ma dernière visite de 2010, voici maintenant quelques photos de ma visite :
Petit panda (Ailurus fulgens) :
Son enclos :
Tapir terrestre (Tapirus terrestris) :
Son enclos, la plaine sud-américaine, avec l'île des sakis à face blanche au milieu du bassin :
Zèbre de Grant (Equus quagga bohemi) :
Autruches (Struthio camelus) :
Grand koudou (Tragelaphus strepsisceros) mâle :
Panorama de la plaine africaine :
Hippopotame pygmée (Hexaprotodon liberiensis) :
Son enclos :
Boeuf watussi (Bos taurus watussi) et lama (Lama glama) :
Leur enclos :
Chien de prairie à queue noire (Cynomys ludovicianus) :
Son enclos :
Loutres naines d'Asie (Aonyx cinereus) :
Leur enclos :
Spectacle d'oiseaux en vol-libre :
Hibou grand-duc de Virginie :
Aras chloroptères (Ara chloroptera) :
Kookaburra (Dacelo novaeguinea) :
Héron cendré (Ardea cinerea) :
Bihoreau gris (Nycticorax nycticorax) :
Ibis sacré (Threskiornis aethiopicus) :
Cigogne d'Abdim (Ciconia abdimi) :
Cormoran à poitrine blanche (Phalacrocorax lucidus) :
Ara militaire (Ara militaris) :
Grue couronnée grise (Balearica regulorum) :
Flamant rose (Phoenicopterus roseus) :
Cigogne blanche d'Europe (Ciconia ciconia) :
Pélican blanc (Pelecanus onocrotalus) :
Et une vue générale du spectacle pour finir :
Wallaby de Bennet (Macropus rufogriseus) :
Hydropote de Chine (Hydropotes inermis) :
Grue à cou blanc (Grus vipio) :
Grue antigone (Grus antigone) :
Bernache néné (Branta sandvicensis) :
Bernache du Canada (Branta canadensis) :
Canard à bosse (Sarkidiornis melanotos) :
Ouette à ailes bleues (Cyanochen cyanopterus) :
Dendrocygne à ventre noir (Dendrocygna autumnalis) :
Canard mandarin (Aix galericulata) :
Cygne à cou noir (Cygnus melanocorypha) :
Canard à bec tacheté (Anas poecilorhyncha) :
Cygne coscoroba (Coscoroba coscoroba) :
Cygne noir (Cygnus atratus) :
Oie céréopse (Cereopsis novaehollandiae) :
Et quelques vues générales pour finir, où vivent en totale liberté les wallabys, les hydropotes, les maras, les grues et tous les anatidés :
Visite du 29 avril 2011
C'est sous un ciel voilé et un temps frais que je me suis rendu vendredi 29 avril au parc animalier et botanique de Branféré, notamment pour découvrir les différents changements réalisés depuis ma précédente visite d'avril 2010.
Première nouveauté dès l'entrée du parc puisque le visiteur, après avoir acquis son billet et marché quelques mètres, doit franchir un ponton grillagé lui permettant l'accès à la nouveauté 2010 de l'espace animalier, l'enclos de contact des lémuriens.
Celui-ci est divisé en deux parties, une première végétalisée où les primates ont accès à plusieurs arbres, et une seconde (accessible par un petit portillon) où ils disposent d'une vaste prairie herbeuse et découverte qu'ils partagent avec une dizaine d'alpagas (Lama pacos). Un nouveau bâtiment en bois, relié à des pré-volières extérieures, a été créé pour l'occasion. L'ensemble de cet espace est occupé par trois espèces de lémuriens, le maki catta (Lemur catta), le vari noir et blanc (Varecia variegata) et le vari roux (Varecia rubra).
Entrée du nouvel enclos de contact des lémuriens
Partie végétalisée de l'enclos de contact des lémuriens
Partie découverte de l'enclos de contact des lémuriens, également occupée par des alpagas
Bâtiment des lémuriens
Maki catta (Lemur catta)
Les îles anciennement occupées par les lémuriens, vides depuis leur départ vers ce nouvel enclos de contact, sont maintenant occupés par de nouveaux pensionnaires :
la première constitue désormais le lieu de vie d'un deuxième groupe de saïmiris, espèce plus adaptée à la taille réduite de l'enclos :
Ile des saïmiris
la deuxième, plus vaste et plantée de grands arbres, a reçu courant 2010 une nouvelle espèce peu commune en captivité : le gibbon à bonnet (Hylobates pileatus). Cette espèce qui avait déjà été présentée au parc il y a plusieurs dizaines d'années, fait son grand retour à Branféré avec un couple d'animaux, les seuls hébergés dans le grand ouest français.
Ile des gibbons à bonnet
Gibbon à bonnet (Hylobates pileatus)
Cours d'eau séparant l'île des gibbons à favoris (à gauche) de celle des gibbons à bonnet
Les vieilles volières qui abritaient jusqu'en 2011 quelques aras, cariamas et ouistitis à pinceaux noirs ont été en partie détruites et réunies pour ne former plus qu'une seule et même volière de contact, actuellement en construction. Lors de son ouverture en juin 2011, les visiteurs pourront y découvrir en totale liberté plusieurs dizaines de perruches, passereaux, colombiformes mais également des touracos, des tinamous, des sarcelles, des harles couronnés...
Ancienne rangée de volières – Photo prise en avril 2010
Future volière de contact en construction
Les émeus, autrefois présentés dans un petit enclos ombragé en fin de parcours, ont rejoint la grande prairie où ils cohabitent désormais avec des cerfs du Vîet-Nam, des antilopes cervicapres et des gruidés dans un espace naturel de plusieurs hectares composé d'une zone marécageuse, d'un grand plan d'eau, d'une gigantesque prairie découverte et d'un vaste sous-bois.
Panorama de la grande prairie
Grande prairie
Emeu (Dromaius novaehollandiae), nouvel arrivant dans la grande prairie
Cerf du Viêt-Nam (Cervus nippon pseudaxis)
Jeunes antilopes cervicapres (Antilope cervicapra)
L'ancien enclos des émeus devrait prochainement être restructuré pour accueillir des insectes européens (papillons, abeilles...)
Ancien enclos des émeus, futur lieu pour insectes européens
Un couple de rennes domestiques (Rangifer tarandus) a fait son apparition courant 2010 dans un vaste enclos herbeux situé derrière la mini-ferme.
Enclos des rennes
Renne domestique (Rangifer tarandus)
Du côté de la plaine africaine, un nouvel observatoire a été réalisé à proximité du Parcabout® pour permettre aux visiteurs d'observer les girafes dans leur pré-parc bétonné lorsque le temps ne leur permet pas d'être sur la grande plaine en compagnie des autres herbivores.
Nouvel observatoire devant le pré-parc des girafes
Pré-parc des girafes
Girafe du Soudan (Giraffa camelopardalis antiquorum)
A proximité de la plaine africaine, l'ancienne île de la vieille femelle siamang (Voir plus-bas) est en cours de rénovation pour accueillir une nouvelle espèce de primate dans les semaines à venir, un membre de la famille des cercopithèques.
Future île des cercopithèques
Un nouveau sentier (en partie sur pilotis) est également en réalisation autour de cette île. Il permettra, outre le fait de s'approcher au plus près des cercopithèques, de s'enfoncer dans un sous-bois et de mettre en valeur les arbres exceptionnels de la forêt, avant de rejoindre l'enclos des hippopotames nains.
Nouveau sentier forêstier en cours de réalisation
La vieille femelle siamang précédemment décrite, qui ne peut cohabiter avec le groupe familial, a rejoint les deux anciennes îles des gibbons à mains blanches, où elle termine ses jours seule.
Double-îles de la vieille femelle siamang
Une vaste prairie naturelle, jusqu'alors inexploitée, a été totalement rénovée courant 2010-2011 pour laisser place à deux des grandes nouveautés 2011 du parc animalier de Branféré. La première, c'est la nouvelle installation des gibbons à mains blanches, autrefois présentés sur les deux îles décrites ci-dessus. Leur nouveau lieu de vie, deux fois plus vaste, est composé d'un bâtiment en bois flambant neuf relié à l'extérieur à une île herbeuse et végétalisée par la présence de nombreux arbres qui leur sont entièrement accessibles. Un petit ponton en bois permet au public de les observer au plus près.
Ancienne prairie inexploitée – Photo prise en avril 2010
Nouvelle île des gibbons à mains blanches
Nouvelle île des gibbons à mains blanches vue de dos
Sentier longeant l'île des gibbons
La seconde nouveauté réalisée à cet emplacement, juste en face de l'île des gibbons, c'est le grand plan d'eau des oiseaux, composé d'une prairie découverte, d'un bras d'eau et d'une zone forêstière. Il constitue le lieu de vie de kamichis à collier, de grues cendrés qui pourraient appartenir à la sous-espèce de Lilford et de grues du Paradis. Les différentes espèces d'anatidés présentées en totale liberté dans le parc, des plus petits, comme le canard mandarin, les dendrocygnes ou les harles, jusqu'aux plus grands, tels les cygnes coscorobas, les oies empereurs ou les ouettes, y ont également libre accès. L'arrivée de nandous de Darwin, espèce peu courante en captivité, serait prévue dans cet espace.
Plan d'eau des oiseaux
Grue cendrée pouvant appartenir à la sous-espèce de Lilford (Grus grus lilfordi)
En fin de parcours, l'ancienne île des makis cattas, transférés vers l'enclos de conatct des lémuriens, s'est vue devenir le lieu de vie d'un petit groupe de colobes guérézas (Colobus guereza).
Ile des colobes guérézas
Deux bassins naturels ont également été érigés à proximité pour accueillir différents chéloniens aquatiques : le premier accueille deux espèces présentes de façon naturelle en France, la cistude d'Europe (Emys orbicularis), et l'émyde lépreuse (Mauremys leprosa). Le second fait office de bassin de récupération pour tortues de Floride (Trachemys scripta elegans), une espèce invasive qui menace les occupants du bassin voisin. Un aspect pédagogique qui met en opposition directe les espèces et qui sensibilise le public à l'introduction des tortues de Floride en France.
Bassins des tortues (de Floride à gauche, des cistudes et des émydes à droites)
Les guanacos, actuellement présentés dans un enclos peu mis en valeur à la toute fin du parc, devraient prochainement rejoindre les tapirs, nandous et cabiais de plaine sud-américaine et laisser leur enclos à un groupe de 4 ânes sauvages de Somalie en juin 2011.
Futur enclos des ânes sauvages de Somalie
Passé ce récapitulatif des différentes nouveautés observées depuis ma dernière visite de 2010, voici maintenant quelques photos de ma visite :
Petit panda (Ailurus fulgens) :
Son enclos :
Tapir terrestre (Tapirus terrestris) :
Son enclos, la plaine sud-américaine, avec l'île des sakis à face blanche au milieu du bassin :
Zèbre de Grant (Equus quagga bohemi) :
Autruches (Struthio camelus) :
Grand koudou (Tragelaphus strepsisceros) mâle :
Panorama de la plaine africaine :
Hippopotame pygmée (Hexaprotodon liberiensis) :
Son enclos :
Boeuf watussi (Bos taurus watussi) et lama (Lama glama) :
Leur enclos :
Chien de prairie à queue noire (Cynomys ludovicianus) :
Son enclos :
Loutres naines d'Asie (Aonyx cinereus) :
Leur enclos :
Spectacle d'oiseaux en vol-libre :
Hibou grand-duc de Virginie :
Aras chloroptères (Ara chloroptera) :
Kookaburra (Dacelo novaeguinea) :
Héron cendré (Ardea cinerea) :
Bihoreau gris (Nycticorax nycticorax) :
Ibis sacré (Threskiornis aethiopicus) :
Cigogne d'Abdim (Ciconia abdimi) :
Cormoran à poitrine blanche (Phalacrocorax lucidus) :
Ara militaire (Ara militaris) :
Grue couronnée grise (Balearica regulorum) :
Flamant rose (Phoenicopterus roseus) :
Cigogne blanche d'Europe (Ciconia ciconia) :
Pélican blanc (Pelecanus onocrotalus) :
Et une vue générale du spectacle pour finir :
Wallaby de Bennet (Macropus rufogriseus) :
Hydropote de Chine (Hydropotes inermis) :
Grue à cou blanc (Grus vipio) :
Grue antigone (Grus antigone) :
Bernache néné (Branta sandvicensis) :
Bernache du Canada (Branta canadensis) :
Canard à bosse (Sarkidiornis melanotos) :
Ouette à ailes bleues (Cyanochen cyanopterus) :
Dendrocygne à ventre noir (Dendrocygna autumnalis) :
Canard mandarin (Aix galericulata) :
Cygne à cou noir (Cygnus melanocorypha) :
Canard à bec tacheté (Anas poecilorhyncha) :
Cygne coscoroba (Coscoroba coscoroba) :
Cygne noir (Cygnus atratus) :
Oie céréopse (Cereopsis novaehollandiae) :
Et quelques vues générales pour finir, où vivent en totale liberté les wallabys, les hydropotes, les maras, les grues et tous les anatidés :